Selon le journal lu par Leral.net, c’est le 06 janvier dernier que des hommes en bleu et des sapeurs-pompiers auraient été aperçus au quai de pêche de Ndéppé. C’est dans la commune d’arrondissement de Rufisque Ouest. Vous avez compris que c’est dans la vieille ville de Rufisque que cette arme qui a donné fil à retordre aux enquêteurs a été retrouvée. La Tribune nous apprend que de 09 à 13 heures, des détachements de la police, de la Gendarmerie de Rufisque et des sapeurs-pompiers se sont activés sur cette plage. Cependant, les soldats du feu ont été beaucoup plus visibles. D’après le journal, ces derniers ont fait plusieurs plongeons dans la mer pour retrouver cette arme que cherchaient les hommes d’Harona Sy à la mairie de Barthélémy Dias. C’était le 25 décembre 2011. Seulement, ils ont buté sur le mur érigé par les conseillers municipaux appuyés par des voisins du prisonnier le plus célèbre au Sénégal.
Il ne fait aucun doute que c'est l'arme qui a ôté la vie à Ndiaga Diouf. Sinon pourquoi la jeter aux larges de Rufisque qui se trouve à des dizaines de kilométrés du lieu du crime ? En tout état de cause, cette découverte permettra aux limiers de franchir un pas dans l’enquête sur la mort du nervi Ndiaga Diouf. Rappelons que son présumer meurtrier, le maire socialiste Barthélémy Dias est mis sous mandat de dépôt depuis le 29 décembre pour homicide volontaire, coups et blessures volontaires et détention d'arme sans autorisation.
Il ne fait aucun doute que c'est l'arme qui a ôté la vie à Ndiaga Diouf. Sinon pourquoi la jeter aux larges de Rufisque qui se trouve à des dizaines de kilométrés du lieu du crime ? En tout état de cause, cette découverte permettra aux limiers de franchir un pas dans l’enquête sur la mort du nervi Ndiaga Diouf. Rappelons que son présumer meurtrier, le maire socialiste Barthélémy Dias est mis sous mandat de dépôt depuis le 29 décembre pour homicide volontaire, coups et blessures volontaires et détention d'arme sans autorisation.