Le procès de Karim Wade se poursuit en l'absence du principal prévenu et de ses avocats. Ce matin, Ibrahim Aboukhalil Bourgi était devant la Cour de répression de l'enrichissement illicite. Me Moussa Felix Sow lui a demandé « si le fait d'être un homme de parole, le mettait dans l'obligation de tenir toujours ses promesses ». Sentant le piège de l'avocat de la Partie civile, il a préféré ne pas répondre à la question de l'avocat.
Mais Me Sow revient à la charge en lui servant que c'est sans doute ce respect de la parole donnée qui l'empêche de divulguer l'implication de Karim Wade dans ces nombreuses sociétés. « N'est-ce pas cette situation peut vous obliger à tenir la promesse faites à Karim Wade de ne révéler son implication dans ces sociétés » lance l'avocat.
« Je ne suis pas ici pour défendre ou blanchir quelqu'un. Je suis devant la Cour pour défendre mon honneur, mon nom et mon honneur. Ma présence est motivée par la manifestation de la vérité", répond Bibo.
PressAfrik
Mais Me Sow revient à la charge en lui servant que c'est sans doute ce respect de la parole donnée qui l'empêche de divulguer l'implication de Karim Wade dans ces nombreuses sociétés. « N'est-ce pas cette situation peut vous obliger à tenir la promesse faites à Karim Wade de ne révéler son implication dans ces sociétés » lance l'avocat.
« Je ne suis pas ici pour défendre ou blanchir quelqu'un. Je suis devant la Cour pour défendre mon honneur, mon nom et mon honneur. Ma présence est motivée par la manifestation de la vérité", répond Bibo.
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