«Il fut un temps, nous étions trois. Et malheureusement, notre troisième collègue vient de repartir en Suisse. Donc, à l’heure actuelle, nous sommes deux», a-t-elle dit. Une situation qui ne reste pas sans conséquence.
Le docteur explique : «C’est ce qui fait que c’est très difficile de nous voir. J’en profite pour m’excuser auprès des parents. Parce qu’ils disent que nos rendez-vous sont longs. On voit les patients sur 4 ou 6 mois. Parce que nous ne sommes pas nombreux et la demande est là.»
Une occasion pour Dr. Dièye de tendre la main aux autorités, pour les «aider à offrir des bourses aux jeunes qui veulent se former». A l’en croire, «une formation au sein de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) a été mise en place et nous avons cinq jeunes médecins qui viennent se former. Et nous espérons vraiment l’appui du gouvernement, du ministère, afin d’aider ces jeunes à s’intéressent à cette spécialité».
Bes Bi
Le docteur explique : «C’est ce qui fait que c’est très difficile de nous voir. J’en profite pour m’excuser auprès des parents. Parce qu’ils disent que nos rendez-vous sont longs. On voit les patients sur 4 ou 6 mois. Parce que nous ne sommes pas nombreux et la demande est là.»
Une occasion pour Dr. Dièye de tendre la main aux autorités, pour les «aider à offrir des bourses aux jeunes qui veulent se former». A l’en croire, «une formation au sein de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) a été mise en place et nous avons cinq jeunes médecins qui viennent se former. Et nous espérons vraiment l’appui du gouvernement, du ministère, afin d’aider ces jeunes à s’intéressent à cette spécialité».
Bes Bi