Tenez-vous bien ! L’association survie France, l’appelle" biens mal acquis»; le pouvoir du 25 mars 2012, le surnomme emphatiquement "Rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger".
"Rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger", une mesure plus que salutaire, mais hélas, vouée à l’échec. "Rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger", une mesure plus que salutaire, mais bien un grand mot. Ce n’est pas maintenant ! Une utopie pour nous emberlificoter ! Une mission périlleuse et onéreuse. C’est comme un coup d’épée dans l’eau.
Et ces prédateurs aux motivations éminemment financières, qui s’engouffrent dans la brèche et appellent à une mobilisation citoyenne, avec comme arrière plan, un mal de publicité pour arrondir des fins de mois en berne ? Ils connaissent la crise et tentent de se sucrer là-dessus, sans vergogne, alors qu’ils n’en croient nullement à ce qu’ils avancent. Notre analyse sur la question. La volonté du politiquement correct à récupérer des biens mal acquis est une chose, mais lorsqu’il s’agit de la transformer en vérité absolue, immuable, c’en est une autre. Un marché de dupes. C’est beaucoup plus difficile qu’il n’y paraît.
Les sénégalais sont-ils donc amnésiques au point de croire "au Rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger" ? Croire à de telles pantalonnades, c’est se réinscrire ridiculement à la mission divine dite « civilisatrice blanche » d’une certaine Europe nombriliste, goguenarde, triomphaliste ! Cette même Europe moralisatrice, au prétexte d’interdire le banditisme international financier, autorise par ricochet dans son sol, sur fond de mécanismes des leurres, des paradis fiscaux et s’érige en docteurs ès exemplaires. Peut-on être à la fois pillards, pyromanes, receleurs et jouer les pompiers de service ?
Depuis l'accession à l'indépendance du Soudan du Sud en 2011, l'Afrique compte désormais 54 États souverains. Sur les 180 pays que compte la planète, 5 seulement décident en lieu et place des autres contre leur gré. En vérité, au lendemain de la guerre, les vainqueurs mirent sur pied une structure internationale[l’organisation des nations unies], chargée de maintenir la paix et la
sécurité internationales et à cette fin : prendre des mesures collectives efficaces en vue de prévenir et d'écarter les menaces à la paix et de réprimer tout acte d'agression ou autre rupture de la paix, et réaliser, par des moyens pacifiques, conformément aux principes de la justice et du droit international, l'ajustement ou le règlement de différends ou de situations, de caractère international, susceptibles de mener à une rupture de la paix.
Les bonnes causes doivent servir les intérêts colonialistes bien maquillés. Pour ce faire et pour ne pas apparaître comme une force d’occupation étrangère, dans les zones de conflits, les casques bleus supposés neutres sous l’estampille de l’onu, s’interposent entre les forces belligérantes. Mais en réalité, au prétexte de protéger les civils, on décrète une zone d’exclusion aérienne, en modifiant aisément les objectifs, dont le but inavoué est de neutraliser le camp adverse. On l’a bien en Côte d’ivoire et en Libye. C’est bien le cas en Syrie du régime des Assad, lequel reçut tous les honneurs de son rang. Aujourd’hui, il est devenu encombrant, en étant l’objet de tous les noms d’oiseau. La démocratie à géométrie variable, aucun doute.
La démocratie est substantielle à la puissance technologique, économique et politique, selon leurs propres intérêts colonialistes. Les états colonialistes n’ont pas d’amis, mais des intérêts exclusifs. L’onu n’est rien d’autre que le gendarme colonial marchant au pas des vainqueurs. Ce n’est ni plus ni moins qu’une tyrannie apparentée à la démocratie. Autrement dit, le ver est bien dans le fruit.
Y croire, c’est à ne rien comprendre à l’histoire du colonialisme, aux lobbies capitalistes mondialistes. Si ses promesses étaient de l’argent comptant, il y a fort à parier qu’aucun africain ne resterait plus de 24 heures sur le climat froid, à moins qu’il soit sur les habits d’un touriste.
Peut-on croire à la sincérité de ces puissances capitalistes et impérialistes, à la fois pyromanes et pompiers de service lesquelles hypothèquent l’avenir de l’Afrique ?
Croire que l’érection de ces paradis fiscaux, parrainés par le politique, servirait au rapatriement des biens mal acquis, est un non sens, un mirage grotesque. C’est une question de bon sens. On ne crée pas des entreprises pour les fermer, au contraire, c’est pour avoir des dividendes tirés sur l’épaule des africains. Le jour où il y aurait des rapatriements des biens mal acquis africains, reversés au même contribuable, africain, cela créerait nécessairement non seulement la révolution en Europe, mais
ce serait la dégringolade assurée et le déclin de l’hégémonie occidentale, car qui compenserait le manque à gagner ? C’est ridicule et utopique que de croire à de telles âneries. Non, nous ne sommes pas des veaux ! Ce sont des gesticulations stériles pour amuser simplement la galerie !
