Le comité Miss Sénégal 2024 est à pied d’œuvre. Après les soubresauts que ses organisateurs ont connus, ce concours de beauté reprend de plus belle. Sa présidente, Amina Badiane dit avoir «pardonné à ses ennemis» et a les yeux tournés vers l’avenir, avec la participation du Sénégal à Miss Univers, à Miss Monde, à Miss Afrique, à Miss Élite. «Miss Sénégal, plus qu’un concours de beauté, est une vitrine de notre pays, un vecteur de nos valeurs. Depuis vingt ans, nous n’avons pas participé aux concours de beauté comme Miss Monde, Miss Elite. Cette année, nous avons acquis les licences. Depuis 2021, nous n’avons pas organisé Miss Sénégal», a-t-elle dit. Avant de faire allusion au scandale qui avait entraîné la suspension de Miss Sénégal : «J’ai pardonné à ceux qui m’ont fait du mal, car ce n’est pas ma personne qui compte mais le Sénégal».
La conseillère technique de la ministre de la Famille et des Solidarités, Astou Fall, a, quant à elle, assuré de «l’engagement du ministère à accompagner cet évènement majeur, compte tenu des thématiques comme l’autonomisation des femmes, l’entrepreneuriat féminin, la protection des femmes et des jeunes filles, qui cadrent avec les missions du ministère». Elle ajoute : «Qui dit autonomisation et entrepreneuriat féminin, dit protection des femmes. Aujourd’hui, les femmes sont victimes de maltraitance et de discrimination. Nous avons le devoir de protéger les candidates, de les encadrer». C’est le sens du comité éthique que dirige Hélène Tine. L’ancienne députée d’ajouter : «Ces jeunes filles sont porteuses de messages autour des valeurs morales et culturelles, car la femme est le socle de la famille et de la société. Nous sommes là pour prendre la place des parents de ces candidates. Il faut que les patents se rassurent. Le comité éthique va pleinement jouer son rôle et les droits des candidates seront respectés. Par ailleurs, il est important que les candidates soient sensibilisées sur les Odd (Objectifs de développement durable), comme l’autonomisation des femmes».
Avec emedia.sn
La conseillère technique de la ministre de la Famille et des Solidarités, Astou Fall, a, quant à elle, assuré de «l’engagement du ministère à accompagner cet évènement majeur, compte tenu des thématiques comme l’autonomisation des femmes, l’entrepreneuriat féminin, la protection des femmes et des jeunes filles, qui cadrent avec les missions du ministère». Elle ajoute : «Qui dit autonomisation et entrepreneuriat féminin, dit protection des femmes. Aujourd’hui, les femmes sont victimes de maltraitance et de discrimination. Nous avons le devoir de protéger les candidates, de les encadrer». C’est le sens du comité éthique que dirige Hélène Tine. L’ancienne députée d’ajouter : «Ces jeunes filles sont porteuses de messages autour des valeurs morales et culturelles, car la femme est le socle de la famille et de la société. Nous sommes là pour prendre la place des parents de ces candidates. Il faut que les patents se rassurent. Le comité éthique va pleinement jouer son rôle et les droits des candidates seront respectés. Par ailleurs, il est important que les candidates soient sensibilisées sur les Odd (Objectifs de développement durable), comme l’autonomisation des femmes».
Avec emedia.sn