Le Conseil de Sécurité de l’ONU vient, le 29 avril 2014, d’adopter à l’unanimité de ses membres la résolution 2152, présentée par les Etats-Unis d’Amérique, qui proroge le mandat de la MINURSO jusqu’au 30 avril 2015 et qui exclut tout élargissement des prérogatives de la MINURSO aux questions des Droits de l’Homme ; prérogatives qui relèvent uniquement de la souveraineté nationale du Royaume du Maroc.
Une question sensible qui avait amené Sa Majesté le Roi Mohammed VI à prendre attache téléphoniquement avec le Secrétaire Général de l’ONU, Monsieur Ban Ki Moon, pour lui signifier fermement que toute tentative de modifier les missions de la MINURSO en cours de route sans l’accord explicite du Maroc aboutirait soit à une impasse soit à une radicalisation des positions.
Une ferme mise en garde du Souverain marocain qui fut bien comprise par le responsable onusien qui corrigea son papier afin d’éviter le scénario catastrophe tant souhaité par l’Algérie et le polisario.
Nul ne peut contester que ce vote du Conseil de Sécurité confirme les avancées notables du Royaume du Maroc en matière des Droits de l’Homme à travers notamment le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) et il y a lieu, à ce titre, de relever que pour la seule année 2013, le Maroc a reçu deux visites.
La première a été effectuée par le groupe de travail sur la traite des êtres humains et la seconde par le groupe de travail sur la détention arbitraire. De plus, les autorités ont toujours œuvré en vue de faciliter et de garantir les conditions de déroulement de ces visites sur tout le territoire national.
D'autres rapporteurs spéciaux se rendront au Maroc durant l’année en cours, notamment l'expert indépendant en charge des engagements des Droits de l'Homme en faveur d'un environnement sûr, propre, sain et durable, le rapporteur spécial sur l'indépendance des juges et des avocats et sur la liberté de religion ou de conviction, le rapporteur spécial sur la peine de mort et les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires et le rapporteur spécial chargé de la question de la violence contre les femmes.
Une démarche du Royaume du Maroc qui tranche avec la position du Polisario et de ses maîtres algériens qui, tout en violant allégrement les Droits de l’Homme dans les camps de Tindouf, ne cessent de faire fi des nombreux appels au respect de ceux-ci et au recensement des populations sahraouies qu’ils séquestrent dans des campements qui ressemblent plus à des mouroirs qu’à des lieux où il fait bon vivre et ce, en violation des règles les plus élémentaires du Droit Humanitaire. Des Droits de l’Homme qui sont également violés outrageusement en Kabylie et dans le Sud algérien, en territoire Mzab, par les autorités algériennes.
Aussi, l’Algérie n’est pas du tout qualifiée pour parler des Droits de l’Homme. Son cas relèverait plutôt du Tribunal Pénal International pour éthnocide, exécutions extra-judiciaires, tortures à grande échelle, disparitions et arrestations arbitraires de ses ressortissants et des sahraouis embastillés à Tindouf qui ne demandent qu’à retourner chez eux au Maroc.
Le Sahara marocain est ouvert aux visiteurs étrangers issus des Gouvernements, Parlements, ONG, journalistes et procédures spéciales de l’ONU. Ce n’est pas le cas de l’Algérie qui refuse depuis plus de 10 ans l’accès à son territoire au Rapporteur spécial sur la torture. Un pays où la liberté d’expression est bâillonnée au quotidien, les journalistes persécutés, les chaines de télévision fermées et la liberté de rassemblement et de manifestation qui sont violemment réprimés par des milliers de policiers.
Cette nouvelle victoire diplomatique du Royaume du Maroc enrage les dirigeants polisariens et leurs parrains algériens mais aussi la Présidente de la Commission de l’Union Africaine, la sud-africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, notoirement connue pour ses accointances avec l’Algérie et les criminalo-terroristes du polisario et son addiction pour les valises algériennes.
