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SACCAGE DES LOCAUX DE WAL FADJRI:Qui bloque l’enquête de la Dic ?

NETTALI.NET - Cela fait dix jours maintenant que les locaux du groupe de presse Wal Fadjri ont été saccagés. Des coupables avaient été identifiés, et l’enquête avait été confiée à la Division des investigations criminelles (Dic) après un soit-transmis du procureur de la République. C’est ainsi que des responsables et des employés du Groupe Wal Fadjri qui étaient présents sur les lieux au moment de l’agression ont été entendus. Cité comme étant un personnage-clef dans cette agression perpétrée contre Wal Fadjri, Mame Thierno Birahim Mbacké a été entendu une première fois par les enquêteurs de la Dic, le lundi 28 septembre dernier. Depuis plus rien ne se passe. Comme si le dossier a été bloqué quelque part.


Rédigé par leral.net le Mardi 6 Octobre 2009 à 18:01 | | 12 commentaire(s)|

SACCAGE DES LOCAUX DE WAL FADJRI:Qui bloque l’enquête de la Dic ?
Les Sénégalais sont toujours dans l’expectative. Cela fait dix jours que les locaux du groupe de presse Wal Fadjri ont été mis à sac par des individus identifiés comme faisant partie des talibés du marabout Serigne Modou Kara Mbacké. Le demi-frère de ce dernier, Mame Thierno Birahim Mbacké a été désigné comme étant le principal commanditaire de l’acte commis contre Wal Fadjri.

L’opinion a unanimement condamné l’acte et demandé que justice soit faite. Des assurances allant dans ce sens avaient été données par les autorités. Les populations avaient même poussé un ouf de soulagement, lorsque la Dic avait été saisie par un soit-transmis du procureur de la République, pour se charger de l’enquête. Tour à tour, des responsables et des employés de Wal Fadjri ont été entendus, avant que Mame Thierno Birahim Mbacké ne réponde à une première convocation à la Dic, le lundi 28 septembre dernier.

Depuis, on note un coup de frein dans l’enquête. Aucune arrestation n’a été encore opérée. Ce qui est inhabituel dans des affaires de ce genre qui relèvent du flagrant délit. Les auteurs de l’acte perpétré contre Wal Fadjri se sont comme évaporés dans la nature.

Celui qui est présenté comme étant leur principal commanditaire, Mame Thierno Birahim Mbacké est toujours à son domicile. Contrairement aux informations qui ont été répandues çà et là, faisant croire qu’il s’était enfui, il était resté chez lui, lorsqu’il n’avait daigné répondre à la seconde convocation de la Dic. Cette dernière n’attend que des instructions de la hiérarchie qui visiblement traîne les pieds, pour poursuivre l’enquête et mettre à la disposition de la justice toutes les personnes impliquées dans cette affaire.

Aujourd’hui, tout le monde est à l’écoute du parquet pour faire avancer l’enquête qui avait été déclenchée. Madické Niang qui avait en charge le ministère de la Justice au moment de l’agression perpétrée contre Wal Fadjri quitte certes ce département pour le ministère des Affaires étrangères, mais ceci ne doit constituer un blocage pour faire avancer l’enquête. Car, même si Madické Niang est parti, il n’en demeure pas moins que le parquet a son fonctionnement qui permet à la justice de poursuivre son travail.

Pape Alé Niang


1.Posté par iba le 06/10/2009 18:58 | Alerter
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Il y a connivence et complicité entre pouvoir et marabouts.
Chaque camp tire profit du silence coupable de l'autre.

Et c'est le pauvre peuple qui paie la facture.
Pauvre de nous!

2.Posté par la thiessiose le 06/10/2009 19:23 | Alerter
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mo ! nopalikouléne les gars personne ne sera arretée! et c'est malheureux et regrettable

3.Posté par MOMOU le 06/10/2009 19:47 | Alerter
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On n'a pas arrêté les coupables mais on arrêté l'enquête .

4.Posté par la mbackoise le 06/10/2009 20:14 | Alerter
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ne vou faigué pa na sidy mougne ya pa de justice o senegal

5.Posté par galay le 06/10/2009 20:23 | Alerter
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Vu la tournure que peut prendre de tels événements et notamment une confrontation entre confrérie.

La sagesse a recommandé de clore ce dossier et de le classer sans suite.
C'est un choix difficile qu'il faut faire : entre la justice et la paix.



6.Posté par mamadou ndiaye le 06/10/2009 20:27 | Alerter
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j ai honte d etre un senegalais moi ,je te jure walahi jai honte actuelmen
li personne ne sai louko waral koi ,justuce ana sounou justuce ????????????/

7.Posté par Le Piment le 06/10/2009 21:05 | Alerter
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Chers lecteurs de cette rubrique de l'excelllent site Leral.net.

