La Cour des comptes affirme que les ordres de Mission d'Idrissa Seck, Cheikh Abdoulaye Ndiaye et Vieux Sandiéry Diop du 23 juillet 2003 sur l'itinéraire Dakaar- Johannesburg-Port Louis-Paris- Marrakech-Paris- Sao Paulo- Uberaba-Sao Paulo-Paris-Dakar sont délivrés avec comme simple motif léger aux yeux des auditeurs de la Cour des comptes parce qu'il ne permet pas de déterminer l'objet de la mission. Aussi, la Cour mentionne que le nombre de jours payés à Idrissa Seck et sa délégation, c'est-à-dire 34 jours, dépasse largement le plafond de 21 jours fixé par la réglementation. Selon les auditeurs, ni le secrétaire général du gouvernement, ni le chef du Sage n'ont pu justifier la mission de M. Seck. Ce qui est insolite dans ce cas, indique le journal L'As, c'est que la mission a été effectuée pendant la période de vacances gouvernementales de 2003. Ainsi, la Cour en a conclu que le secrétaire général du gouvernement et le Sage de la Primature ont violé les textes en la matière.
Rapport 2012 de la Cour des comptes : Idrissa Seck et sa sécurité pris la main dans le sacLe patron de Rewmi a été épinglé par le rapport de la Cour des comptes. Dans son rapport 2012, transmis au chef de l'Etat Macky Sall avant-hier et au président de l'Assemblée nationale Moustapha Niasse, hier, la Cour écrit que Idrissa Seck a usé de son statut d'alors de Premier ministre pour se prendre en charge ses frais de missions de manière irrégulière.Rédigé par leral.net le Mercredi 27 Août 2014 à 09:33 | | 22 commentaire(s)|
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