L’audience va être fixée prochainement…. mais, elle sera si proche du début des dépôts des fiches de de parrainage devant le Conseil Constitutionnel, prévu le 10 décembre prochain. Même si le Tgi de Dakar lui donnait raison comme à Ziguinchor, ce sera le retour à la Cour suprême. C’est une hypothèse qui va encore l’éloigner de l’échéance.
D’après le journal "Point Actu", pour Ousmane Sonko, c’est toujours le statu quo. Sa participation à la Présidentielle 2024, est encore impossible, car la Direction générale des élections ne va pas pouvoir lui remettre les fiches de parrainage.Que va-t-il faire surtout que le début du dépôt des parrainages est fixé à partir du 10 décembre ?
Face à l’évidence, il a décidé d’activer le Plan B : C’est Basssirou Diomaye Faye, président des cadres de l’ex-Pastef. Il est en prison depuis avril dernier, pour trouble à l’ordre public et outrage à magistrat. Ce choix d'Ousmane Sonko qui a décidé officieusement de renoncer à sa candidature, se fait sous réserve des conditions l’article L57 du code électoral qui dit : «Tout Sénégalais électeur peut faire acte de candidature et être élu, sous réserve des conditions d’âge et des cas d’incapacité ou d’inéligibilité prévus par la loi. La candidature est portée soit par un parti politique légalement constitué, soit par une entité regroupant des personne indépendantes ».
D’après le journal "Point Actu", pour Ousmane Sonko, c’est toujours le statu quo. Sa participation à la Présidentielle 2024, est encore impossible, car la Direction générale des élections ne va pas pouvoir lui remettre les fiches de parrainage.Que va-t-il faire surtout que le début du dépôt des parrainages est fixé à partir du 10 décembre ?
Face à l’évidence, il a décidé d’activer le Plan B : C’est Basssirou Diomaye Faye, président des cadres de l’ex-Pastef. Il est en prison depuis avril dernier, pour trouble à l’ordre public et outrage à magistrat. Ce choix d'Ousmane Sonko qui a décidé officieusement de renoncer à sa candidature, se fait sous réserve des conditions l’article L57 du code électoral qui dit : «Tout Sénégalais électeur peut faire acte de candidature et être élu, sous réserve des conditions d’âge et des cas d’incapacité ou d’inéligibilité prévus par la loi. La candidature est portée soit par un parti politique légalement constitué, soit par une entité regroupant des personne indépendantes ».