Lorsque Idy nous parle de fortune mal acquise
Nous avons entendu Idy s’aventurer à parler de fortune indue d’autrui, reprenant la chansonnette puérile et jamais argumentée par leurs auteurs sur les supposés 8 milliards de Macky Sall. On le croyait plus intelligent que ces petits politiciens qui véhiculent et chantonnent à longueur de débats ces inepties dénuées de la moindre réflexion qui insultent l’intelligence de tout observateur désintéressé. A part cela, les observateurs ont dû s’étonner d’entendre Idy s’aventurer sur un terrain aussi glissant où il aurait dû être le dernier à s’engager.
N’est-ce pas ce Idy à qui Wade n’a rien trouvé d’autre à dire dès les premières heures de l'alternance 2000 à part "nos ennuis financiers sont terminés". Si il avait entendu de tels propos, Oustaze Iran Ndao se serait probablement enfui en criant au voleur. Puisque Idy se croit parmi les plus vertueux et les plus croyants des sénégalais, lui et ses versets utilisés à des fins marketing, au lieu d'avoir fui, il nous dit plutôt dans son CD n° 1 avoir vivement remercié Maître Wade de sa confiance d’avoir plutôt décidé en ce même instant de lui confier la gestion de la caisse noire destinée selon eux deux à en finir avec leurs ennuis financiers personnels, une caisse dans laquelle Idy a avoué s'être goulument servi, y puisant un butin qu’il prétend avoir destiné à la distribution, selon son code à lui, aux proches, aux orphelins, aux pauvres, aux voyageurs en détresse, et blablabla. Mon oeil oui !!!
Idy le bienfaiteur ? Cela prête à sourire tout de même. Lui ce fameux locataire permanent de l’hôtel luxueux Saint James, qui finance son parti et ses campagnes sans jamais s’essouffler, qui peut confier accessoirement à Ito plus d’un milliard à gérer, chez qui son propre fils a volé des dizaines de millions, ........, qui a tenu en haleine le pays tout entier avec son « papa généreux » durant sa querelle au sujet des fonds politiques de la caisse on ne peut plus noire que tenait Idy, lui qui a préféré résister 7 mois en prison pour ne pas restituer à son « papa » les milliards piochés de la caisse et à soi-disant redistribuer. En tout cas depuis 14 ans, nul pauvre ou voyageur en détresse ne s’est manifesté pour confirmer avoir reçu un centime de ces milliards dérobés des deniers publics. Ne nous a-t-il pas dit dans ses fameux CD qu’il a géré des dizaines et des dizaines de milliards de cette caisse qui ne devait légalement pas contenir une seule dizaine de milliards au total durant toute sa courte gestion des fonds secrets avant la querelle des grands bandits ?
Donc c’est cet homme qui ose continuer à demander aux pauvres sénégalais de lui confier, non plus seulement la seule caisse noire, mais la caisse des caisses. Quelle rigolade quand même !!! Il ignore que les sénégalais ont aussi leur code : « ne jamais confier leur gibier à un ogre, fut-il déguisé en agneau »
Lorsque Idy nous parle de dynastie
Là aussi Idy que l’on croyait plus intelligent n’a pu s’empêcher de descendre bas en répétant bêtement le refrain que de petits politiciens en mal d’arguments chantonnent, repris par quelques égarés qui ont du mal à voir plus loin que le bout de leur nez.
Parlant de la Dynastie Faye–Sall. Loin de moi l’idée de plaider en faveur du népotisme. Mais pour le dénoncer, il faut le faire avec pertinence. Si Dynastie veut dire avoir 10 ou 15 personnes (selon les diverses listes que l’on voit circuler sur le net) avec qui l'on a des liens de parenté de près ou de loin, parmi les environ 120.000 agents de la fonction publique que compte le Sénégal, quel que soit la légitimité ou le profil de ces personnes, alors bon nombre de fonctionnaires actuellement dans l’administration seraient aussi coupables de « Dynastie » lorsque l’on sait qu’il n’y a rien de plus large que les familles sénégalaises.
