« Nous demandons que notre consœur Docteur Aicha Goundiam, soit entièrement rétablie dans ses droits, et cela est une exigence, justifiée non seulement par le bon respect des dispositions légales et règlementaires nous régissant, mais également pour un rétablissement du climat de confiance et de confraternité, sérieusement malmené depuis quelques temps, entre membres d’une profession aussi noble».
C’est l’appel lancé par le Collectif de veille des pharmaciens en direction du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens du Sénégal, à travers un communiqué parvenu à Sud Quotidien mercredi, dans de l’affaire de deux pharmacies pour un seul site au centre-ville de Dakar.
« En tant qu’Ordre garant des intérêts de la profession, il est de votre devoir de mettre le holà dans ce litige où manifestement, une de nos consœurs tente, en terme basique, de s’approprier du site régulièrement dévolu à une autre consœur qui en est titulaire et l’a exploité pendant un temps assez long, avec la circonstance qu’elle n’y a pas renoncé », soulignent-ils.
Selon le Collectif de veille des pharmaciens, « ce problème ne relève donc nullement de la responsabilité de l’Etat ou de la direction de la Pharmacie, mais de celle de l’Ordre qui doit garantir le respect régissant la profession, par tous les pharmaciens qui qu’ils soient, en toute équité et loyauté, et ce même, sous peine de sanction».
« Il ne doit pas être possible pour un pharmacien d’en évincer un autre de son site d’exercice de la profession, qui lui a été régulièrement attribué et ce, quelles que soient les circonstances invoquées, sauf, bien sûr, en cas d’absence, de vente de site entre pharmaciens, ou de renonciation expresse, régulièrement constatés», ont-ils clairement indiqué.
C’est l’appel lancé par le Collectif de veille des pharmaciens en direction du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens du Sénégal, à travers un communiqué parvenu à Sud Quotidien mercredi, dans de l’affaire de deux pharmacies pour un seul site au centre-ville de Dakar.
« En tant qu’Ordre garant des intérêts de la profession, il est de votre devoir de mettre le holà dans ce litige où manifestement, une de nos consœurs tente, en terme basique, de s’approprier du site régulièrement dévolu à une autre consœur qui en est titulaire et l’a exploité pendant un temps assez long, avec la circonstance qu’elle n’y a pas renoncé », soulignent-ils.
Selon le Collectif de veille des pharmaciens, « ce problème ne relève donc nullement de la responsabilité de l’Etat ou de la direction de la Pharmacie, mais de celle de l’Ordre qui doit garantir le respect régissant la profession, par tous les pharmaciens qui qu’ils soient, en toute équité et loyauté, et ce même, sous peine de sanction».
« Il ne doit pas être possible pour un pharmacien d’en évincer un autre de son site d’exercice de la profession, qui lui a été régulièrement attribué et ce, quelles que soient les circonstances invoquées, sauf, bien sûr, en cas d’absence, de vente de site entre pharmaciens, ou de renonciation expresse, régulièrement constatés», ont-ils clairement indiqué.