Il a, par ailleurs, fait comprendre que «c’est un bon mouvement mais qu’il faut surveiller de très près. Il faut l’encourager certes mais il faut le surveiller parce qu’il y aura peut-être des ratés». Pour lui, ces gens qui s’entrainent et qui acquièrent des techniques de combat peuvent constituer des sources de dangers s'ils ne deviennent pas des lutteurs. Parce que, dit-il, «tout le monde ne pourra pas devenir lutteur».
L’autre invité de l’émission, le Socio-anthropologue et chercheur à l’IFAN, Youssou Mbargane Guissé a fait savoir qu’«il y a des initiatives qui sont prises pour faire face à ce problème de résorbtion de la demande professionnelle». Par exemple, explique-t-il, «Tapha Guèye a ouvert une école qui associe la formation en lutte et l’agriculture, donc des métiers de production, il y a des initiatives qui sont prises pour encourager les lutteurs à acheter des taxis pour être dans le transport, etc.».
Papa Mamadou Diéry Diallo pressafrik.com
L’autre invité de l’émission, le Socio-anthropologue et chercheur à l’IFAN, Youssou Mbargane Guissé a fait savoir qu’«il y a des initiatives qui sont prises pour faire face à ce problème de résorbtion de la demande professionnelle». Par exemple, explique-t-il, «Tapha Guèye a ouvert une école qui associe la formation en lutte et l’agriculture, donc des métiers de production, il y a des initiatives qui sont prises pour encourager les lutteurs à acheter des taxis pour être dans le transport, etc.».
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