Donc Idy ou n’importe qui d’autre aurait 1 parent sur 10.000 fonctionnaires, il serait coupable de « dynastie » ? Doit-on reprocher à quelqu’un qui était déjà en poste quelque part d’y être encore lorsqu’un de ses parents a fini par accéder à une station de décision ? Ou doit-on dénier à quelqu’un toute ambition de postuler légitimement et légalement à une fonction publique correspondant à son profil ? Ou de briguer les voix ou les suffrages des citoyens sénégalais qui sont libres de l’accorder à qui ils veulent, sous le seul prétexte qu’il aurait un parent proche ou éloigné qui serait déjà dans les sphères du pouvoir ? Non il faut savoir faire la part des choses, analyser les évènements avec un minimum de réalisme, et ne pas se cantonner à reprendre des chansonnettes dénuées de toute réflexion.
Bien sûr, il ne s'agit pas de faire comme l’autre, à savoir nommer son propre fils qui n’a jamais versé auparavant la moindre sueur pour ce pays, d’abord Conseiller Spécial avec les prérogatives les plus étendues, ensuite décideur exclusif d’une entité (Anoci) qui peut manipuler librement plus de 400 milliards de deniers publics sur fond de scandales hors du commun, de faire fi des échecs patents de ce fils à ses postes précédents, de faire fi de son incapacité à démontrer la moindre légitimité jusque dans son propre quartier malgré des milliards de frais de campagne, de le bombarder sans escale Ministre d’Etat, Ministre du Ciel et de la Terre pouvant gérer encore plus de centaines de milliards, de placer encore plus de sénégalais sous son administration, et d’affirmer chaque fois que l’on aperçoit quelque chose qui ressemble à un micro, même si c’est une banane, que ce fils est le plus intelligent des 13 millions de sénégalais ou des centaines de millions d’africains
Personne ne s’est jamais réellement focalisé sur les autres parents possibles (nièces, neveux, cousins, cousines, etc…) du vieux Wade qui seraient quelque part dans la fonction publique, et pourtant il y’en avait le concernant lui seul puisque Vivane Vert n’est pas du coin, ni elle, ni sa famille, ni ses parents, proches ou éloignés.
Idy, à qui il ne semble plus rester que des refrains aussi simplistes comme argument, à faire des comparaisons aussi illogiques, n’a qu’à enfin oser débattre sur son programme qui est une juxtaposition de quelques généralités sans consistance
Lorsque Idy nous parle de vertu ou de constance
C’est connu, Idy a trahi les sénégalais peu avant les élections présidentielles de 2007, hypothéquant toutes ses chances à l’époque de connaître la trajectoire et le destin qu’a finalement connu Macky Sall en 2012, à savoir, avoir subi les foudres d’un pouvoir, être injustement écarté, (sauf que pour Idy c’était dans le cadre d’une querelle de grands bandits), être poussé à créer son parti, convaincre les sénégalais de sa bonne foi, demander leurs suffrages, et l’obtenir à une majorité historique face aux innombrables autres postulants qui étaient déjà là bien avant. Les sénégalais qui étaient prêts à faire de lui un Macky Sall ont été dégoutés au dernier moment par l’inconstance de l’homme aux audiences nocturnes
Idy a encore trahi les sénégalais après avoir capté leurs voix aux élections locales de Mars 2009 avec un discours d’opposant au régime d’alors et au vieux Wade, puisque quelques mois après ces élections, lors du fameux meeting du 11 Novembre 2009 à Thies, c’est un pied de nez dégueulasse qu’il a fait à ces sénégalais qui croyaient encore que tout n’était pas à jeter chez cet homme. Du haut de la tribune, Idy n’a pas hésité à comparer cette fois-là Wade, non pas à un ancien spermatozoïde / futur cadavre, mais à un Saint Homme, et lui Idy à une brebis prête à se faire égorger pour satisfaire le roi du Wakh Wakhète dont il prouve être l’élève le plus parfait.