Mais depuis quand parle-t-on des biens mal acquis ? La réalité est autre qu’on ne le croit. C’est une illusion monumentale que d’accorder une quelconque crédibilité à ces balourdises, qui ne convainquent personne, sauf peut être les éternels candides, aux esprits étroitement colonisés, méconnaissant totalement les mécanismes de la capacité de nuisance du capitalisme mondial déréglé.
Le rapatriement hypothétique " des biens spoliés et placés à l'étranger" sous l’appellation " des biens mal acquis-BMA" par des moyens occultes au plus haut sommet de certains chefs d’états africains corrompus et incorrigibles, exemplaires en la matière, relève d’une aberration.
C’est comme vouloir chercher une aiguille dans une montagne de foin. La volonté affichée contraste parfaitement avec la réalité sur le terrain, car l’inféodation de la mondialisation des oligarchies financières aux pratiques très opaques par ses ramifications diverses, incontrôlées, incontrôlables, et insaisissables, tel le cordon ombilical des jumeaux, fortement liées au système capitaliste débridé avec ses mécanismes éloquemment douteux, à son image d’Epinal , sont difficilement cernables par sa complexité, ne militent nullement à la faveur de l’optimisme béat.
Ces officines internationales nébuleuses légèrement recommandables et peu enclines à la transparence financière, se nourrissent exclusivement des moyens vaguement honorables, par l’entregent des caisses noires occultes, imputables à certains chefs d’états africains, déclarés maitres de la haute trahison et qui sont notoirement des corrompus patentés, impénitents, alimentent bassement ces paradis fiscaux, qui n’en demandent pas moins, car ces derniers sont crées de toute pièce et sont sous le parapluie du politique à la fois bavard et bienveillant, silencieux et complice, même s’il fait semblant de réguler les transactions financières, pour se donner bonne conscience de façade.
Curieusement, les PMA-dits les pays les moins avancés, politiquement et économiquement, sont pourtant très riches en toutes sortes de minerais, ne sont que des vaches à lait pour alimenter les capitaines d’industries, lesquels sont sous le
contrôle effectif des puissances hégémoniques, capricieuses, aux connotations capitalistes, colonialistes par essence. Croire pouvoir un seul instant "au rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger" relève d’une illusion saisissante. Après avoir pillé et réduit en esclave le continent noir pendant quatre siècles et vouloir l’aider, n’a pas de sens. Les pays pauvres, principalement en Afrique noire, sont achevés à coup de hache avant d’être livrés honteusement aux caïmans très voraces. Récupération des biens mal acquis, une utopie !
Modou ngoné Fall DéguèneNdiaye
Les vérités d’un internaute Africain solitaire
"Rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger", une mesure plus que salutaire, mais hélas, vouée à l’échec. "Rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger", une mesure plus que salutaire, mais bien un grand mot. Ce n’est pas maintenant ! Une utopie pour nous emberlificoter ! Une mission périlleuse et onéreuse. C’est comme un coup d’épée dans l’eau.
Et ces prédateurs aux motivations éminemment financières, qui s’engouffrent dans la brèche et appellent à une mobilisation citoyenne, avec comme arrière plan, un mal de publicité pour arrondir des fins de mois en berne ? Ils connaissent la crise et tentent de se sucrer là-dessus, sans vergogne, alors qu’ils n’en croient nullement à ce qu’ils avancent. Notre analyse sur la question. La volonté du politiquement correct à récupérer des biens mal acquis est une chose, mais lorsqu’il s’agit de la transformer en vérité absolue, immuable, c’en est une autre. Un marché de dupes. C’est beaucoup plus difficile qu’il n’y paraît.
Les sénégalais sont-ils donc amnésiques au point de croire "au Rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger" ? Croire à de telles pantalonnades, c’est se réinscrire ridiculement à la mission divine dite « civilisatrice blanche » d’une certaine Europe nombriliste, goguenarde, triomphaliste ! Cette même Europe moralisatrice, au prétexte d’interdire le banditisme international financier, autorise par ricochet dans son sol, sur fond de mécanismes des leurres, des paradis fiscaux et s’érige en docteurs ès exemplaires. Peut-on être à la fois pillards, pyromanes, receleurs et jouer les pompiers de service ?
Depuis l'accession à l'indépendance du Soudan du Sud en 2011, l'Afrique compte désormais 54 États souverains. Sur les 180 pays que compte la planète, 5 seulement décident en lieu et place des autres contre leur gré. En vérité, au lendemain de la guerre, les vainqueurs mirent sur pied une structure internationale[l’organisation des nations unies], chargée de maintenir la paix et la
sécurité internationales et à cette fin : prendre des mesures collectives efficaces en vue de prévenir et d'écarter les menaces à la paix et de réprimer tout acte d'agression ou autre rupture de la paix, et réaliser, par des moyens pacifiques, conformément aux principes de la justice et du droit international, l'ajustement ou le règlement de différends ou de situations, de caractère international, susceptibles de mener à une rupture de la paix.
