C’est le deuxième papier qu’il a consacré au journaliste et chroniqueur de Seneweb en moins d’un mois, et visant à le faire taire par tous les moyens. Des attaques personnelles aux tentatives d’intimidation des responsables de sites qui reprennent ses chroniques, l’auteur n’est pas passé par quatre chemins pour traîner dans la boue celui à qui bon nombre d’internautes prêtent leurs oreilles chaque semaine. « Tout son monologue hebdomadaire repose sur le dénigrement, sur la calomnie et le mensonge », soutient l’auteur du texte, qui ne s’est pas contenté d’attaquer Jules Diop sur les idées, mais également sur sa personne, jusque dans sa vie privée.
Non sans faire le procès de ceux qu’il qualifie d’hypocrites, « journalistes ou simples fonctionnaires logés dans les ambassades », qui lui vouent un soutien sans faille. « Ils sont nombreux, dit-il, à le cajoler de peur d'être vilipendés ». Un mandat d’arrêt international contre Jules Diop ? « Le défoulement sur nos dirigeants a trop duré et nous avons la ferme volonté d'y mettre un terme! », renchérit l’auteur qui n’a pas manqué d’interpeler les responsables du gouvernement.
Pour lui, « la loi du talion semble être la seule voie indiquée pour venir à bout de celui qu’il désigne par les termes « spécimen égaré ». Pour ce faire, il préconise de couper littéralement court avec les sites qui l’hébergent, « en arrêtant toute forme de collaboration ; interdire formellement ces sites à tous ceux qui travaillent avec les outils informatiques de l'Etat ». Il va plus loin et émet l’idée de lancer un mandat d'arrêt international contre Souleymane Jules Diop « pour divers délits, dont la moindre est l'incitation à la violence et tentative de déstabilisation du régime en place ». Comme quoi après le président de la République qui accusait le journaliste de conspiration visant à déstabiliser son régime, suivi de la sortie dans Week-end magazine du Premier ministre il y a quelques jours, l’épilogue de la très médiatique bataille de Chicago en 2008, suivi d’un procès à Montréal en janvier 2010, se poursuit en coulisse, sur la toile. « L'on ne combat pas un régime par des insultes, des révélations fausses et calomnieuses », semble conclure l’auteur du texte, qui, tout le long de son plaidoyer, a reproduit exactement ce qu’il reproche au chroniqueur.
Momar Mbaye
Non sans faire le procès de ceux qu’il qualifie d’hypocrites, « journalistes ou simples fonctionnaires logés dans les ambassades », qui lui vouent un soutien sans faille. « Ils sont nombreux, dit-il, à le cajoler de peur d'être vilipendés ». Un mandat d’arrêt international contre Jules Diop ? « Le défoulement sur nos dirigeants a trop duré et nous avons la ferme volonté d'y mettre un terme! », renchérit l’auteur qui n’a pas manqué d’interpeler les responsables du gouvernement.
Pour lui, « la loi du talion semble être la seule voie indiquée pour venir à bout de celui qu’il désigne par les termes « spécimen égaré ». Pour ce faire, il préconise de couper littéralement court avec les sites qui l’hébergent, « en arrêtant toute forme de collaboration ; interdire formellement ces sites à tous ceux qui travaillent avec les outils informatiques de l'Etat ». Il va plus loin et émet l’idée de lancer un mandat d'arrêt international contre Souleymane Jules Diop « pour divers délits, dont la moindre est l'incitation à la violence et tentative de déstabilisation du régime en place ». Comme quoi après le président de la République qui accusait le journaliste de conspiration visant à déstabiliser son régime, suivi de la sortie dans Week-end magazine du Premier ministre il y a quelques jours, l’épilogue de la très médiatique bataille de Chicago en 2008, suivi d’un procès à Montréal en janvier 2010, se poursuit en coulisse, sur la toile. « L'on ne combat pas un régime par des insultes, des révélations fausses et calomnieuses », semble conclure l’auteur du texte, qui, tout le long de son plaidoyer, a reproduit exactement ce qu’il reproche au chroniqueur.
Momar Mbaye