Et ce n’est pas tout en matière de traitrise. Que cela soit vis-à-vis de la coalition Jamm Ji d’alors qu’il avait trahie en 2007 suite à ses retrouvailles éphémères avec le PDS et Wade. Que cela soit vis-à-vis de la coalition Benno Bok Yakar qu’il n’a su résister à trahir au bout de quelques mois seulement afin de se positionner. Que cela soit vis-à-vis de ses principaux collaborateurs qui l’ont lâché du fait de son ingratitude ou de son égocentrisme. Idy semble incapable de se départir du naturel nombriliste qui prend toujours le dessus lorsqu’il essaye de se faire passer pour un modèle, pour un martyr ou pour un sauveur. Il ‘a l’art de se découvrir, de se tirer une balle dans le pied, c’est pourquoi il faut le laisser s’exprimer le plus souvent possible, de l’observer.
Les quelques rares lieutenants et perroquets qui le défendent encore, ou tirent sur tout ce qui bouge pour lui faire plaisir, sont à plaindre, car Idy est difficilement défendable, la seule constance chez cet homme, c’est avant tout son inconstance. Et voilà cet homme qui demande aux électeurs trahis de 2007, aux électeurs trahis de 2009, aux électeurs trahis de 2012, de lui faire cette fois encore confiance. Ce n’est pas pour rien que son électorat a fondu comme beurre au soleil, pire que celui de Djibo Ka à qui il faisait la même remarque et lui reprochant sa tortuosité. Les sénégalais sont certes indécis parfois, mais ils ne sont pas amnésiques, ils ne perdent pas de vue qui dit tout ce qu’il ne fait pas, et reconnaissent le visage des vrais tortueux.
Lorsque Idy renvoie aux autres sa perception à lui du pouvoir
Idy ne s’est pas gêné de descendre encore plus bas en s’attaquant à des femmes et des hommes, des journalistes et intellectuels, les taxant en des termes orduriers et injurieux, d’être devenus des « dames de compagnie du couple Faye – Sall attirées par des privilèges». Qualifier ainsi des citoyennes et citoyens méritants qui ont décidé avec abnégation de quitter le privé qui nourrit mieux son homme pour servir le régime qui a remplacé celui qu’ils ont combattu avec vigueur, courage, résistance à la tentation des milliards déversés dans les caisses noires qui ont fabriqué la richesse indue de cet homme, il n’y a que Idy pour être capable d’une telle ignominie, lui qui a passé tout son temps à œuvrer en sourdine pour des retrouvailles intermittentes avec le vieux bandit, espérant reprendre les clés de la caisse noire avec laquelle il pouvait tout se permettre, même si cela devait provoquer l’ire de son patron, et risquer de l’envoyer en prison ou 2 mètres sous terre comme pour d’autres qui ont également provoqué l’ire du vieux briscard.
Cette attaque de Idy contre des citoyens ayant choisi librement d’œuvrer pour la république, et non pas de se cantonner à critique sans jamais montrer de quoi eux ils sont capables, démontre la conception que Idy se fait du pouvoir qui pour lui n’est exclusivement qu’un moyen d’accéder à des privilèges, à des caisses noires, mais certainement une opportunité de servir l’Etat sans se servir d’abord avec ses mains, ses pieds, la bouche et les oreilles, pour soi-disant distribuer aux voyageurs en détresse, à la veuve, à l’orphelin. Abdou Latif Coulibaly ne s’y est pas trompé en disant que Idy ne croit pas au travail, qu’il a un rapport quasi névrotique avec l’argent, seul mot qu’il a à la bouche.
De ses anciens collaborateurs, Pape Diouf et Oumar Gueye, il vient de dire qu’ils sont à la quête de dépense quotidienne. Et oui, l’argent, encore l’argent, toujours l’argent.
