Le syndicat national des bouchers du Sénégal (Snbs) a vu le jour samedi à Rufisque autour d’une vaste mobilisation des professionnels du secteur. Les membres de cette entité, forte de 250 professionnels du métier, ont affirmé vouloir faire essaimer la nouvelle structure dans tout le pays pour « assurer de meilleures conditions de travail aux bouchers du Sénégal », tel que l’a précisé le secrétaire général, Cheikh Mbaye, porté à sa tête à l’occasion de l’Assemblée générale constitutive qui s’est tenue à la mairie de Rufisque. « Nous irons dans tous les coins du pays où se trouvent des bouchers pour les intégrer dans notre structure qui se voudra porteuse des revendications des professionnels de la boucherie », a laissé entendre M. Mbaye.
A l’en croire, l’idée de se syndiquer fait suite aux conditions de travail déplorables à l’abattoir de Rufisque. « Nous gênerons beaucoup de fonds au profit de de la mairie de Rufisque Est ; de l’ordre de 450 mille francs par jour et paradoxalement, notre lieu de travail est mal géré et se dégrade de jour en jour. Une situation face à laquelle nous ne pouvons pas rester inactifs », a-t-il assuré, avec l’idée que ce pas vers le syndicalisme va régler les problèmes qu’ils vivent.
« Nous saluons l’avènement d’un syndicat national des bouchers du Sénégal. L’initiative vient de nos camarades de Rufisque », s’est félicité un responsable de la Fédération générale des travailleurs du Sénégal (Fgts), structure à laquelle s’est affilié le syndicat des bouchers. « Dans le secteurs informel, ce n’est pas facile de structurer mais ils ont réussi à mettre ça sur la rampe de lancement. Nous allons les former pour qu’ils deviennent de véritables militants de la demande sociale », a promis le syndicaliste.
Le Quotidien
A l’en croire, l’idée de se syndiquer fait suite aux conditions de travail déplorables à l’abattoir de Rufisque. « Nous gênerons beaucoup de fonds au profit de de la mairie de Rufisque Est ; de l’ordre de 450 mille francs par jour et paradoxalement, notre lieu de travail est mal géré et se dégrade de jour en jour. Une situation face à laquelle nous ne pouvons pas rester inactifs », a-t-il assuré, avec l’idée que ce pas vers le syndicalisme va régler les problèmes qu’ils vivent.
« Nous saluons l’avènement d’un syndicat national des bouchers du Sénégal. L’initiative vient de nos camarades de Rufisque », s’est félicité un responsable de la Fédération générale des travailleurs du Sénégal (Fgts), structure à laquelle s’est affilié le syndicat des bouchers. « Dans le secteurs informel, ce n’est pas facile de structurer mais ils ont réussi à mettre ça sur la rampe de lancement. Nous allons les former pour qu’ils deviennent de véritables militants de la demande sociale », a promis le syndicaliste.
Le Quotidien