Ledit rapport fait état de 26 griefs et interpellent les deux directeurs généraux qui ont eu à officier au cours de la période auditée, en l’occurrence El Hadji Hamidou Kassé et Mamadou Sèye. Le premier qui occupe actuellement les fonctions de coordonnateur du pool communication de la présidence de la République en tant que conseiller spécial du chef de l’Etat, dégage en touche toute implication dans de soi-disant malversations qui concerneraient des histoires de voitures, d’imprimerie… El Hadji Hamidou Kassé qui dit tenir à son honneur, précise qu’il a «donné toutes les informations nécessaires aux auditeurs sur les trois points sur lesquels, il a été interpelé nommément». Ces interpellations portent sur les points 7, 17 et 21 du pré-rapport.
Sur le point numéro 17, il est fait des griefs aux deux anciens directeurs généraux du quotidien Le Soleil d’avoir eu du retard dans l’élaboration du budget, d’avoir fait un dépassement budgétaire et surtout d’avoir procédé à l’exécution de certaines dépenses sans l’avis du contrôle. Selon El Hadji Kassé dans sa réponse fournie aux audtieurs de la Cour des comptes, tout ceci est dû à «la période de vacation qui a été notée dans la nomination du président de Conseil d’administration qui devait remplacer Samba Diouldé Thiam». Or, note-t-il, «l’administration du journal ne saurait souffrir de telles lenteurs».
Dans le point 17, les auditeurs ont demandé à être édifiés sur les indemnités de fonctions et primes de responsabilité. Dans sa réponse le conseiller spécial de Macky Sall précise que «le directeur général du Soleil ne bénéficie pas de ces indemnités et primes de responsabilité. Ce sont plutôt les chefs de services et autres directeurs qui en jouissent. Ces privilèges y ont encore droit de cité».
Enfin, le point 21 fait état du retard dans le versement des cotisations sociales. A ce sujet, Kassé indexe «les problèmes de trésorerie et le stock de dettes à apurer», comme étant la base de ce retard.
SOULEYMANE KANE lesenegalais.net
Sur le point numéro 17, il est fait des griefs aux deux anciens directeurs généraux du quotidien Le Soleil d’avoir eu du retard dans l’élaboration du budget, d’avoir fait un dépassement budgétaire et surtout d’avoir procédé à l’exécution de certaines dépenses sans l’avis du contrôle. Selon El Hadji Kassé dans sa réponse fournie aux audtieurs de la Cour des comptes, tout ceci est dû à «la période de vacation qui a été notée dans la nomination du président de Conseil d’administration qui devait remplacer Samba Diouldé Thiam». Or, note-t-il, «l’administration du journal ne saurait souffrir de telles lenteurs».
Dans le point 17, les auditeurs ont demandé à être édifiés sur les indemnités de fonctions et primes de responsabilité. Dans sa réponse le conseiller spécial de Macky Sall précise que «le directeur général du Soleil ne bénéficie pas de ces indemnités et primes de responsabilité. Ce sont plutôt les chefs de services et autres directeurs qui en jouissent. Ces privilèges y ont encore droit de cité».
Enfin, le point 21 fait état du retard dans le versement des cotisations sociales. A ce sujet, Kassé indexe «les problèmes de trésorerie et le stock de dettes à apurer», comme étant la base de ce retard.
SOULEYMANE KANE lesenegalais.net
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