Le contrat signé entre Kosmos, BP, et les États sénégalais et mauritanien, stipule que BP, par le biais de sa filiale, s’est engagée en exclusivité, à revendre le gaz mondialement à un prix fixé. Cependant, le prix du gaz ayant augmenté, Kosmos a souhaité renégocier le contrat, ce que BP a refusé.
Par ailleurs, dans ce même projet GTA, BP est également en arbitrage avec un contractant qu’il avait engagé pour un service. En raison des retards subis, BP a réclamé des dommages.
Petrosen, faute de moyens pour engager le développement des gisements Sangomar et GTA, a contracté une dette. Dans le cadre du projet Sangomar, Woodside a prêté 450 millions de dollars à Petrosen, soit 260 milliards FCfa. Pour le projet GTA, Petrosen a également contracté une dette auprès de BP et Kosmos.
Selon nos confrères, à la date du 31 décembre 2022, Petrosen devait aux majors 600 milliards FCfa. Actuellement, cette dette s’élève à 800 milliards FCfa, avec un taux d’intérêt de 6,5%.
À partir de 2025 et 2026, ce taux d’intérêt devrait passer, selon le Directeur général de Petrosen, à 7%, puis à 8%.
Petrosen a engagé un cabinet pour auditer les coûts des projets Sangomar et Grand Tortue Ahmeyim. Toutefois, le Directeur général de la société note déjà un gonflement des coûts, des irrégularités et des dépenses injustifiées. Un dossier à enjeux complexes.
Par ailleurs, dans ce même projet GTA, BP est également en arbitrage avec un contractant qu’il avait engagé pour un service. En raison des retards subis, BP a réclamé des dommages.
Petrosen, faute de moyens pour engager le développement des gisements Sangomar et GTA, a contracté une dette. Dans le cadre du projet Sangomar, Woodside a prêté 450 millions de dollars à Petrosen, soit 260 milliards FCfa. Pour le projet GTA, Petrosen a également contracté une dette auprès de BP et Kosmos.
Selon nos confrères, à la date du 31 décembre 2022, Petrosen devait aux majors 600 milliards FCfa. Actuellement, cette dette s’élève à 800 milliards FCfa, avec un taux d’intérêt de 6,5%.
À partir de 2025 et 2026, ce taux d’intérêt devrait passer, selon le Directeur général de Petrosen, à 7%, puis à 8%.
Petrosen a engagé un cabinet pour auditer les coûts des projets Sangomar et Grand Tortue Ahmeyim. Toutefois, le Directeur général de la société note déjà un gonflement des coûts, des irrégularités et des dépenses injustifiées. Un dossier à enjeux complexes.