Il y a tant de choses à dire sur Idrissa Seck, mais le laisser parler est le meilleur moyen de découvrir l’homme. Il sait qu’il ne fait plus confiance, alors il disparait régulièrement pensant retrouver des citoyens amnésiques, mais il constate amèrement à chacun de ses retours sur la scène politique que cela risque ne pas être le cas jusqu’à l’extinction du soleil. C’est ce qui explique sa nervosité croissante qui n’est que le signe du désespoir d’un homme qui voit la caisse noire s’éloigner, à qui il ne reste plus qu’à puiser qu’à puiser dans les bas-fonds pour jeter à ceux qui rappellent aux sénégalais son passé ou qui lui répondent par un silence méprisant
Les Sénégalais ne savent peut-être pas toujours pour qui voter lorsque les jeux ne sont pas claires, mais généralement ils savent pour qui ne surtout pas ou ne plus voter. Idy est rentré dans cette catégorie comme il l’a vu en 2012, peu importe ses longues absences passées au Saint James en tant que seul voyageur en détresse connu pour essayer de faire oublier ses moments de traitrise perpétuelle, ses keupeu caisse noire, ses audiences nocturnes, ses protocoles de reubeuss, ses retrouvailles / querelles / retrouvailles / querelles …... Il pense que Macky lui a dérobé son destin présidentiel (maitre des caisses noires), et pour cela il est prêt à descendre à n’importe quel niveau pour le lui faire regretter, mais ce sont les sénégalais qui votent et non Macky
PS : J’ai tout lu et entendu sur Marvel, qu’il était El Malick Seck, Idrissa Seck, Souleymane Jules Diop, Babacar Touré, et d’autres encore moins connus. Ces personnes se sont pourtant toujours exprimées librement et ouvertement chaque fois qu’elles le souhaitent, et quel que soit le sujet, mais il y’a encore des écervelés ou des êtres de mauvaise foi pour faire dans l’amalgame, faute d’argument.
MARVEL
marvel@hotmail.fr
Nous avons entendu Idy s’aventurer à parler de fortune indue d’autrui, reprenant la chansonnette puérile et jamais argumentée par leurs auteurs sur les supposés 8 milliards de Macky Sall. On le croyait plus intelligent que ces petits politiciens qui véhiculent et chantonnent à longueur de débats ces inepties dénuées de la moindre réflexion qui insultent l’intelligence de tout observateur désintéressé. A part cela, les observateurs ont dû s’étonner d’entendre Idy s’aventurer sur un terrain aussi glissant où il aurait dû être le dernier à s’engager.
N’est-ce pas ce Idy à qui Wade n’a rien trouvé d’autre à dire dès les premières heures de l'alternance 2000 à part "nos ennuis financiers sont terminés". Si il avait entendu de tels propos, Oustaze Iran Ndao se serait probablement enfui en criant au voleur. Puisque Idy se croit parmi les plus vertueux et les plus croyants des sénégalais, lui et ses versets utilisés à des fins marketing, au lieu d'avoir fui, il nous dit plutôt dans son CD n° 1 avoir vivement remercié Maître Wade de sa confiance d’avoir plutôt décidé en ce même instant de lui confier la gestion de la caisse noire destinée selon eux deux à en finir avec leurs ennuis financiers personnels, une caisse dans laquelle Idy a avoué s'être goulument servi, y puisant un butin qu’il prétend avoir destiné à la distribution, selon son code à lui, aux proches, aux orphelins, aux pauvres, aux voyageurs en détresse, et blablabla. Mon oeil oui !!!
