A quelques semaines du 3ème anniversaire de la seconde alternance démocratique, des professionnels de l’agitation s’ingénient à provoquer des perturbations sociopolitiques, et à se livrer sans causes objectives, à du populisme médiatique. Plus que jamais empêtrés dans des contradictions partisanes, ils sont continuellement en train de discourir et de diviser la scène politique en mille et une chapelles autour de mille et un nouveaux messies autoproclamés, éventuels candidats à la Présidence de la République, sans souci du ridicule, ni de la morale, encore moins de la compétence requise, pourvu qu’ils aient de quoi payer.
L’argent a remplacé des valeurs nobles quasiment dans tous les secteurs. Partout présent, parfois facile, parfois « sale », il a fait et défait des compagnonnages. Pour dominer le monde désormais, seul l’argent compte, et les argentiers s’y entendent pour le conserver et le gérer.
Après s’être adonnés à un gaspillage impuni des deniers publics, certains acteurs politiques dénient au pouvoir judiciaire le droit de leur demander des comptes,
Les menaces contre le pouvoir en place se multiplient, déplacées, impitoyables, parfois grandiloquentes et absurdes. Les marches de protestations, avortées, les sit-in à la place de l’obélisque, les regroupements, et les meetings en signe de refus de tout procès pouvant aboutir à des sanctions pour prévarication, prennent le pas sur les préoccupations de survie quotidienne, et l’ampleur des besoins de la population, restés sans solutions.
La modération des alliés de BBY, l’indifférence logique du Président de la République, ont exacerbé les comportements outranciers, et poussé à l’escalade en dépit du bon sens.
En effet, dans le contexte actuel, où aucune consultation électorale n’est en vue, le Sopi, qui n’a plus sa force d’antan, ni les moyens de revenir aux affaires, veut coûte que coûte provoquer des élections, quitte à mettre le pays à feu et à sang. Son leader politique, très accrocheur, est victime de l’usure du temps. Sa violence verbale ne vise qu’à sauver le fils biologique, produit mal aimé, victime d’une logique anarchiste paternelle, induite par une décennie d’exercice chaotique d’un pouvoir absolu sans respect de l’orthodoxie gouvernementale et des règles de l’administration.
L’envie de blesser, quitte à blasphémer, ne devrait pas être de mise. Tout un peuple s’est senti outragé par des propos qui n’honorent personne. Dans le pays du dialogue, il faut se parler entre adversaires, en diplomates, en êtres civilisés. Il faut en même temps refuser la politique du jeu de dupes, et des compromissions auxquels convient certains partisans de la facilité, qui disent que le pays ne va pas bien, il faut se rencontrer pour en discuter. Laissons la majorité gouverner. A chaque électeur revient le droit de la sanctionner en temps opportun et pour ce qu’elle aura accompli. Le peuple souverain mérite le respect !
Le Président Macky SALL, ne doit pas tomber dans ces pièges grossiers, mais plutôt s’occuper de ce pourquoi 65% des Sénégalais l’ont choisi en 2012 : contribuer à la satisfaction des besoins de base des sénégalais les plus vulnérables, à savoir les enfants et leurs mamans les personnes handicapées et celles du 3ème âge. Il a conduit des réformes fondamentales qui ont visé la justice, la protection sociale, l’emploi pour tous, la lutte contre la pauvreté et l’exclusion. Il faut continuer, et garder son calme.
En ces trois années de gouvernance courageuse, le Président de la République a su offrir au peuple sénégalais, des projets (entre autres, le PSE) et des politiques dont les réalisations même partielles, ont fait de notre pays petit et pauvre un géant en matière de Diplomatie et de Coopération internationale.
Indigné et révolté par le spectacle ahurissant qui nous a été servi, avec un casting digne d’un film d’horreur, je me sens solidaire du Président Macky SALL. Je suis enclin à le soutenir sans réserve, à défendre son action, partout où besoin sera, pour saluer son attitude empreinte de dignité, et son respect du peuple…..
Docteur Amadou Lamine THIAM
Conseiller municipal de la commune de Mermoz-Sacré-Cœur
26/02/2015
L’argent a remplacé des valeurs nobles quasiment dans tous les secteurs. Partout présent, parfois facile, parfois « sale », il a fait et défait des compagnonnages. Pour dominer le monde désormais, seul l’argent compte, et les argentiers s’y entendent pour le conserver et le gérer.
Après s’être adonnés à un gaspillage impuni des deniers publics, certains acteurs politiques dénient au pouvoir judiciaire le droit de leur demander des comptes,
Les menaces contre le pouvoir en place se multiplient, déplacées, impitoyables, parfois grandiloquentes et absurdes. Les marches de protestations, avortées, les sit-in à la place de l’obélisque, les regroupements, et les meetings en signe de refus de tout procès pouvant aboutir à des sanctions pour prévarication, prennent le pas sur les préoccupations de survie quotidienne, et l’ampleur des besoins de la population, restés sans solutions.
La modération des alliés de BBY, l’indifférence logique du Président de la République, ont exacerbé les comportements outranciers, et poussé à l’escalade en dépit du bon sens.
En effet, dans le contexte actuel, où aucune consultation électorale n’est en vue, le Sopi, qui n’a plus sa force d’antan, ni les moyens de revenir aux affaires, veut coûte que coûte provoquer des élections, quitte à mettre le pays à feu et à sang. Son leader politique, très accrocheur, est victime de l’usure du temps. Sa violence verbale ne vise qu’à sauver le fils biologique, produit mal aimé, victime d’une logique anarchiste paternelle, induite par une décennie d’exercice chaotique d’un pouvoir absolu sans respect de l’orthodoxie gouvernementale et des règles de l’administration.
L’envie de blesser, quitte à blasphémer, ne devrait pas être de mise. Tout un peuple s’est senti outragé par des propos qui n’honorent personne. Dans le pays du dialogue, il faut se parler entre adversaires, en diplomates, en êtres civilisés. Il faut en même temps refuser la politique du jeu de dupes, et des compromissions auxquels convient certains partisans de la facilité, qui disent que le pays ne va pas bien, il faut se rencontrer pour en discuter. Laissons la majorité gouverner. A chaque électeur revient le droit de la sanctionner en temps opportun et pour ce qu’elle aura accompli. Le peuple souverain mérite le respect !
Le Président Macky SALL, ne doit pas tomber dans ces pièges grossiers, mais plutôt s’occuper de ce pourquoi 65% des Sénégalais l’ont choisi en 2012 : contribuer à la satisfaction des besoins de base des sénégalais les plus vulnérables, à savoir les enfants et leurs mamans les personnes handicapées et celles du 3ème âge. Il a conduit des réformes fondamentales qui ont visé la justice, la protection sociale, l’emploi pour tous, la lutte contre la pauvreté et l’exclusion. Il faut continuer, et garder son calme.
En ces trois années de gouvernance courageuse, le Président de la République a su offrir au peuple sénégalais, des projets (entre autres, le PSE) et des politiques dont les réalisations même partielles, ont fait de notre pays petit et pauvre un géant en matière de Diplomatie et de Coopération internationale.
Indigné et révolté par le spectacle ahurissant qui nous a été servi, avec un casting digne d’un film d’horreur, je me sens solidaire du Président Macky SALL. Je suis enclin à le soutenir sans réserve, à défendre son action, partout où besoin sera, pour saluer son attitude empreinte de dignité, et son respect du peuple…..
Docteur Amadou Lamine THIAM
Conseiller municipal de la commune de Mermoz-Sacré-Cœur
26/02/2015