Un vote du Conseil de Sécurité onusien qui a engendré une grosse déprime chez les sécessionnistes du polisario, leur marraine algérienne et les groupuscules qui soutiennent la thèse éculée du séparatisme, insultent l’histoire du Maroc et portent atteinte à sa souveraineté nationale et à son intégrité territoriale.
Une nouvelle défaite diplomatique de l’Algérie qui n’en finit pas de se faire souffleter magistralement par la communautée internationale.
En conclusion, le Conseil de Sécurité de l’ONU, en votant cette nouvelle résolution, vient de consacrer les grandes avancées du Royaume du Maroc en matière des Droits de l’Homme et son droit inaliénable sur ses provinces sahariennes. Il envoie également un message clair d'unité de la communauté internationale sur cette question. Une résolution qui confirme que l’Algérie est directement impliquée dans ce dossier.
La communauté internationale s’est rendue à l’évidence qu’Alger a bel et bien créé le polisario, lui offre le gîte à Tindouf et le soutien financièrement, militairement et diplomatiquement. C’est encore ses fonctionnaires des Affaires Etrangères et du DRS qui encadrent les campagnes diplomatiques polisariennes, financent les ONG’s et sillonnent les couloirs de l’ONU à New York et à Genève pour défendre une chimère.
Les priorités des dirigeants algériens ne sont finalement donc que : destabiliser ses voisins, favoriser l’implantation de foyers terroristes sur son territoire et en dehors, comme c’est le cas au Sahel, et tolérer le développement de la criminalité transnationale en toute quiétude en Algérie.
Un terrorisme et une criminalité transnationale qui se tentaculent dans la zone sahélo-saharienne en raison de l’incapacité de ses services sécuritaires à gérer ces deux menaces qui frappent en toute liberté jusqu’aux portes d’Alger.
Suite à ce vote, Kerry Kennedy et Aminatou Haïdar, tout comme l’acteur catalan de série Z Javier Bardem, en sont ainsi pour leurs frais au même titre, d’ailleurs, que les criminalo-terroristes du polisario et leurs maîtres algériens conduits par un grabataire nouvellement réélu.
Les experts et stratèges du Palais de la Mouradia et du DRS viennent une nouvelle fois, et en beauté, de mordre la poussière au Palais de Verre de Manhattan à New York.
Une question sensible qui avait amené Sa Majesté le Roi Mohammed VI à prendre attache téléphoniquement avec le Secrétaire Général de l’ONU, Monsieur Ban Ki Moon, pour lui signifier fermement que toute tentative de modifier les missions de la MINURSO en cours de route sans l’accord explicite du Maroc aboutirait soit à une impasse soit à une radicalisation des positions.
Une ferme mise en garde du Souverain marocain qui fut bien comprise par le responsable onusien qui corrigea son papier afin d’éviter le scénario catastrophe tant souhaité par l’Algérie et le polisario.
Nul ne peut contester que ce vote du Conseil de Sécurité confirme les avancées notables du Royaume du Maroc en matière des Droits de l’Homme à travers notamment le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) et il y a lieu, à ce titre, de relever que pour la seule année 2013, le Maroc a reçu deux visites.
La première a été effectuée par le groupe de travail sur la traite des êtres humains et la seconde par le groupe de travail sur la détention arbitraire. De plus, les autorités ont toujours œuvré en vue de faciliter et de garantir les conditions de déroulement de ces visites sur tout le territoire national.
D'autres rapporteurs spéciaux se rendront au Maroc durant l’année en cours, notamment l'expert indépendant en charge des engagements des Droits de l'Homme en faveur d'un environnement sûr, propre, sain et durable, le rapporteur spécial sur l'indépendance des juges et des avocats et sur la liberté de religion ou de conviction, le rapporteur spécial sur la peine de mort et les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires et le rapporteur spécial chargé de la question de la violence contre les femmes.