Idy le bienfaiteur ? Cela prête à sourire tout de même. Lui ce fameux locataire permanent de l’hôtel luxueux Saint James, qui finance son parti et ses campagnes sans jamais s’essouffler, qui peut confier accessoirement à Ito plus d’un milliard à gérer, chez qui son propre fils a volé des dizaines de millions, ........, qui a tenu en haleine le pays tout entier avec son « papa généreux » durant sa querelle au sujet des fonds politiques de la caisse on ne peut plus noire que tenait Idy, lui qui a préféré résister 7 mois en prison pour ne pas restituer à son « papa » les milliards piochés de la caisse et à soi-disant redistribuer. En tout cas depuis 14 ans, nul pauvre ou voyageur en détresse ne s’est manifesté pour confirmer avoir reçu un centime de ces milliards dérobés des deniers publics. Ne nous a-t-il pas dit dans ses fameux CD qu’il a géré des dizaines et des dizaines de milliards de cette caisse qui ne devait légalement pas contenir une seule dizaine de milliards au total durant toute sa courte gestion des fonds secrets avant la querelle des grands bandits ?
Donc c’est cet homme qui ose continuer à demander aux pauvres sénégalais de lui confier, non plus seulement la seule caisse noire, mais la caisse des caisses. Quelle rigolade quand même !!! Il ignore que les sénégalais ont aussi leur code : « ne jamais confier leur gibier à un ogre, fut-il déguisé en agneau »
Lorsque Idy nous parle de dynastie
Là aussi Idy que l’on croyait plus intelligent n’a pu s’empêcher de descendre bas en répétant bêtement le refrain que de petits politiciens en mal d’arguments chantonnent, repris par quelques égarés qui ont du mal à voir plus loin que le bout de leur nez.
Parlant de la Dynastie Faye–Sall. Loin de moi l’idée de plaider en faveur du népotisme. Mais pour le dénoncer, il faut le faire avec pertinence. Si Dynastie veut dire avoir 10 ou 15 personnes (selon les diverses listes que l’on voit circuler sur le net) avec qui l'on a des liens de parenté de près ou de loin, parmi les environ 120.000 agents de la fonction publique que compte le Sénégal, quel que soit la légitimité ou le profil de ces personnes, alors bon nombre de fonctionnaires actuellement dans l’administration seraient aussi coupables de « Dynastie » lorsque l’on sait qu’il n’y a rien de plus large que les familles sénégalaises.
Donc Idy ou n’importe qui d’autre aurait 1 parent sur 10.000 fonctionnaires, il serait coupable de « dynastie » ? Doit-on reprocher à quelqu’un qui était déjà en poste quelque part d’y être encore lorsqu’un de ses parents a fini par accéder à une station de décision ? Ou doit-on dénier à quelqu’un toute ambition de postuler légitimement et légalement à une fonction publique correspondant à son profil ? Ou de briguer les voix ou les suffrages des citoyens sénégalais qui sont libres de l’accorder à qui ils veulent, sous le seul prétexte qu’il aurait un parent proche ou éloigné qui serait déjà dans les sphères du pouvoir ? Non il faut savoir faire la part des choses, analyser les évènements avec un minimum de réalisme, et ne pas se cantonner à reprendre des chansonnettes dénuées de toute réflexion.
Bien sûr, il ne s'agit pas de faire comme l’autre, à savoir nommer son propre fils qui n’a jamais versé auparavant la moindre sueur pour ce pays, d’abord Conseiller Spécial avec les prérogatives les plus étendues, ensuite décideur exclusif d’une entité (Anoci) qui peut manipuler librement plus de 400 milliards de deniers publics sur fond de scandales hors du commun, de faire fi des échecs patents de ce fils à ses postes précédents, de faire fi de son incapacité à démontrer la moindre légitimité jusque dans son propre quartier malgré des milliards de frais de campagne, de le bombarder sans escale Ministre d’Etat, Ministre du Ciel et de la Terre pouvant gérer encore plus de centaines de milliards, de placer encore plus de sénégalais sous son administration, et d’affirmer chaque fois que l’on aperçoit quelque chose qui ressemble à un micro, même si c’est une banane, que ce fils est le plus intelligent des 13 millions de sénégalais ou des centaines de millions d’africains
Personne ne s’est jamais réellement focalisé sur les autres parents possibles (nièces, neveux, cousins, cousines, etc…) du vieux Wade qui seraient quelque part dans la fonction publique, et pourtant il y’en avait le concernant lui seul puisque Vivane Vert n’est pas du coin, ni elle, ni sa famille, ni ses parents, proches ou éloignés.
