Quelle lecture faut-il faire de cette position du président de la République et non moins secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds) ? C’est la question que se posent bon nombre de députés du groupe libéral et démocratique. Après avoir déposé sa proposition de loi en procédure d’urgence, le président de la République vient de donner sa réponse. Wade a renvoyé la proposition de loi à Macky Sall. Mais, contrairement à ce qui se fait d’habitude, Me Wade n’a pas émis d’observation sur la proposition de loi. Le président de la République a tout simplement pris acte. Maintenant, reste au bureau de l’Assemblée nationale de déterminer la date à laquelle les députés vont se pencher sur la proposition de loi en commission, avant qu’elle n’atterrisse en plénière.
D’ailleurs, le bureau de l’Assemblée nationale est convoqué aujourd’hui pour régler ces « détails ». Mais aussi, pour revenir sur les deux propositions de loi des députés non-inscrits.
La proposition de loi contre Karim Wade au menu
Lors de la rencontre du bureau de l’Assemblée nationale, la proposition de loi modifiant l’article 28 sera remise sur la table, ainsi que celle modifiant le code pénal et qui vise à corser les sanctions contre les homosexuels. Lors de la dernière rencontre, certains membres du bureau ont jugé que la 1ière proposition de loi citée est irrecevable parce qu’elle vise une personne. Mais d’autres membres ont estimé que la proposition de loi Sada Ndiaye vise une personne et qu’il n’y a pas de raison qu’on laisse passer la première et que les deux autres soient considérées irrecevables.
Doudou Wade convoque aujourd’hui les députés libéraux
Après la réponse de Me Abdoulaye Wade, l’heure est à la mobilisation. Et c’est ce que compte faire M. Doudou Wade président du groupe parlementaire libéral et démocratique. Une tâche qui risque d’être difficile. Car, mis au courant sur ce qui se trame, les députés libéraux commencent à prendre des position. Pour l’instant, Sada Ndiaye a obtenu 23 signatures de députés qui le soutiennent dans son combat. Alors que le groupe compte 134 députés. Depuis le début des hostilités, Doudou Wade a du mal à regrouper la majorité des députés libéraux. Pire, beaucoup d’entre eux ont exprimé, publiquement ou en cachette, leur soutien au président de l’Assemblée nationale. Et lui rendent compte des menaces et autres chantages dont ils font l’objet. Ce qui présage de chaudes empoignades entre députés libéraux.
source lobservateur
D’ailleurs, le bureau de l’Assemblée nationale est convoqué aujourd’hui pour régler ces « détails ». Mais aussi, pour revenir sur les deux propositions de loi des députés non-inscrits.
La proposition de loi contre Karim Wade au menu
Lors de la rencontre du bureau de l’Assemblée nationale, la proposition de loi modifiant l’article 28 sera remise sur la table, ainsi que celle modifiant le code pénal et qui vise à corser les sanctions contre les homosexuels. Lors de la dernière rencontre, certains membres du bureau ont jugé que la 1ière proposition de loi citée est irrecevable parce qu’elle vise une personne. Mais d’autres membres ont estimé que la proposition de loi Sada Ndiaye vise une personne et qu’il n’y a pas de raison qu’on laisse passer la première et que les deux autres soient considérées irrecevables.
Doudou Wade convoque aujourd’hui les députés libéraux
Après la réponse de Me Abdoulaye Wade, l’heure est à la mobilisation. Et c’est ce que compte faire M. Doudou Wade président du groupe parlementaire libéral et démocratique. Une tâche qui risque d’être difficile. Car, mis au courant sur ce qui se trame, les députés libéraux commencent à prendre des position. Pour l’instant, Sada Ndiaye a obtenu 23 signatures de députés qui le soutiennent dans son combat. Alors que le groupe compte 134 députés. Depuis le début des hostilités, Doudou Wade a du mal à regrouper la majorité des députés libéraux. Pire, beaucoup d’entre eux ont exprimé, publiquement ou en cachette, leur soutien au président de l’Assemblée nationale. Et lui rendent compte des menaces et autres chantages dont ils font l’objet. Ce qui présage de chaudes empoignades entre députés libéraux.
source lobservateur