Une démarche du Royaume du Maroc qui tranche avec la position du Polisario et de ses maîtres algériens qui, tout en violant allégrement les Droits de l’Homme dans les camps de Tindouf, ne cessent de faire fi des nombreux appels au respect de ceux-ci et au recensement des populations sahraouies qu’ils séquestrent dans des campements qui ressemblent plus à des mouroirs qu’à des lieux où il fait bon vivre et ce, en violation des règles les plus élémentaires du Droit Humanitaire. Des Droits de l’Homme qui sont également violés outrageusement en Kabylie et dans le Sud algérien, en territoire Mzab, par les autorités algériennes.
Aussi, l’Algérie n’est pas du tout qualifiée pour parler des Droits de l’Homme. Son cas relèverait plutôt du Tribunal Pénal International pour éthnocide, exécutions extra-judiciaires, tortures à grande échelle, disparitions et arrestations arbitraires de ses ressortissants et des sahraouis embastillés à Tindouf qui ne demandent qu’à retourner chez eux au Maroc.
Le Sahara marocain est ouvert aux visiteurs étrangers issus des Gouvernements, Parlements, ONG, journalistes et procédures spéciales de l’ONU. Ce n’est pas le cas de l’Algérie qui refuse depuis plus de 10 ans l’accès à son territoire au Rapporteur spécial sur la torture. Un pays où la liberté d’expression est bâillonnée au quotidien, les journalistes persécutés, les chaines de télévision fermées et la liberté de rassemblement et de manifestation qui sont violemment réprimés par des milliers de policiers.
Cette nouvelle victoire diplomatique du Royaume du Maroc enrage les dirigeants polisariens et leurs parrains algériens mais aussi la Présidente de la Commission de l’Union Africaine, la sud-africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, notoirement connue pour ses accointances avec l’Algérie et les criminalo-terroristes du polisario et son addiction pour les valises algériennes.
Un vote du Conseil de Sécurité onusien qui a engendré une grosse déprime chez les sécessionnistes du polisario, leur marraine algérienne et les groupuscules qui soutiennent la thèse éculée du séparatisme, insultent l’histoire du Maroc et portent atteinte à sa souveraineté nationale et à son intégrité territoriale.
Une nouvelle défaite diplomatique de l’Algérie qui n’en finit pas de se faire souffleter magistralement par la communautée internationale.
En conclusion, le Conseil de Sécurité de l’ONU, en votant cette nouvelle résolution, vient de consacrer les grandes avancées du Royaume du Maroc en matière des Droits de l’Homme et son droit inaliénable sur ses provinces sahariennes. Il envoie également un message clair d'unité de la communauté internationale sur cette question. Une résolution qui confirme que l’Algérie est directement impliquée dans ce dossier.
La communauté internationale s’est rendue à l’évidence qu’Alger a bel et bien créé le polisario, lui offre le gîte à Tindouf et le soutien financièrement, militairement et diplomatiquement. C’est encore ses fonctionnaires des Affaires Etrangères et du DRS qui encadrent les campagnes diplomatiques polisariennes, financent les ONG’s et sillonnent les couloirs de l’ONU à New York et à Genève pour défendre une chimère.
Les priorités des dirigeants algériens ne sont finalement donc que : destabiliser ses voisins, favoriser l’implantation de foyers terroristes sur son territoire et en dehors, comme c’est le cas au Sahel, et tolérer le développement de la criminalité transnationale en toute quiétude en Algérie.
Un terrorisme et une criminalité transnationale qui se tentaculent dans la zone sahélo-saharienne en raison de l’incapacité de ses services sécuritaires à gérer ces deux menaces qui frappent en toute liberté jusqu’aux portes d’Alger.
Suite à ce vote, Kerry Kennedy et Aminatou Haïdar, tout comme l’acteur catalan de série Z Javier Bardem, en sont ainsi pour leurs frais au même titre, d’ailleurs, que les criminalo-terroristes du polisario et leurs maîtres algériens conduits par un grabataire nouvellement réélu.
Les experts et stratèges du Palais de la Mouradia et du DRS viennent une nouvelle fois, et en beauté, de mordre la poussière au Palais de Verre de Manhattan à New York.