Comme Camille Diouf et autres handicapés, ils sont souvent victimes de rejet de la part de la société. Faire l’amour avec une fille posent tous les problèmes du monde. Pour le président de l’Association « Lève toi et Marche », Camille Diouf, les femmes refusent d’aller plus loin après un flirt bien poussé. « Il est arrivé dès fois que des femmes me rejettent après un flirt poussé. Elles viennent chez moi, m’excitent à bloc, mais quand il s’agit de passer à l’acte, elles se rétractent sous le prétexte que je cherche qu’à concevoir afin d’avoir un héritier », a relaté Camille Diouf dans l’ Observateur repris par setal.net.
Et d’avouer « Aujourd’hui, je n’ai que des « complices », c’est-à-dire des femmes avec qui je n’ai que des relations basées sur le sexe ».
Par rapport au mariage, il lâche « J’aspire à me marier un jour ».
Pour Bassirou Ngom marié et père d’enfants, l’handicap physique ne rime point avec impuissance sexuelle. Cet informaticien dit connaître sa valeur au lit. « Je sais que je pourrai satisfaire pleinement 3 autres femmes. Si Dieu m’en donne », a-t-il laissé entendre.
Avec cette conférence de presse sur Handicap et sexualité, les sénégalaises doivent désormais avoir un autre regard sur ces derniers.
Et d’avouer « Aujourd’hui, je n’ai que des « complices », c’est-à-dire des femmes avec qui je n’ai que des relations basées sur le sexe ».
Par rapport au mariage, il lâche « J’aspire à me marier un jour ».
Pour Bassirou Ngom marié et père d’enfants, l’handicap physique ne rime point avec impuissance sexuelle. Cet informaticien dit connaître sa valeur au lit. « Je sais que je pourrai satisfaire pleinement 3 autres femmes. Si Dieu m’en donne », a-t-il laissé entendre.
Avec cette conférence de presse sur Handicap et sexualité, les sénégalaises doivent désormais avoir un autre regard sur ces derniers.