Pour les dix jeunes Rémois, l'aventure a commencé… sur le parking de René-Tys !
« Je vais être un peu la grand-mère qui veille à leur bien-être. Pour beaucoup, c'est leur premier grand voyage. Ils seront logés dans des cases en dur et ils mangeront… à la sénégalaise ! »
Sur place, ils vont consacrer la majeure partie de leur temps à des actions d'amélioration du cadre de vie des enfants du quartier : décoration du mur d'enceinte de l'école primaire construite avec l'aide d'Acao. Animations de rue pour les enfants déscolarisés, pour lesquelles ils apportent des jeux et des jouets. Ils visiteront l'île de Gorée, découvrant les conditions de vie en esclavage. Via Internet, les jeunes Rémois ont noué des liens avec des lycéens de M'Bour qu'ils vont retrouver.
Expérience humaine et culturelle
Deux animateurs accompagnent le groupe : Dorothée Boudot, du service jeunesse de la Ville, et Amdy Seck, membre d'Acao et musicien : « Voir tous ces jeunes réunis, ça me fait chaud au cœur. Je connais ceux qui partent et ceux qui sont là-bas. Je vais jouer le rôle de lien entre les deux groupes. Je souhaite que la communication passe bien : le côté humain est très important », assure-t-il.
Pour financer les frais de passeport et de vaccins, ils ont mis en place des actions : « Nous avons vendu des bijoux sénégalais, réalisé des paquets-cadeaux, organisé une matinée récréative avec Acao », confie Charlotte, 20 ans, qui se sent « à la fois heureuse et excitée à l'idée de cet échange, une vraie rencontre ». Hassan Errettat, élu délégué à la jeunesse, est venu leur dire au revoir : « Une expérience enrichissante sur le plan culturel et humain. Une belle étape dans la construction de la vie de ces jeunes Rémois ».
Sylvie Nero, très émue, regarde partir son fils Maxime, élève en bac pro vente au lycée Joliot-Curie : « Je suis hyper fière ! Il s'investit beaucoup dans tout cela. Ça le passionne ».
« Je pars pour me rendre compte des différences entre les cultures sénégalaises et françaises. Et aussi apporter mon aide », ajoute le jeune homme. Première étape de l'aventure : le départ, samedi, en covoiturage, jusqu'à l'aéroport…
Sur place, ils vont consacrer la majeure partie de leur temps à des actions d'amélioration du cadre de vie des enfants du quartier : décoration du mur d'enceinte de l'école primaire construite avec l'aide d'Acao. Animations de rue pour les enfants déscolarisés, pour lesquelles ils apportent des jeux et des jouets. Ils visiteront l'île de Gorée, découvrant les conditions de vie en esclavage. Via Internet, les jeunes Rémois ont noué des liens avec des lycéens de M'Bour qu'ils vont retrouver.
Expérience humaine et culturelle
Deux animateurs accompagnent le groupe : Dorothée Boudot, du service jeunesse de la Ville, et Amdy Seck, membre d'Acao et musicien : « Voir tous ces jeunes réunis, ça me fait chaud au cœur. Je connais ceux qui partent et ceux qui sont là-bas. Je vais jouer le rôle de lien entre les deux groupes. Je souhaite que la communication passe bien : le côté humain est très important », assure-t-il.
Pour financer les frais de passeport et de vaccins, ils ont mis en place des actions : « Nous avons vendu des bijoux sénégalais, réalisé des paquets-cadeaux, organisé une matinée récréative avec Acao », confie Charlotte, 20 ans, qui se sent « à la fois heureuse et excitée à l'idée de cet échange, une vraie rencontre ». Hassan Errettat, élu délégué à la jeunesse, est venu leur dire au revoir : « Une expérience enrichissante sur le plan culturel et humain. Une belle étape dans la construction de la vie de ces jeunes Rémois ».
Sylvie Nero, très émue, regarde partir son fils Maxime, élève en bac pro vente au lycée Joliot-Curie : « Je suis hyper fière ! Il s'investit beaucoup dans tout cela. Ça le passionne ».
« Je pars pour me rendre compte des différences entre les cultures sénégalaises et françaises. Et aussi apporter mon aide », ajoute le jeune homme. Première étape de l'aventure : le départ, samedi, en covoiturage, jusqu'à l'aéroport…