Les bonnes causes doivent servir les intérêts colonialistes bien maquillés. Pour ce faire et pour ne pas apparaître comme une force d’occupation étrangère, dans les zones de conflits, les casques bleus supposés neutres sous l’estampille de l’onu, s’interposent entre les forces belligérantes. Mais en réalité, au prétexte de protéger les civils, on décrète une zone d’exclusion aérienne, en modifiant aisément les objectifs, dont le but inavoué est de neutraliser le camp adverse. On l’a bien en Côte d’ivoire et en Libye. C’est bien le cas en Syrie du régime des Assad, lequel reçut tous les honneurs de son rang. Aujourd’hui, il est devenu encombrant, en étant l’objet de tous les noms d’oiseau. La démocratie à géométrie variable, aucun doute.
La démocratie est substantielle à la puissance technologique, économique et politique, selon leurs propres intérêts colonialistes. Les états colonialistes n’ont pas d’amis, mais des intérêts exclusifs. L’onu n’est rien d’autre que le gendarme colonial marchant au pas des vainqueurs. Ce n’est ni plus ni moins qu’une tyrannie apparentée à la démocratie. Autrement dit, le ver est bien dans le fruit.
Y croire, c’est à ne rien comprendre à l’histoire du colonialisme, aux lobbies capitalistes mondialistes. Si ses promesses étaient de l’argent comptant, il y a fort à parier qu’aucun africain ne resterait plus de 24 heures sur le climat froid, à moins qu’il soit sur les habits d’un touriste.
Peut-on croire à la sincérité de ces puissances capitalistes et impérialistes, à la fois pyromanes et pompiers de service lesquelles hypothèquent l’avenir de l’Afrique ?
Croire que l’érection de ces paradis fiscaux, parrainés par le politique, servirait au rapatriement des biens mal acquis, est un non sens, un mirage grotesque. C’est une question de bon sens. On ne crée pas des entreprises pour les fermer, au contraire, c’est pour avoir des dividendes tirés sur l’épaule des africains. Le jour où il y aurait des rapatriements des biens mal acquis africains, reversés au même contribuable, africain, cela créerait nécessairement non seulement la révolution en Europe, mais
ce serait la dégringolade assurée et le déclin de l’hégémonie occidentale, car qui compenserait le manque à gagner ? C’est ridicule et utopique que de croire à de telles âneries. Non, nous ne sommes pas des veaux ! Ce sont des gesticulations stériles pour amuser simplement la galerie !
Mais depuis quand parle-t-on des biens mal acquis ? La réalité est autre qu’on ne le croit. C’est une illusion monumentale que d’accorder une quelconque crédibilité à ces balourdises, qui ne convainquent personne, sauf peut être les éternels candides, aux esprits étroitement colonisés, méconnaissant totalement les mécanismes de la capacité de nuisance du capitalisme mondial déréglé.
Le rapatriement hypothétique " des biens spoliés et placés à l'étranger" sous l’appellation " des biens mal acquis-BMA" par des moyens occultes au plus haut sommet de certains chefs d’états africains corrompus et incorrigibles, exemplaires en la matière, relève d’une aberration.
C’est comme vouloir chercher une aiguille dans une montagne de foin. La volonté affichée contraste parfaitement avec la réalité sur le terrain, car l’inféodation de la mondialisation des oligarchies financières aux pratiques très opaques par ses ramifications diverses, incontrôlées, incontrôlables, et insaisissables, tel le cordon ombilical des jumeaux, fortement liées au système capitaliste débridé avec ses mécanismes éloquemment douteux, à son image d’Epinal , sont difficilement cernables par sa complexité, ne militent nullement à la faveur de l’optimisme béat.
Ces officines internationales nébuleuses légèrement recommandables et peu enclines à la transparence financière, se nourrissent exclusivement des moyens vaguement honorables, par l’entregent des caisses noires occultes, imputables à certains chefs d’états africains, déclarés maitres de la haute trahison et qui sont notoirement des corrompus patentés, impénitents, alimentent bassement ces paradis fiscaux, qui n’en demandent pas moins, car ces derniers sont crées de toute pièce et sont sous le parapluie du politique à la fois bavard et bienveillant, silencieux et complice, même s’il fait semblant de réguler les transactions financières, pour se donner bonne conscience de façade.
Curieusement, les PMA-dits les pays les moins avancés, politiquement et économiquement, sont pourtant très riches en toutes sortes de minerais, ne sont que des vaches à lait pour alimenter les capitaines d’industries, lesquels sont sous le
contrôle effectif des puissances hégémoniques, capricieuses, aux connotations capitalistes, colonialistes par essence. Croire pouvoir un seul instant "au rapatriement des biens spoliés et placés à l'étranger" relève d’une illusion saisissante. Après avoir pillé et réduit en esclave le continent noir pendant quatre siècles et vouloir l’aider, n’a pas de sens. Les pays pauvres, principalement en Afrique noire, sont achevés à coup de hache avant d’être livrés honteusement aux caïmans très voraces. Récupération des biens mal acquis, une utopie !
Modou ngoné Fall DéguèneNdiaye
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