La cohabitation entre belle mère et belle fille n’est pas dès fois appropriée à une bonne entente. Le terme n’étant pas parfois des plus agréables, le climat pollué par des considérations à l’allure de rivalité expose des couples qui se séparent dans la douleur. Dans le feu du bras de fer se jette une farouche adversité entre les deux belles-familles qui rompent « le contrat » de respect et considération mutuelle qu’elles se vouaient pour se livrer à l’affrontement nourri d’une dose de haine et antipathie. Et bonjour les dégâts. Place faite à de l’animosité qui trouve ainsi son bouillon de culture pour développer un phénomène de société digne d’un film de conflit sans merci dont on ignore les issues selon qu’elles seront tragiques.
Par conséquent pour échapper à ses problèmes du genre certains hommes préfèrent prendre une chambre ou un appartement pour y vivre avec leurs femmes. Ce choix de vivre en couple et en dehors de la maison familiale ne règle pas toujours la situation. D’après une victime, « sa belle mère a trouvé ça anormal et a traité son fils d’irresponsable, d’un homme faible... Quand elle nous rend visite, elle regarde tout ce qui est nouveau chez nous et demande à son fils de lui en trouver pareil. Parfois elle lui dit « depuis que tu as épousé cette femme, tu ne prends plus soin de moi ». Elle le remontait sans cesse contre moi avec des expressions comme telles « c’est moi qui t’ai mis au monde, tu dois m’obéir au lieu de te fier aux caprices de ta profiteuse de femme ». A beau résister mon mari a fini par abdiquer et m’a répudiée».
Au contraire, selon certaines belles mères « les jeunes filles d’aujourd’hui ne se marient pas par amour ce sont des matérialistes. Elles ne cherchent qu’à profiter de ton fils. Quand ils parviennent à satisfaire leurs besoins financiers et matériels elles restent. Mais du coup, quand le mari ne peut plus faire face à cela, avec une maman en charge ses frères et sœurs, elles cherchent un prétexte pour s’en aller en indexant leurs belles mères d’être à l’origine de leurs divorces. Elles ne supportent pas de voir un homme s’occuper de sa propre famille, elles s’accaparent « acquimo» ton fils pour elles seules. Nous refusons cela qui sort du cadre naturel avec le phénomène de maraboutage ».
Yaye Daro, la soixantaine pense que « Certains marabouts sont source de relations difficiles entre belle fille et belle mère. L’une d’entre elle ira le voir pour que l’autre soit mal vue par le fils ou l’époux. Parce que chacune veut ravir la vedette à l’autre sur le fils ou l’époux. Dans ces conditions ces dernières ne s’entendront jamais. Dans ces genres de situation la belle mère en tant que maman ne pouvant pas être chassée de la vie de son enfant, c’est la belle fille qui s’en ira à beau résister « Lolou mbiroum yalla là yaye defa fort ak noumou moute mén» car une maman c’est sacrée quelque soit ses défauts ». Hélas une maman a été chassée à Tambacounda de la maison par son fils immigré sous la menace de la mettre dehors avec les huissiers. C’est quand la pauvre mère a été insultée par sa belle fille que sa fille n’a pas supportée, elle s’est bagarrée avec cette dernière. C’est ce qui fait déborder le vase. La maman vit actuellement dans une maison d’une de ses filles à Dakar. Même s’il faut ajouter quelques mois plus tard, le divorce est intervenu entre son fils et sa femme. C’est en ces mots qu’il a reconnu sa tord « j’ai été marabouté par ma femme. Je ne me le pardonnerai jamais d’avoir chassé ma propre mère à cause d’elle… »
En outre cette relation sans complaisance s’explique t- elle par l’évolution des temps qui fait l’objet d’un débat appelé conflit de génération ? En tout cas les avis restent partagés. C’est à croire qu’au paravent quand un homme se marie, c’est « pour aider sa maman à la maison ». Il y’avait plus de tolérance et les belles mamans étaient des déesses devant leurs brus qui n’osaient même pas les fixer dans les yeux. « Ses désires étaient des ordres ». Mais actuellement. On note plusieurs scènes de disputes et parfois même des querelles entre autres qui sont dés fois source d’une division de famille. Cette situation laisse penser que la cohabitation entre belle mère et belle fille est devenue presque impossible. Pourquoi ? La réponse est peut être dans le coté puissance argent qui fait que chacun se veut un espace de luxe à soi et seulement à soi.
