Les Petites et moyennes entreprises (Pme) africaines ont encore du mal à décoller faute de capacités techniques, de financements suffisants et de partenaires d’affaires à travers le monde. Une étude de la Bad sur laquelle s’est appuyé Dogad Dogoui, le directeur de Small & medium business (Smb) lors d’une conférence de presse, démontre que seuls 20% des Pme africaines ont accès aux financements, malgré les opportunités, contre 44% en Asie. Cela plombe le développement économique de la plupart des pays africains et entraîne une faible création d’emplois.
Toutefois, il ne fait point de doute que le continent noir est un marché qui suscite de plus en plus la convoitise. Son taux de croissance économique moyenne de 5,5% et l’augmentation de sa classe moyenne sont autant de facteurs qui ne manquent pas d’intérêts aux yeux opérateurs économiques. Il se trouve simplement que les Pme du continent manquent d’atouts commerciaux qu’il faut savoir combler à l’avenir. C’est pourquoi, le club Smb entend organiser un forum à Casablanca du 16 au 18 décembre prochain. «500 participants venant de l’Afrique, de l’Asie, d’Europe et de la diaspora africaine sont attendus à cette manifestation», a déclaré son initiateur, Dogad Dogoui. Le thème du forum est : «Interconnecter et financer les Pme africaines pour l’emploi et la croissance inclusive».
D’après M. Dogoui, l’objectif principal est de mettre en rapport des entreprises venant de tous les continents. «Selon ses besoins, chaque entrepreneur aura dix rendez-vous avec d’autres afin qu’il noue des partenariats d’affaires», indique l’initiateur. Il est constaté que le monde des affaires de l’Afrique de l’Ouest ne s’intéresse pas aux opportunités qu’offre l’Afrique australe et vice-versa. L’heure est venue d’amorcer une rupture à ce niveau.
Un système électronique mis en place permet à chaque participant inscrit d’exprimer ses attentes en termes de partenariat d’affaires. Le moment venu, les organisateurs ont juste pour tâche de les mettre en relation dans le cadre du forum. Les opérateurs économiques sénégalais ne comptent guère rater le rendez-vous de Casablanca. Saloum Sané, président du cabinet «Investir au Sénégal» est à pied d’œuvre pour conduire des entreprises sénégalaises au forum. Contrairement aux nombreux salons, ce dernier s’engage à assurer le suivi des probables contrats qu’auront signés les participants sénégalais.
lequotidien.sn
Toutefois, il ne fait point de doute que le continent noir est un marché qui suscite de plus en plus la convoitise. Son taux de croissance économique moyenne de 5,5% et l’augmentation de sa classe moyenne sont autant de facteurs qui ne manquent pas d’intérêts aux yeux opérateurs économiques. Il se trouve simplement que les Pme du continent manquent d’atouts commerciaux qu’il faut savoir combler à l’avenir. C’est pourquoi, le club Smb entend organiser un forum à Casablanca du 16 au 18 décembre prochain. «500 participants venant de l’Afrique, de l’Asie, d’Europe et de la diaspora africaine sont attendus à cette manifestation», a déclaré son initiateur, Dogad Dogoui. Le thème du forum est : «Interconnecter et financer les Pme africaines pour l’emploi et la croissance inclusive».
D’après M. Dogoui, l’objectif principal est de mettre en rapport des entreprises venant de tous les continents. «Selon ses besoins, chaque entrepreneur aura dix rendez-vous avec d’autres afin qu’il noue des partenariats d’affaires», indique l’initiateur. Il est constaté que le monde des affaires de l’Afrique de l’Ouest ne s’intéresse pas aux opportunités qu’offre l’Afrique australe et vice-versa. L’heure est venue d’amorcer une rupture à ce niveau.
Un système électronique mis en place permet à chaque participant inscrit d’exprimer ses attentes en termes de partenariat d’affaires. Le moment venu, les organisateurs ont juste pour tâche de les mettre en relation dans le cadre du forum. Les opérateurs économiques sénégalais ne comptent guère rater le rendez-vous de Casablanca. Saloum Sané, président du cabinet «Investir au Sénégal» est à pied d’œuvre pour conduire des entreprises sénégalaises au forum. Contrairement aux nombreux salons, ce dernier s’engage à assurer le suivi des probables contrats qu’auront signés les participants sénégalais.
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