"Le soir de la même date, je suis allé à Sokone pour régler quelques courses. Amadou Kâ a profité de mon absence pour violer ma femme. Et, à mon retour, ma femme m'a tout expliqué, mais, comme on n'avait pas de témoin, j'ai convoqué les notables du village qui ont arrangé le problème à l'amiable. Mais, quand un soir, je l'ai surpris sur le lit de ma femme, je l'ai poursuivi avec un coupe-coupe. On s'est battu et je lui ai donné 6 coups de coupe-coupe : 2 coups sur les jambes, 1 sur le tronc et 3 sur le crâne", raconte Mamadou Bâ devant le tribunal.
Interpellé sur les faits qui lui sont reprochés, Amadou Kâ nie catégoriquement et soutient qu'il voulait simplement "chasser un esprit maléfique qui possédait la jeune femme". "Je ne l'ai jamais touché de ma vie, je voulais juste la protéger et pour ce faire, il a fallu que je pose ma poitrine sur la sienne" dit-il.
Pour sa part, Roky Bâ, la femme de Mamadou explique qu'Amadou Kâ l'a violée à deux reprises, rapporte le journal. "La première fois, il a défoncé la porte de ma chambre et a menacé de me tuer si jamais je tentais de crier ou d'appeler le voisinage. J'habite seule avec mon mari et quand ce dernier franchit le seuil de la maison, il entre et commence à me faire ses actes ignobles. Il s'est toujours servi de mon drap pour éviter que le voisinage entende mes cris", confie la jeune femme. Le verdict de cette histoire sera rendu le 8 juin prochain.
Interpellé sur les faits qui lui sont reprochés, Amadou Kâ nie catégoriquement et soutient qu'il voulait simplement "chasser un esprit maléfique qui possédait la jeune femme". "Je ne l'ai jamais touché de ma vie, je voulais juste la protéger et pour ce faire, il a fallu que je pose ma poitrine sur la sienne" dit-il.
Pour sa part, Roky Bâ, la femme de Mamadou explique qu'Amadou Kâ l'a violée à deux reprises, rapporte le journal. "La première fois, il a défoncé la porte de ma chambre et a menacé de me tuer si jamais je tentais de crier ou d'appeler le voisinage. J'habite seule avec mon mari et quand ce dernier franchit le seuil de la maison, il entre et commence à me faire ses actes ignobles. Il s'est toujours servi de mon drap pour éviter que le voisinage entende mes cris", confie la jeune femme. Le verdict de cette histoire sera rendu le 8 juin prochain.