Idy, à qui il ne semble plus rester que des refrains aussi simplistes comme argument, à faire des comparaisons aussi illogiques, n’a qu’à enfin oser débattre sur son programme qui est une juxtaposition de quelques généralités sans consistance
Lorsque Idy nous parle de vertu ou de constance
C’est connu, Idy a trahi les sénégalais peu avant les élections présidentielles de 2007, hypothéquant toutes ses chances à l’époque de connaître la trajectoire et le destin qu’a finalement connu Macky Sall en 2012, à savoir, avoir subi les foudres d’un pouvoir, être injustement écarté, (sauf que pour Idy c’était dans le cadre d’une querelle de grands bandits), être poussé à créer son parti, convaincre les sénégalais de sa bonne foi, demander leurs suffrages, et l’obtenir à une majorité historique face aux innombrables autres postulants qui étaient déjà là bien avant. Les sénégalais qui étaient prêts à faire de lui un Macky Sall ont été dégoutés au dernier moment par l’inconstance de l’homme aux audiences nocturnes
Idy a encore trahi les sénégalais après avoir capté leurs voix aux élections locales de Mars 2009 avec un discours d’opposant au régime d’alors et au vieux Wade, puisque quelques mois après ces élections, lors du fameux meeting du 11 Novembre 2009 à Thies, c’est un pied de nez dégueulasse qu’il a fait à ces sénégalais qui croyaient encore que tout n’était pas à jeter chez cet homme. Du haut de la tribune, Idy n’a pas hésité à comparer cette fois-là Wade, non pas à un ancien spermatozoïde / futur cadavre, mais à un Saint Homme, et lui Idy à une brebis prête à se faire égorger pour satisfaire le roi du Wakh Wakhète dont il prouve être l’élève le plus parfait.
Et ce n’est pas tout en matière de traitrise. Que cela soit vis-à-vis de la coalition Jamm Ji d’alors qu’il avait trahie en 2007 suite à ses retrouvailles éphémères avec le PDS et Wade. Que cela soit vis-à-vis de la coalition Benno Bok Yakar qu’il n’a su résister à trahir au bout de quelques mois seulement afin de se positionner. Que cela soit vis-à-vis de ses principaux collaborateurs qui l’ont lâché du fait de son ingratitude ou de son égocentrisme. Idy semble incapable de se départir du naturel nombriliste qui prend toujours le dessus lorsqu’il essaye de se faire passer pour un modèle, pour un martyr ou pour un sauveur. Il ‘a l’art de se découvrir, de se tirer une balle dans le pied, c’est pourquoi il faut le laisser s’exprimer le plus souvent possible, de l’observer.
Les quelques rares lieutenants et perroquets qui le défendent encore, ou tirent sur tout ce qui bouge pour lui faire plaisir, sont à plaindre, car Idy est difficilement défendable, la seule constance chez cet homme, c’est avant tout son inconstance. Et voilà cet homme qui demande aux électeurs trahis de 2007, aux électeurs trahis de 2009, aux électeurs trahis de 2012, de lui faire cette fois encore confiance. Ce n’est pas pour rien que son électorat a fondu comme beurre au soleil, pire que celui de Djibo Ka à qui il faisait la même remarque et lui reprochant sa tortuosité. Les sénégalais sont certes indécis parfois, mais ils ne sont pas amnésiques, ils ne perdent pas de vue qui dit tout ce qu’il ne fait pas, et reconnaissent le visage des vrais tortueux.
