Pas facile, la vie de megastar du foot. Même un soir de grande victoire, comme le titre de champion d’Espagne conquis dimanche soir par le Real Madrid dimanche soir sur la pelouse de Malaga, ne suffit pas à éradiquer la pression qui pèse sur les épaules d’un quadruple Ballon d’Or. En huit ans au Real Madrid, Cristiano Ronaldo n’a remporté que deux Liga.
Dont une hier. L’après-match n’aurait dû être que liesse et louanges. Elle fut le théâtre d’une belle colère de CR7 face aux médias. L’attaquant portugais s’est emporté après une question concernant son attitude mercredi lors d'un match à Vigo.
Sur des images de cette rencontre, on voyait le Portugais mimer le geste de tenir une valise, comme pour accuser les joueurs du Celta Vigo d'avoir reçu des "maletines" ("mallettes"), ces dessous-de-table que certains acteurs du football espagnol verseraient aux équipes n'ayant plus rien à jouer en Liga pour entretenir leur motivation face à un adversaire à battre.
"Je ne suis pas un saint"
"Je ne suis pas un saint, mais je ne suis pas non plus un démon, a lancé Ronaldo. Les gens parlent de moi comme si j'étais de la m... et cela me dérange. Vous (la presse) dites des choses de ‘Cris’ qui ne sont pas vraies. Cela me met en colère et c'est pour ça que je ne lis pas la presse et que je ne regarde pas la télévision, sinon je n'aurais plus de vie. Je vois tellement de gens qui parlent en mal de moi, que les gens ne savent pas la réalité des choses et ils parlent de moi comme si j'étais un délinquant et je ne faisais pas les choses bien. Je n'aime pas ce genre de choses parce que j'ai une famille, une mère, un fils et je n'aime pas qu'on dise des bêtises."
L'image du quadruple Ballon d'Or a été ternie ces derniers mois par des accusations de fraude fiscale présumée après que son nom a été cité dans le scandale des "Football Leaks" et lié à une possible "dissimulation" à hauteur de 150 millions d'euros.
Rmc
Dont une hier. L’après-match n’aurait dû être que liesse et louanges. Elle fut le théâtre d’une belle colère de CR7 face aux médias. L’attaquant portugais s’est emporté après une question concernant son attitude mercredi lors d'un match à Vigo.
Sur des images de cette rencontre, on voyait le Portugais mimer le geste de tenir une valise, comme pour accuser les joueurs du Celta Vigo d'avoir reçu des "maletines" ("mallettes"), ces dessous-de-table que certains acteurs du football espagnol verseraient aux équipes n'ayant plus rien à jouer en Liga pour entretenir leur motivation face à un adversaire à battre.
"Je ne suis pas un saint"
"Je ne suis pas un saint, mais je ne suis pas non plus un démon, a lancé Ronaldo. Les gens parlent de moi comme si j'étais de la m... et cela me dérange. Vous (la presse) dites des choses de ‘Cris’ qui ne sont pas vraies. Cela me met en colère et c'est pour ça que je ne lis pas la presse et que je ne regarde pas la télévision, sinon je n'aurais plus de vie. Je vois tellement de gens qui parlent en mal de moi, que les gens ne savent pas la réalité des choses et ils parlent de moi comme si j'étais un délinquant et je ne faisais pas les choses bien. Je n'aime pas ce genre de choses parce que j'ai une famille, une mère, un fils et je n'aime pas qu'on dise des bêtises."
L'image du quadruple Ballon d'Or a été ternie ces derniers mois par des accusations de fraude fiscale présumée après que son nom a été cité dans le scandale des "Football Leaks" et lié à une possible "dissimulation" à hauteur de 150 millions d'euros.
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