Les Leaders de la Cap 21 estiment que la grande famille libérale doit se retrouver pour pérenniser l’alternance. « La Coalition Sopi de 2008 est une famille plurielle et large composée de parents et d’alliés, venus d’horizons divers. Ils sont condamnés à agir ensemble, dans l’unité, le pardon, la réconciliation et le dépassement », indique la Cap 21.
Les leaders de ces partis de la majorité présidentielle pensent que « tout doit être fait, pour reprendre langue avec Macky Sall, Idrissa Seck, Jean-Paul Dias, Mody Sy et tous les autres membres de la grande famille libérale dispersée, comme cela a été fait avec Me Massokhna Kane et Me Doudou Ndoye ».
Ils demandent également que cessent l’exclusion et les suspicions que « l’on essaie de promouvoir contre la Génération du concret ». « La Génération du concret dispose de troupes additionnelles dont l’alternance a besoin aux élections prochaines. Elle a parfaitement le droit de participer à la majorité présidentielle tout en préservant son identité comme c’est le cas avec des partis, groupements de partis, syndicats, mouvements associatifs », déclare la Cap 21.
Ses leaders ajoutent : « nous devons lui aménager sans hostilité ni crainte, un espace d’épanouissement et lui suggérer même des taches et des missions où son domaine de compétence et la qualité des ressources humaines qu’elle possède lui garantiront un succès dont le Pds n’est pas obligatoirement assuré ».
Selon eux, ce n’est pas en jouant la carte du Pds contre ses alliés, qu’on pourra garantir la pérennité de l’alternance. C’est pourquoi, ils lancent un « appel pressant à la majorité présidentielle, pour que cessent les déchirements, les invectives, les procès d’intention et les guerres de positionnement ».
Sur un autre point, la Conférence des Leaders « déplore et condamne toutes les dérives verbales, dont se sont rendus coupables, certains acteurs politiques ».
Les leaders de ces partis de la majorité présidentielle pensent que « tout doit être fait, pour reprendre langue avec Macky Sall, Idrissa Seck, Jean-Paul Dias, Mody Sy et tous les autres membres de la grande famille libérale dispersée, comme cela a été fait avec Me Massokhna Kane et Me Doudou Ndoye ».
Ils demandent également que cessent l’exclusion et les suspicions que « l’on essaie de promouvoir contre la Génération du concret ». « La Génération du concret dispose de troupes additionnelles dont l’alternance a besoin aux élections prochaines. Elle a parfaitement le droit de participer à la majorité présidentielle tout en préservant son identité comme c’est le cas avec des partis, groupements de partis, syndicats, mouvements associatifs », déclare la Cap 21.
Ses leaders ajoutent : « nous devons lui aménager sans hostilité ni crainte, un espace d’épanouissement et lui suggérer même des taches et des missions où son domaine de compétence et la qualité des ressources humaines qu’elle possède lui garantiront un succès dont le Pds n’est pas obligatoirement assuré ».
Selon eux, ce n’est pas en jouant la carte du Pds contre ses alliés, qu’on pourra garantir la pérennité de l’alternance. C’est pourquoi, ils lancent un « appel pressant à la majorité présidentielle, pour que cessent les déchirements, les invectives, les procès d’intention et les guerres de positionnement ».
Sur un autre point, la Conférence des Leaders « déplore et condamne toutes les dérives verbales, dont se sont rendus coupables, certains acteurs politiques ».