Un monde que connaît déjà Souleymane Jules Diop, puisqu’il a passé ces dernières années, dans la plus grande discrétion, à former les leaders des plus grandes entreprises du monde en communication orale, en tant que directeur exécutif d’In-Act Consulting, une société américaine. Il s’y ajoute qu’à force de courage et de détermination, M. Diop est devenu l’un des leaders d’opinion les plus connus et les plus respectés, au Sénégal et à l’étranger. C’est cette aura et cette respectabilité qu’il doit mettre en valeur pour non seulement convaincre les investisseurs, mais aussi vendre la destination Sénégal auprès des institutions internationales et des organisations des Droits de l’homme, sans compter le tourisme sénégalais. Le journaliste chroniqueur sénégalais est à lui tout seul le signe que le Sénégal a retrouvé la stabilité et la liberté, puisqu’il a failli payer de sa vie son combat pour le départ du président Wade.
Cette nouvelle mission est loin d’être évidente, mais le président de la République a pensé qu’il trouve là le meilleur profil pour vendre le Sénégal et attirer les investisseurs. Sept années de missions de consultant, de conférences en Europe et dans le monde ont fini par en faire un des plus grands connaisseurs des réalités économiques du Sénégal et de nos besoins en investissements. Il a notamment frappé l’attention du chef de l’Etat lors d’une conférence publique qu’il a animée à Franckfort. Souleymane Jules Diop a été longuement applaudi par un auditoire allemand à la salle de conférence de la Fondation Goeth, où il parlait de la renaissance économique de l’Afrique, qui retrouve petit à petit la stabilité et la démocratie, après avoir nourri pendant longtemps le pessimisme des plus grands économistes du monde. «C’est inexact de dire que nous n’avons que l’ arachide. Le Sénégal est un pays minier. Nous avons du pétrole, du gaz, du fer, de l’or, de l’uranium, du zircon, plusieurs qualités de marbre, des métaux rares à forte valeur ajoutée et nous avons une agriculture qui peut se moderniser pour nous rendre autosuffisants. Nous avons aussi le phosphate avec de nouveaux gisements qui vont apporter des richesses au nord du pays et mettre un terme à l’exode. Donc nous devons nous demander comment disposer des ressources humaines de qualité et attirer des capitaux pour investir au profit des populations, mais ne disons pas que nous sommes pauvres», avait-il déclaré, devant Macky Sall.
Cette nouvelle mission est loin d’être évidente, mais le président de la République a pensé qu’il trouve là le meilleur profil pour vendre le Sénégal et attirer les investisseurs. Sept années de missions de consultant, de conférences en Europe et dans le monde ont fini par en faire un des plus grands connaisseurs des réalités économiques du Sénégal et de nos besoins en investissements. Il a notamment frappé l’attention du chef de l’Etat lors d’une conférence publique qu’il a animée à Franckfort. Souleymane Jules Diop a été longuement applaudi par un auditoire allemand à la salle de conférence de la Fondation Goeth, où il parlait de la renaissance économique de l’Afrique, qui retrouve petit à petit la stabilité et la démocratie, après avoir nourri pendant longtemps le pessimisme des plus grands économistes du monde. «C’est inexact de dire que nous n’avons que l’ arachide. Le Sénégal est un pays minier. Nous avons du pétrole, du gaz, du fer, de l’or, de l’uranium, du zircon, plusieurs qualités de marbre, des métaux rares à forte valeur ajoutée et nous avons une agriculture qui peut se moderniser pour nous rendre autosuffisants. Nous avons aussi le phosphate avec de nouveaux gisements qui vont apporter des richesses au nord du pays et mettre un terme à l’exode. Donc nous devons nous demander comment disposer des ressources humaines de qualité et attirer des capitaux pour investir au profit des populations, mais ne disons pas que nous sommes pauvres», avait-il déclaré, devant Macky Sall.