Louis Koyagialo Ngbase te Gerengbo vient d’être choisi après la démission ce mardi 6 mars d’Adolphe Muzito, le Premier ministre sortant qui a opté de siéger désormais à l’Assemblée nationale.
Pour de nombreux observateurs, cette nomination est une réhabilitation politique pour l’ancien gouverneur du Katanga, la province du sud-est de la République démocratique du Congo (RDC).
Originaire de la province de l’Equateur et très proche de feu le maréchal Mobutu, Louis Koyagialo avait en effet été accusé et même condamné pour une participation au massacre -jamais avérée- des étudiants de l’Université de Lubumbashi en mai 1990.
Secrétaire exécutif de l’Alliance pour la majorité présidentielle (AMP) au lendemain des élections de 2006, nommé vice-Premier ministre depuis quelques mois, Louis Koyagialo est également cité parmi les probables futurs chefs de gouvernement. Cependant, il y a bien d'autres candidats.
Pour son mandat actuel, le président Joseph Kabila pourrait être tenté de travailler également avec toutes les tendances.
La démission du gouvernement -qui comptait une cinquantaine de membres- intervient à la suite des élections législatives du 28 novembre 2011 -couplées à la présidentielle.
Source: RFI
Pour de nombreux observateurs, cette nomination est une réhabilitation politique pour l’ancien gouverneur du Katanga, la province du sud-est de la République démocratique du Congo (RDC).
Originaire de la province de l’Equateur et très proche de feu le maréchal Mobutu, Louis Koyagialo avait en effet été accusé et même condamné pour une participation au massacre -jamais avérée- des étudiants de l’Université de Lubumbashi en mai 1990.
Secrétaire exécutif de l’Alliance pour la majorité présidentielle (AMP) au lendemain des élections de 2006, nommé vice-Premier ministre depuis quelques mois, Louis Koyagialo est également cité parmi les probables futurs chefs de gouvernement. Cependant, il y a bien d'autres candidats.
Pour son mandat actuel, le président Joseph Kabila pourrait être tenté de travailler également avec toutes les tendances.
La démission du gouvernement -qui comptait une cinquantaine de membres- intervient à la suite des élections législatives du 28 novembre 2011 -couplées à la présidentielle.
Source: RFI