En l’espace de 36 mois, six principaux axes de la région de Louga devront être entièrement opérationnels. Les travaux, menés par l’entreprise Sotracom, consisteront essentiellement à revêtir les tronçons abimés de tapis d’enrobée. Ceux-ci ont d’ailleurs déjà commencé à être posés sur certains axes comme celui de Dahra-Touba. Par contre, d’autres routes à l’instar de celle de Ouarack-Dahra n’en sont qu’à des stades de préparation pour permettre, par la suite, des travaux plus poussés. Dans tous les cas, au terme du chantier, la région gagnera plusieurs kilomètres de routes : à titre d’illustration, sur l’axe Louga-Ouarack-Dahra, 35 km seront pimpants neufs et, sur celui de Ouarack-Ndoyenne, ce sera près de la moitié (17 Km) qui sera récupéré.
Tout cela permettra, entre autres, à l’agriculture, une des principales activités de la région, de redécoller. Car, sans des routes viables, le déplacement des personnes comme des marchandises est sérieusement compromis, influant négativement sur toute l’économie régionale. A présent, le plus grand problème réside dans le financement du chantier. Pour cause, celui-ci se faisant de manière échelonnée, l’Etat sénégalais n’a débloqué que 5 milliards de FCFA (11 millions de dollars américains) pour cette année. Le reste devrait être versé au courant des prochaines années. Une promesse qui ne rassure pas vraiment les habitants de Louga.
Tout cela permettra, entre autres, à l’agriculture, une des principales activités de la région, de redécoller. Car, sans des routes viables, le déplacement des personnes comme des marchandises est sérieusement compromis, influant négativement sur toute l’économie régionale. A présent, le plus grand problème réside dans le financement du chantier. Pour cause, celui-ci se faisant de manière échelonnée, l’Etat sénégalais n’a débloqué que 5 milliards de FCFA (11 millions de dollars américains) pour cette année. Le reste devrait être versé au courant des prochaines années. Une promesse qui ne rassure pas vraiment les habitants de Louga.