Dieynaba Kaba
Par conséquent pour échapper à ses problèmes du genre certains hommes préfèrent prendre une chambre ou un appartement pour y vivre avec leurs femmes. Ce choix de vivre en couple et en dehors de la maison familiale ne règle pas toujours la situation. D’après une victime, « sa belle mère a trouvé ça anormal et a traité son fils d’irresponsable, d’un homme faible... Quand elle nous rend visite, elle regarde tout ce qui est nouveau chez nous et demande à son fils de lui en trouver pareil. Parfois elle lui dit « depuis que tu as épousé cette femme, tu ne prends plus soin de moi ». Elle le remontait sans cesse contre moi avec des expressions comme telles « c’est moi qui t’ai mis au monde, tu dois m’obéir au lieu de te fier aux caprices de ta profiteuse de femme ». A beau résister mon mari a fini par abdiquer et m’a répudiée».
Au contraire, selon certaines belles mères « les jeunes filles d’aujourd’hui ne se marient pas par amour ce sont des matérialistes. Elles ne cherchent qu’à profiter de ton fils. Quand ils parviennent à satisfaire leurs besoins financiers et matériels elles restent. Mais du coup, quand le mari ne peut plus faire face à cela, avec une maman en charge ses frères et sœurs, elles cherchent un prétexte pour s’en aller en indexant leurs belles mères d’être à l’origine de leurs divorces. Elles ne supportent pas de voir un homme s’occuper de sa propre famille, elles s’accaparent « acquimo» ton fils pour elles seules. Nous refusons cela qui sort du cadre naturel avec le phénomène de maraboutage ».
Yaye Daro, la soixantaine pense que « Certains marabouts sont source de relations difficiles entre belle fille et belle mère. L’une d’entre elle ira le voir pour que l’autre soit mal vue par le fils ou l’époux. Parce que chacune veut ravir la vedette à l’autre sur le fils ou l’époux. Dans ces conditions ces dernières ne s’entendront jamais. Dans ces genres de situation la belle mère en tant que maman ne pouvant pas être chassée de la vie de son enfant, c’est la belle fille qui s’en ira à beau résister « Lolou mbiroum yalla là yaye defa fort ak noumou moute mén» car une maman c’est sacrée quelque soit ses défauts ». Hélas une maman a été chassée à Tambacounda de la maison par son fils immigré sous la menace de la mettre dehors avec les huissiers. C’est quand la pauvre mère a été insultée par sa belle fille que sa fille n’a pas supportée, elle s’est bagarrée avec cette dernière. C’est ce qui fait déborder le vase. La maman vit actuellement dans une maison d’une de ses filles à Dakar. Même s’il faut ajouter quelques mois plus tard, le divorce est intervenu entre son fils et sa femme. C’est en ces mots qu’il a reconnu sa tord « j’ai été marabouté par ma femme. Je ne me le pardonnerai jamais d’avoir chassé ma propre mère à cause d’elle… »
En outre cette relation sans complaisance s’explique t- elle par l’évolution des temps qui fait l’objet d’un débat appelé conflit de génération ? En tout cas les avis restent partagés. C’est à croire qu’au paravent quand un homme se marie, c’est « pour aider sa maman à la maison ». Il y’avait plus de tolérance et les belles mamans étaient des déesses devant leurs brus qui n’osaient même pas les fixer dans les yeux. « Ses désires étaient des ordres ». Mais actuellement. On note plusieurs scènes de disputes et parfois même des querelles entre autres qui sont dés fois source d’une division de famille. Cette situation laisse penser que la cohabitation entre belle mère et belle fille est devenue presque impossible. Pourquoi ? La réponse est peut être dans le coté puissance argent qui fait que chacun se veut un espace de luxe à soi et seulement à soi.
Dieynaba Kaba