C’est avec une délégation composée de l’ensemble des acteurs impliqués dans la mise en œuvre de ce projet que M. Ndiaye a visité le site de Djougop, où sont recasés depuis plus d’un an, ces anciens habitants de la Langue de Barbarie, obligés de quitter leurs habitations à cause de la furie des vagues de la mer.
Au terme de sa tournée, il s’est réjoui de la qualité des infrastructures réalisées par l’Adm, qui a non seulement offert aux recasés un cadre de vie approprié, mais également des opportunités d’intégration.
Le préfet a surtout salué les belles initiatives développées sur place pour renforcer la résilience des populations, en leur offrant des activités capables de leur apporter des sources de revenus. En effet, sur le site, l’Adm a implanté un projet de micro-jardinage qui a permis la mise en place de 150 tables-jardins, sur une superficie de 360 mètres carrés.
Ces jardins qui produisent plusieurs spéculations, sont exploités par les femmes qui ont bénéficié au préalable d’une formation leur permettant de bien tenir les jardins, mais aussi d’assurer un écoulement des produits sur le marché.
Le préfet s’est aussi réjoui de la présence sur le site, d’infrastructures sanitaires permettant aux sinistrés de disposer de soins de santé mais aussi, du bon fonctionnement de l’école implantée sur le site, permettant ainsi aux enfants d’avoir un accès facile au système éducatif.
Avant de quitter les lieux, le préfet Modou Ndiaye a également visité le site de recasement définitif qui permettra dans un futur proche, la construction de bâtiments en dur pour fixer définitivement les bénéficiaires.
D’un coût global estimé à 93,33 millions Usd, pour une durée de 7 ans (2018-2025), le Projet de relèvement d’urgence et de résilience à Saint-Louis (Serrp) se veut, selon ses promoteurs, une réponse efficace pour faire face aux ondes de tempêtes maritimes intempestives et récurrentes auxquelles les populations de la Langue de Barbarie sont confrontées depuis plusieurs années.
Pour sécuriser les populations de la Langue de Barbarie, principalement de Guet-Ndar, exposées aux vagues, le projet prévoit de libérer une emprise de protection contre les effets des houles sur une bande de 3,6 km de long et de 20 mètres de large environ et le relogement de ces populations sur d’autres sites déjà aménagés.
A terme, 15 086 personnes seront déplacées de la Langue de Barbarie. A cet effet, l’Adm, agence d’exécution du projet, a acquis un site à Diougop dans la Commune de Gandon, où 530 logements en dur seront construits en vue d’y reloger ces populations déplacées.
Le Quotidien
Au terme de sa tournée, il s’est réjoui de la qualité des infrastructures réalisées par l’Adm, qui a non seulement offert aux recasés un cadre de vie approprié, mais également des opportunités d’intégration.
Le préfet a surtout salué les belles initiatives développées sur place pour renforcer la résilience des populations, en leur offrant des activités capables de leur apporter des sources de revenus. En effet, sur le site, l’Adm a implanté un projet de micro-jardinage qui a permis la mise en place de 150 tables-jardins, sur une superficie de 360 mètres carrés.
Ces jardins qui produisent plusieurs spéculations, sont exploités par les femmes qui ont bénéficié au préalable d’une formation leur permettant de bien tenir les jardins, mais aussi d’assurer un écoulement des produits sur le marché.
Le préfet s’est aussi réjoui de la présence sur le site, d’infrastructures sanitaires permettant aux sinistrés de disposer de soins de santé mais aussi, du bon fonctionnement de l’école implantée sur le site, permettant ainsi aux enfants d’avoir un accès facile au système éducatif.
Avant de quitter les lieux, le préfet Modou Ndiaye a également visité le site de recasement définitif qui permettra dans un futur proche, la construction de bâtiments en dur pour fixer définitivement les bénéficiaires.
D’un coût global estimé à 93,33 millions Usd, pour une durée de 7 ans (2018-2025), le Projet de relèvement d’urgence et de résilience à Saint-Louis (Serrp) se veut, selon ses promoteurs, une réponse efficace pour faire face aux ondes de tempêtes maritimes intempestives et récurrentes auxquelles les populations de la Langue de Barbarie sont confrontées depuis plusieurs années.
Pour sécuriser les populations de la Langue de Barbarie, principalement de Guet-Ndar, exposées aux vagues, le projet prévoit de libérer une emprise de protection contre les effets des houles sur une bande de 3,6 km de long et de 20 mètres de large environ et le relogement de ces populations sur d’autres sites déjà aménagés.
A terme, 15 086 personnes seront déplacées de la Langue de Barbarie. A cet effet, l’Adm, agence d’exécution du projet, a acquis un site à Diougop dans la Commune de Gandon, où 530 logements en dur seront construits en vue d’y reloger ces populations déplacées.
Le Quotidien