Le poste de santé de Sindian joue un rôle crucial en offrant une couverture médicale étendue malgré son isolement géographique. De nombreux patients, venant des villages de la commune et même de certaines localités gambiennes, y sont soignés. Cependant, l’établissement fait face à de nombreux défis majeurs.
D’après Mamadou Ndour, les principales difficultés comprennent l’évacuation des patients, un manque flagrant de personnel qualifié, et l’absence d’équipements médicaux modernes. Il a exprimé ces préoccupations sur les ondes d’Iradio, déclarant que « le poste de santé de Sindian est dans le coma ».
Selon le journal, M. Ndour a profité de cette plateforme pour tirer la sonnette d’alarme et exhorter les autorités à intervenir de toute urgence pour sauver le poste de santé. Il a notamment souligné la problématique de l’évacuation des malades, rendue plus complexe par la panne de l’unique ambulance du village.
D’après lui, les femmes en état d’accouchement souffrent particulièrement, étant souvent transportées à moto ou en calèche de bœuf pour atteindre la maternité. « Nous avions une ambulance, mais elle est toujours en panne », a-t-il expliqué.
La performance de la structure sanitaire est également entravée par le manque de personnel qualifié. M. Ndour a regretté d’être le seul personnel qualifié, avec une sage-femme, tandis que les autres sont des agents communautaires incapables de les assister dans certaines situations critiques. Il espère que le ministre de la Santé répondra aux préoccupations des acteurs sanitaires pour le bien-être des populations.
D’après Mamadou Ndour, les principales difficultés comprennent l’évacuation des patients, un manque flagrant de personnel qualifié, et l’absence d’équipements médicaux modernes. Il a exprimé ces préoccupations sur les ondes d’Iradio, déclarant que « le poste de santé de Sindian est dans le coma ».
Selon le journal, M. Ndour a profité de cette plateforme pour tirer la sonnette d’alarme et exhorter les autorités à intervenir de toute urgence pour sauver le poste de santé. Il a notamment souligné la problématique de l’évacuation des malades, rendue plus complexe par la panne de l’unique ambulance du village.
D’après lui, les femmes en état d’accouchement souffrent particulièrement, étant souvent transportées à moto ou en calèche de bœuf pour atteindre la maternité. « Nous avions une ambulance, mais elle est toujours en panne », a-t-il expliqué.
La performance de la structure sanitaire est également entravée par le manque de personnel qualifié. M. Ndour a regretté d’être le seul personnel qualifié, avec une sage-femme, tandis que les autres sont des agents communautaires incapables de les assister dans certaines situations critiques. Il espère que le ministre de la Santé répondra aux préoccupations des acteurs sanitaires pour le bien-être des populations.