« Nous ne sommes pas satisfaits de la manière dont le dossier de l’assassinat de Oumar Lamine Badji est géré. Cela pour plusieurs raisons. D’abord le changement de cheval alors que les enquêtes ne sont même pas terminées, malgré l’arrestation d’une quinzaine de personnes. Puis quelqu’un est libéré avant de quitter peu après ce bas monde, d’autres qui devaient témoigner mais qui, en cours de route, perdent la vie ou encore qui quittent de manière nébuleuse le territoire national. Et actuellement, seules quelques personnes sont en prison et qui attendent d’être jugées », a soutenu Seydou Badji, frère d’Oumar Lamine Badji.
Toutes choses qui renforcent la suspicion de la famille du défunt président du Conseil régional de Ziguinchor, laquelle semble disculper des éléments du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc) qui, peut-être, n’ont servi que « de bras armés » pour le ou les commanditaires. « La fin du séjour d’Oumar sur terre ne pourrait provenir d’une rébellion. Non ! Oumar n’avait pas à notre connaissance, de problèmes avec des factions du Mfdc », précise Seydou Badji qui porte la parole de la famille, avant de se demander qui est derrière ce crime. Dans la foulée, il indexe la famille politique d’Oumar Lamine Badji, plus exactement, la Fédération départementale (du Pds, parti au pouvoir) de Bignona. « Au Pds, Oumar ne manquait pas d’ennemis et de jaloux. Ont-ils assouvi leur funeste dessein ? », s’interroge-t-il, faisant allusion aux menaces de mort que lui proféraient les libéraux lors des réunions de la Fédération départementale de Bignona.
Le frère de Omar Lamine Badji pense que la lumière sera faite « le jour où seront extradés deux des présumés assassins ayant trouvé refuge en Gambie". Il dira que l’un d’eux, aidé par un commanditaire, se trouve en Espagne.
La famille d’Oumar Lamine Badji réclame, par ailleurs, à l’Etat du Sénégal, le retour de l’ascenseur en prenant en charge le parachèvement de formation de ses enfants dont un agronome et une fille au collège en Angleterre, un universitaire en Droit public en France et un autre qui a déjà cessé de suivre sa formation en marketing et en communication au Maroc. Le Comité d’organisation du 4ème anniversaire de la mort d’Oumar Lamine Badji menace de dérouler son troisième plan d’actions si d’ici un mois la famille n’a pas recouvert sa dignité.
Ferloo.com
Toutes choses qui renforcent la suspicion de la famille du défunt président du Conseil régional de Ziguinchor, laquelle semble disculper des éléments du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc) qui, peut-être, n’ont servi que « de bras armés » pour le ou les commanditaires. « La fin du séjour d’Oumar sur terre ne pourrait provenir d’une rébellion. Non ! Oumar n’avait pas à notre connaissance, de problèmes avec des factions du Mfdc », précise Seydou Badji qui porte la parole de la famille, avant de se demander qui est derrière ce crime. Dans la foulée, il indexe la famille politique d’Oumar Lamine Badji, plus exactement, la Fédération départementale (du Pds, parti au pouvoir) de Bignona. « Au Pds, Oumar ne manquait pas d’ennemis et de jaloux. Ont-ils assouvi leur funeste dessein ? », s’interroge-t-il, faisant allusion aux menaces de mort que lui proféraient les libéraux lors des réunions de la Fédération départementale de Bignona.
Le frère de Omar Lamine Badji pense que la lumière sera faite « le jour où seront extradés deux des présumés assassins ayant trouvé refuge en Gambie". Il dira que l’un d’eux, aidé par un commanditaire, se trouve en Espagne.
La famille d’Oumar Lamine Badji réclame, par ailleurs, à l’Etat du Sénégal, le retour de l’ascenseur en prenant en charge le parachèvement de formation de ses enfants dont un agronome et une fille au collège en Angleterre, un universitaire en Droit public en France et un autre qui a déjà cessé de suivre sa formation en marketing et en communication au Maroc. Le Comité d’organisation du 4ème anniversaire de la mort d’Oumar Lamine Badji menace de dérouler son troisième plan d’actions si d’ici un mois la famille n’a pas recouvert sa dignité.
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