Le centre national de recherches agricoles a organisé une rencontre avec les partenaires de la direction nationale de l’Isra (institut sénégalais de recherches agricoles), l’institut de technologie alimentaire, les instituts de formation les universités de Bambey et de Thiès, et les élus locaux du département de Bambey .Le but de rencontre de partage suivi d’une visite de périmètres agricoles est de partager avec les partenaires les différents résultats de recherches de cette culture de diversification et de faire sa promotion de la culture du sésame au Sénégal.
Des recherches sur la spéculation qui ont été entamées depuis une dizaine d’années ont abouti à la collection de plus d’une cinquantaine de variétés dont 6 ont été homologuées et prêtes à la vulgarisation. Le maitre de recherche Dr samba thiao le directeur du centre national de recherche agronomique (cnra) de souligner que « l’objet de la visite des partenaires est de faire la promotion de la culture du sésame au Sénégal. Plusieurs variétés ont été vulgarisées au niveau des paysans et toujours il y a des recherches qui continuent sur les aspects techniques et de méthodes variétales .Et c’est une occasion de montrer à nos partenaires les résultats saillants de nos recherches. » De l’avis Dr Thiao, l’Isra travaille dans les six régions agro- écologiques du Sénégal et développe plusieurs variétés en fonction des zones agro- écologique, en fonction de la fertilité minérale du sol, en fonction du besoin en eau des différents plants et en fonction de la résistance des différents parasites les insectes et les maladies.
La « dialgoune » ou la variété 52 15 fait partie des variétés de sésame créées par l’isra et qui s’adapte très bien dans la zone du bassin arachidier. Le rendement à l’hectare de cette variété varie entre une à deux tonnes. Et le directeur du centre national de recherches agricoles de Bambey d’ajouter que « la culture du sésame est extrêmement importante .Elle peut produire de l’huile et les tourteaux peuvent être utilisés comme aliment de bétail. D’autres produits dérivés utiles aux producteurs agricoles peuvent provenir du sésame. L’huile consommée au Sénégal provient pour l’essentiel de la trituration de l’arachide alors qu’il se vend cher.
C’est pourquoi l’isra s’est lancé sur la promotion de la culture du sésame de même que pour le soja .La recherche peut être utile que lorsque les producteurs agricoles s’en approprient. »En croire au Dr samba thiao, la recherche nécessite des moyens. C’est la raison pour laquelle le directeur du centre de recherches agricoles de Bambey exhorte les partenaires au développement à soutenir les chercheurs dans leur travail. S’exprimant sur la problématique de la reconstitution du capital semencier au Sénégal, samba thiao indique que le centre national de recherche agricole est le pourvoyeur de connaissances et de technologie.
Au niveau de l’isra il ne manque de variétés mais elles sont destinées à des zones agro écologiques bien déterminées. La mission du centre à ce niveau est de s’occuper de la production de semences de base et de pré base mais il appartient aux autres structures de développer des semences certifiées pour que les paysans puissent disposer de l’ensemble de ses variétés .Il y a plusieurs variétés d’arachide qui répondent aux critères agro écologique et à la teneur de l’huile .Et même au niveau de la zone nord ou la pluviométrie est faible on peut produire de l’arachide Pendant un cycle de 80jours a-t-il ajouté
Des recherches sur la spéculation qui ont été entamées depuis une dizaine d’années ont abouti à la collection de plus d’une cinquantaine de variétés dont 6 ont été homologuées et prêtes à la vulgarisation. Le maitre de recherche Dr samba thiao le directeur du centre national de recherche agronomique (cnra) de souligner que « l’objet de la visite des partenaires est de faire la promotion de la culture du sésame au Sénégal. Plusieurs variétés ont été vulgarisées au niveau des paysans et toujours il y a des recherches qui continuent sur les aspects techniques et de méthodes variétales .Et c’est une occasion de montrer à nos partenaires les résultats saillants de nos recherches. » De l’avis Dr Thiao, l’Isra travaille dans les six régions agro- écologiques du Sénégal et développe plusieurs variétés en fonction des zones agro- écologique, en fonction de la fertilité minérale du sol, en fonction du besoin en eau des différents plants et en fonction de la résistance des différents parasites les insectes et les maladies.
La « dialgoune » ou la variété 52 15 fait partie des variétés de sésame créées par l’isra et qui s’adapte très bien dans la zone du bassin arachidier. Le rendement à l’hectare de cette variété varie entre une à deux tonnes. Et le directeur du centre national de recherches agricoles de Bambey d’ajouter que « la culture du sésame est extrêmement importante .Elle peut produire de l’huile et les tourteaux peuvent être utilisés comme aliment de bétail. D’autres produits dérivés utiles aux producteurs agricoles peuvent provenir du sésame. L’huile consommée au Sénégal provient pour l’essentiel de la trituration de l’arachide alors qu’il se vend cher.
C’est pourquoi l’isra s’est lancé sur la promotion de la culture du sésame de même que pour le soja .La recherche peut être utile que lorsque les producteurs agricoles s’en approprient. »En croire au Dr samba thiao, la recherche nécessite des moyens. C’est la raison pour laquelle le directeur du centre de recherches agricoles de Bambey exhorte les partenaires au développement à soutenir les chercheurs dans leur travail. S’exprimant sur la problématique de la reconstitution du capital semencier au Sénégal, samba thiao indique que le centre national de recherche agricole est le pourvoyeur de connaissances et de technologie.
Au niveau de l’isra il ne manque de variétés mais elles sont destinées à des zones agro écologiques bien déterminées. La mission du centre à ce niveau est de s’occuper de la production de semences de base et de pré base mais il appartient aux autres structures de développer des semences certifiées pour que les paysans puissent disposer de l’ensemble de ses variétés .Il y a plusieurs variétés d’arachide qui répondent aux critères agro écologique et à la teneur de l’huile .Et même au niveau de la zone nord ou la pluviométrie est faible on peut produire de l’arachide Pendant un cycle de 80jours a-t-il ajouté
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