« Mille fois oui, c’est dans le bureau de Karim Wade que la société CD-Média a été mise sur pied » a déclaré l’ancien journaliste au Soleil et au Matin, dates à l’appui. « C’est stylo en main que Karim Wade a constitué ce qui s’appellera CD Média, devant Me Patricia Lake Diop, Allah m’est témoin », renchérit-il.
L’ancien conseiller en communication de Karim Wade, alors président du Conseil d’Administration de l’Agence Nationale pour l’Organisation de la conférence Islamique (ANOCI) a, après avoir fait la genèse de la société, déclaré ne pas sentir actionnaire de CD-Média car n’ayant jamais assisté à une réunion de commission d’administration ou plutôt la seule fois, « c’était à la Section de recherches de la gendarmerie, lors des auditions », dit-il ironiquement, plongeant la salle dans un fou rire.
Pour Cheikh Diallo, qui dit « n’avoir jamais perçu de dividendes », c’est le jour que « j’ai reçu une mise en demeure de la part des avocats de Karim Wade, qui lui-même était mis en demeure, que j’ai senti le lâchage ». Une mise en demeure qui lui demandait à lui, « actionnaire minoritaire, salarié du groupe de justifier les biens de la société ». C’est en ce moment précis qu’il dit avoir senti la nécessité de dire toute la vérité.
Néanmoins, Cheikh Diallo d’avouer que « Karim sama nitt la (Karim compte pour moi) ». A la question de savoir s’il était un prête-nom de Karim Wade, Cheikh Diallo de répondre par l’affirmative car si on se réfère à la signification du mot prêter, il est bien un prête-nom au même titre que Patrick William qui a restitué ses 70% d’actions à Karim Wade car son nom a été utilisé dans un montage financier dans lequel, à part son salaire d’un million (1 million) par mois, il n’ a jamais tiré le moindre bénéfices.
Avec PressAfrik.com
L’ancien conseiller en communication de Karim Wade, alors président du Conseil d’Administration de l’Agence Nationale pour l’Organisation de la conférence Islamique (ANOCI) a, après avoir fait la genèse de la société, déclaré ne pas sentir actionnaire de CD-Média car n’ayant jamais assisté à une réunion de commission d’administration ou plutôt la seule fois, « c’était à la Section de recherches de la gendarmerie, lors des auditions », dit-il ironiquement, plongeant la salle dans un fou rire.
Pour Cheikh Diallo, qui dit « n’avoir jamais perçu de dividendes », c’est le jour que « j’ai reçu une mise en demeure de la part des avocats de Karim Wade, qui lui-même était mis en demeure, que j’ai senti le lâchage ». Une mise en demeure qui lui demandait à lui, « actionnaire minoritaire, salarié du groupe de justifier les biens de la société ». C’est en ce moment précis qu’il dit avoir senti la nécessité de dire toute la vérité.
Néanmoins, Cheikh Diallo d’avouer que « Karim sama nitt la (Karim compte pour moi) ». A la question de savoir s’il était un prête-nom de Karim Wade, Cheikh Diallo de répondre par l’affirmative car si on se réfère à la signification du mot prêter, il est bien un prête-nom au même titre que Patrick William qui a restitué ses 70% d’actions à Karim Wade car son nom a été utilisé dans un montage financier dans lequel, à part son salaire d’un million (1 million) par mois, il n’ a jamais tiré le moindre bénéfices.
Avec PressAfrik.com