Lorsque Idy renvoie aux autres sa perception à lui du pouvoir
Idy ne s’est pas gêné de descendre encore plus bas en s’attaquant à des femmes et des hommes, des journalistes et intellectuels, les taxant en des termes orduriers et injurieux, d’être devenus des « dames de compagnie du couple Faye – Sall attirées par des privilèges». Qualifier ainsi des citoyennes et citoyens méritants qui ont décidé avec abnégation de quitter le privé qui nourrit mieux son homme pour servir le régime qui a remplacé celui qu’ils ont combattu avec vigueur, courage, résistance à la tentation des milliards déversés dans les caisses noires qui ont fabriqué la richesse indue de cet homme, il n’y a que Idy pour être capable d’une telle ignominie, lui qui a passé tout son temps à œuvrer en sourdine pour des retrouvailles intermittentes avec le vieux bandit, espérant reprendre les clés de la caisse noire avec laquelle il pouvait tout se permettre, même si cela devait provoquer l’ire de son patron, et risquer de l’envoyer en prison ou 2 mètres sous terre comme pour d’autres qui ont également provoqué l’ire du vieux briscard.
Cette attaque de Idy contre des citoyens ayant choisi librement d’œuvrer pour la république, et non pas de se cantonner à critique sans jamais montrer de quoi eux ils sont capables, démontre la conception que Idy se fait du pouvoir qui pour lui n’est exclusivement qu’un moyen d’accéder à des privilèges, à des caisses noires, mais certainement une opportunité de servir l’Etat sans se servir d’abord avec ses mains, ses pieds, la bouche et les oreilles, pour soi-disant distribuer aux voyageurs en détresse, à la veuve, à l’orphelin. Abdou Latif Coulibaly ne s’y est pas trompé en disant que Idy ne croit pas au travail, qu’il a un rapport quasi névrotique avec l’argent, seul mot qu’il a à la bouche.
De ses anciens collaborateurs, Pape Diouf et Oumar Gueye, il vient de dire qu’ils sont à la quête de dépense quotidienne. Et oui, l’argent, encore l’argent, toujours l’argent.
Il y a tant de choses à dire sur Idrissa Seck, mais le laisser parler est le meilleur moyen de découvrir l’homme. Il sait qu’il ne fait plus confiance, alors il disparait régulièrement pensant retrouver des citoyens amnésiques, mais il constate amèrement à chacun de ses retours sur la scène politique que cela risque ne pas être le cas jusqu’à l’extinction du soleil. C’est ce qui explique sa nervosité croissante qui n’est que le signe du désespoir d’un homme qui voit la caisse noire s’éloigner, à qui il ne reste plus qu’à puiser qu’à puiser dans les bas-fonds pour jeter à ceux qui rappellent aux sénégalais son passé ou qui lui répondent par un silence méprisant
Les Sénégalais ne savent peut-être pas toujours pour qui voter lorsque les jeux ne sont pas claires, mais généralement ils savent pour qui ne surtout pas ou ne plus voter. Idy est rentré dans cette catégorie comme il l’a vu en 2012, peu importe ses longues absences passées au Saint James en tant que seul voyageur en détresse connu pour essayer de faire oublier ses moments de traitrise perpétuelle, ses keupeu caisse noire, ses audiences nocturnes, ses protocoles de reubeuss, ses retrouvailles / querelles / retrouvailles / querelles …... Il pense que Macky lui a dérobé son destin présidentiel (maitre des caisses noires), et pour cela il est prêt à descendre à n’importe quel niveau pour le lui faire regretter, mais ce sont les sénégalais qui votent et non Macky
PS : J’ai tout lu et entendu sur Marvel, qu’il était El Malick Seck, Idrissa Seck, Souleymane Jules Diop, Babacar Touré, et d’autres encore moins connus. Ces personnes se sont pourtant toujours exprimées librement et ouvertement chaque fois qu’elles le souhaitent, et quel que soit le sujet, mais il y’a encore des écervelés ou des êtres de mauvaise foi pour faire dans l’amalgame, faute d’argument.
MARVEL
marvel@hotmail.fr