Drame en République Démocratique du Congo où une attaque menée par des hommes armés, samedi 4 septembre 2021, contre deux localités de la province de l’Ituri, dans l’Est du pays, a coûté la vie à au moins 30 personnes. Il s’agit d’un assaut mené par des rebelles des ADF (Forces démocratiques alliés).
Selon des précisons faites à Anadolu par Dieudonné Malangayi, président de la société civile de la collectivité de Walese, l’attaque a été perpétrée dans les localités de Tsani Tsani et Mapasana, à la lisière entre la province de l’Ituri et le Nord-Kivu, ajoutant que les victimes ont été tuées principalement à la machette, égorgées, éventrées et par balles.
Evoquant un « lourd bilan », le porte-parole de l’armée en Ituri, le lieutenant Jules Ngongo, a confirmé les exactions commises par les groupes armés durant le week-end. Le militaire a par ailleurs indiqué que les attaques ont été « menées dans une zone isolée, loin de nos positions ».
Mi-juin dernier, au moins quarante-deux miliciens et deux soldats congolais avaient perdu la vie au cours d’affrontements dans la province de l’Ituri, dans l’Est de la République Démocratique du Congo. L’attaque aurait été déclenché par des éléments armés de la Coopérative pour le développement du Congo.
Selon des précisons faites à Anadolu par Dieudonné Malangayi, président de la société civile de la collectivité de Walese, l’attaque a été perpétrée dans les localités de Tsani Tsani et Mapasana, à la lisière entre la province de l’Ituri et le Nord-Kivu, ajoutant que les victimes ont été tuées principalement à la machette, égorgées, éventrées et par balles.
Evoquant un « lourd bilan », le porte-parole de l’armée en Ituri, le lieutenant Jules Ngongo, a confirmé les exactions commises par les groupes armés durant le week-end. Le militaire a par ailleurs indiqué que les attaques ont été « menées dans une zone isolée, loin de nos positions ».
Mi-juin dernier, au moins quarante-deux miliciens et deux soldats congolais avaient perdu la vie au cours d’affrontements dans la province de l’Ituri, dans l’Est de la République Démocratique du Congo. L’attaque aurait été déclenché par des éléments armés de la Coopérative pour le développement du Congo.