Focus sur 2024. « Le peuple sénégalais investit son candidat ! ». C’est la décision historique prise par le Pastef en direction de ces joutes, organisées d’ailleurs par le Président Macky Sall, sans y prendre part.
« Le 15 juillet 2023, le candidat Ousmane Sonko, l’espoir de toute une nation, sera officiellement investi par des millions de Sénégalais d’ici et de la diaspora, qui arboreront, à l’occasion et avec détermination, les bracelets de la libération », informe El Malick Ndiaye.
« L’Afrique regarde et attend, le monde observe et entend, le coeur des Sénégalais vibrera et battra comme celui d’un seul homme pour ce moment historique. Ne vous le faites pas raconter ! », a renchéri le Secrétaire national à la Communication de Pastef et Vice-président de la Commission Communication de Yewwi Askan Wi.
Le maire de Ziguinchor, condamné, en juin dernier, à deux ans de prison ferme dans l’affaire Sweet Beauty, fait l’objet d’une ‘’mise en résidence surveillée, depuis le 28 mai, sur des bases totalement illégales’’. Pendant ce temps, 700 « détenus politiques’’ dont les dossiers ‘’ont été arbitrairement envoyés en instruction’’, attendent toujours de connaître leur sort, selon le candidat Ousmane Sonko.
Avec SenegalActu
« Le 15 juillet 2023, le candidat Ousmane Sonko, l’espoir de toute une nation, sera officiellement investi par des millions de Sénégalais d’ici et de la diaspora, qui arboreront, à l’occasion et avec détermination, les bracelets de la libération », informe El Malick Ndiaye.
« L’Afrique regarde et attend, le monde observe et entend, le coeur des Sénégalais vibrera et battra comme celui d’un seul homme pour ce moment historique. Ne vous le faites pas raconter ! », a renchéri le Secrétaire national à la Communication de Pastef et Vice-président de la Commission Communication de Yewwi Askan Wi.
Le maire de Ziguinchor, condamné, en juin dernier, à deux ans de prison ferme dans l’affaire Sweet Beauty, fait l’objet d’une ‘’mise en résidence surveillée, depuis le 28 mai, sur des bases totalement illégales’’. Pendant ce temps, 700 « détenus politiques’’ dont les dossiers ‘’ont été arbitrairement envoyés en instruction’’, attendent toujours de connaître leur sort, selon le candidat Ousmane Sonko.
Avec SenegalActu