1) Contre Mamadou DIA en 2006 : « Monsieur le Président Mamadou Dia,
Dans un article publié le 27 juin 2006 dans plusieurs quotidiens sénégalais, votre notabilité s’est livrée à des attaques « ad hominem » contre le président Abdoulaye Wade et sa famille.
Votre démarche heurte nos mœurs sociales et notre culture de respect.
Maodo, vous me permettrez de vous rappeler que tout, dans la démarche du président Abdoulaye Wade, nous ancre profondément dans la République »
Lors d’un entretien à Télésud en 2008 (http://www.walf.sn/politique/suite.php?rub=2&id_art=30019
2) Contre Idrissa SECK :
« ‘ Je laisse la responsabilité à Idrissa Seck qui a dit que l'époque Wade est révolue d'assumer ses propos. Je pense que quelqu'un qui a servi autant le président de la République en étant son numéro 2, son chef du gouvernement, son directeur de cabinet a une part entière dans le bilan qui a été fait, je lui laisse l'entière responsabilité de ses propos. »
3) Contre Amath DANSOKHO :
« Avec tous le respect que je lui dois ,les propos de Dansokho ne font plus bouger les gens au Sénégal. Il nous a habitués à des catastrophismes, il nous a toujours promis l'enfer au Sénégal. Dieu merci on n’a pas encore vu l'enfer. »
4) Pour Karim Wade :
« On ne peut pas refuser à Karim Wade qui est un sénégalais comme n'importe lequel des sénégalais de vouloir être Président de la République, c'est pas parce qu'il est de teint clair qu'il n'est pas sénégalais. C'est Karim Meissa Wade, il s'appelle, fils de son père. Pourquoi il n'aurait pas droit à assumer une fonction publique au Sénégal ? »
5) Toujours pour Karim :
« Dans un passé très récent, le président Senghor avait son neveu dans le gouvernement, ça n'a pas choqué. Adrien Senghor était son fils, il a fait un travail, il n'y a pas eu de problème. Le président Diouf avait son propre jeune frère dans le gouvernement. Nous n'avons jamais remis en cause ce principe, c'est pas parce qu'on est jeune frère du président de la République ou on est fils d'un président qu'on peut pas travailler dans son entourage. C'est un faux problème »
6) Pour la famille Wade :
« ‘ Ce sont des attaques faciles. J'ai vécu difficilement ces attaques contre la personne de Abdoulaye Wade, je ne parle pas d'attaques contre le Président ou l'homme politique Abdoulaye Wade. Mais quand on attaque en disant : le père, la femme, le fils, la fille, ce n'est plus de la politique. Ce n'est pas normal. Nous avons tous une famille à préserver’. »
7) Pour Wade :
Lundi 16 octobre 2006 dans une contribution parue dans les quotidiens nationaux (http://www.nettali.net/Ainsi-parlait-Macky-Sall.html)
« Vous êtes pour le Sénégal et l’Afrique, ce que
Napoléon fut pour la France. A chaque fois que l’on eut
besoin d’un homme et d’un seul, tous les esprits se
sont tournés vers vous, Maître »
« Comme Roosvelt qui, en 1929, tira l’Amérique de la
grande récession par la politique des grands travaux,
vous avez mis le Sénégal sur orbite, pour en faire un
pays émergent, grâce à vos vastes chantiers qui ont
fini de redonner aux éléphants leurs couleurs
naturelles »
Certains de ses souteneurs actuels membres de son Directoire de Campagne l’ont, dans un passé récent, vaillamment critiqué (http://fr.allafrica.com/stories/200606300458.html. Appréciez ces propos et faites vous une idée sur la personne.
Abdou KEBE
Le déçu de l’alternance
cadresenegal@gmail.com
Dans un article publié le 27 juin 2006 dans plusieurs quotidiens sénégalais, votre notabilité s’est livrée à des attaques « ad hominem » contre le président Abdoulaye Wade et sa famille.
Votre démarche heurte nos mœurs sociales et notre culture de respect.
Maodo, vous me permettrez de vous rappeler que tout, dans la démarche du président Abdoulaye Wade, nous ancre profondément dans la République »
Lors d’un entretien à Télésud en 2008 (http://www.walf.sn/politique/suite.php?rub=2&id_art=30019
2) Contre Idrissa SECK :
« ‘ Je laisse la responsabilité à Idrissa Seck qui a dit que l'époque Wade est révolue d'assumer ses propos. Je pense que quelqu'un qui a servi autant le président de la République en étant son numéro 2, son chef du gouvernement, son directeur de cabinet a une part entière dans le bilan qui a été fait, je lui laisse l'entière responsabilité de ses propos. »
3) Contre Amath DANSOKHO :
« Avec tous le respect que je lui dois ,les propos de Dansokho ne font plus bouger les gens au Sénégal. Il nous a habitués à des catastrophismes, il nous a toujours promis l'enfer au Sénégal. Dieu merci on n’a pas encore vu l'enfer. »
4) Pour Karim Wade :
« On ne peut pas refuser à Karim Wade qui est un sénégalais comme n'importe lequel des sénégalais de vouloir être Président de la République, c'est pas parce qu'il est de teint clair qu'il n'est pas sénégalais. C'est Karim Meissa Wade, il s'appelle, fils de son père. Pourquoi il n'aurait pas droit à assumer une fonction publique au Sénégal ? »
5) Toujours pour Karim :
« Dans un passé très récent, le président Senghor avait son neveu dans le gouvernement, ça n'a pas choqué. Adrien Senghor était son fils, il a fait un travail, il n'y a pas eu de problème. Le président Diouf avait son propre jeune frère dans le gouvernement. Nous n'avons jamais remis en cause ce principe, c'est pas parce qu'on est jeune frère du président de la République ou on est fils d'un président qu'on peut pas travailler dans son entourage. C'est un faux problème »
6) Pour la famille Wade :
« ‘ Ce sont des attaques faciles. J'ai vécu difficilement ces attaques contre la personne de Abdoulaye Wade, je ne parle pas d'attaques contre le Président ou l'homme politique Abdoulaye Wade. Mais quand on attaque en disant : le père, la femme, le fils, la fille, ce n'est plus de la politique. Ce n'est pas normal. Nous avons tous une famille à préserver’. »
7) Pour Wade :
Lundi 16 octobre 2006 dans une contribution parue dans les quotidiens nationaux (http://www.nettali.net/Ainsi-parlait-Macky-Sall.html)
« Vous êtes pour le Sénégal et l’Afrique, ce que
Napoléon fut pour la France. A chaque fois que l’on eut
besoin d’un homme et d’un seul, tous les esprits se
sont tournés vers vous, Maître »
« Comme Roosvelt qui, en 1929, tira l’Amérique de la
grande récession par la politique des grands travaux,
vous avez mis le Sénégal sur orbite, pour en faire un
pays émergent, grâce à vos vastes chantiers qui ont
fini de redonner aux éléphants leurs couleurs
naturelles »
Certains de ses souteneurs actuels membres de son Directoire de Campagne l’ont, dans un passé récent, vaillamment critiqué (http://fr.allafrica.com/stories/200606300458.html. Appréciez ces propos et faites vous une idée sur la personne.
Abdou KEBE
Le déçu de l’alternance
cadresenegal@gmail.com