Faut-il s'appitoyer plus qu'il n'en faut,sur le sort de plus en plus tragique qui attend cet homme prétendument omniscient et omnipotent comme le bon Dieu, qui finit ainsi en catastrophe, une carrière politique qui aurait pu être l'une des plus belles, à cause de l'enthousiasme délirant des élcteurs, l'ayant unanimement porté au pouvoir ? Il faut ajouter pour être juste, que la fin quasiment catastrophique du Parti Socialiste (PS) dont l'usure constatée et les luttes de positionnement avaient finalement assassiné les quelques bons points de son long règne jonché de réalisations certes mais aussi de manquements, y aura été pour quelque chose.

Faut-il s'attarder plus qu'il n'est permis, sur le sort de cet homme qui a sciemment et volontairement confondu les connaissances livresques à l'humble sagesse d'écouter plus souvent et beaucoup plus attentivement qu'il ne l'a fait, l'opinion des autres, ne serait-ce que pour sauver la face et pouvoir un jour dire pour se dédouaner des aléas parfois inattendus de la vie: " je les ai pourtant suivis" , pour dire qu'à un certain niveau, les responsabilités peuvent et doivent être partagées ?

Faut-il avoir forcément pitié d'un homme singulièrement nombriliste et férocement égoïste, qui malgré sa propension à partager gracieusement l'argent du peuple entre lui, sa famille et ses amis, n'a pas su trouver la moindre parcelle de différence, entre sa "sainte" famille et la chose publique, plus que jamais singularisée par son mépris de l'autre, des règles et des convenences, pour avoir géré le Sénégal comme un roi sa cour et un chef sa propre famille ou son arrière-cour, tout le long de ses deux mandats à la tête de ce pays ?

Faut-il ne pas se souvenir de celui-là qui, dès le tout premier jour de son investiture, pardon, de son couronnement au méidien Présient, osa humilier comme cela n'avait jamais été vu avant lui dans les annales diplomatiques, ses roitelets pairs chefs d'Etat africains venus assister aux cérémonies de son sacre, en ces termes : ''c'est fini, l'Afrique des dictateurs, des règnes interminables et des présidents à vie, des républiques bananières qui sont au juste des royaumes déguisés" ? Comme témoins de l'histoire, nous étions heureusement présents ce jour-là et avons vu honteux, feu Omar Bongo du Gabon entrer dans ses petits souliers, feu Robert Gueye de Côte d'Ivoire se retourner nerveusement pour regarder autour de lui, tout comme Blaise Campaoré l'assassin de Thomas Sankara, balayer la salle de son regard de sanguinaire, pour savoir si ce n'était pas à lui personnellement, que s'adressait le nouveau Président sénégalais, etc..etc.

Faut-il enfin ne pas se souvenir de cet homme providentiel qui souleva tellement d'espoir partout en Afrique et plus singulèrement ici au Sénégal après le long règne du PS, qu'il ne trouva rien de mieux tout au début de son mandat, que de descendre personnellement dans les rues comme jamais personne ne l'aurait cru, pour se faire photographier par la presse nationale et internationale, entouré des fameux enfants de la rue objets à tant de controverses, à qui il promit: "plus jamais ça", en parlant de leurs inqualifiables conditions de vie ?

(....)

Naturellement, ma réponse à tous ces "faut-il " est NON.

Non, parce que cet homme a entre temps, fait exactement ce qu'il n'a pas dit et dit ce qu'il n'a pas fait. Il n'a pas tenu compte des nombreux talents que son pays regorge, pour prendre des décisions idoines ou pour agir chaque jour, ne serait-ce qu'en pensant à cette majoritté silencieuse qui l'a élue. Roi comme Nebucanesor ou tout autre, il n'a pensé qu'à ses douze travaux d'Hercules et à ses réalisations pharaoniques, dans le seul but d'asseoir une prétendue postérité historique de bonne facture, tout en oubliant que pendant ce temps, le peuple qui l'avait élu souffrait de tous les maux du monde.

Magicien du verbe, des formules incendiaires et des mots à l'emporte-pièce, il n'y a eu aucune tribune officielle ou officieuse nulle part dans notre monde tout le long de son règne, où le faiseur de miracles ne se soit présenté, pour exiber ses vrais et faux diplômes aux yeux ébahis ou admiratifs des autres, afin d'avoir le plaisir sadique d'exposer ses points de vues irréalistes et/ou alors, pour montrer qu'au Sénégal, après lui c'est son fils ou le déluge, sa famille étant la seule variable sûre qui a existé, existe et existera pour la postérité.

Et comment pourrait-on avoir pitié, même en rêve, de la fin aussi triste et funèbre d'un type aussi à la fois arrogant et imprévisible, qui sait tout dire et se croit le nombrile du monde? Ce matin le voici au nord de son pays, pour éteindre un prétendu feu dans un désert et dont l'empleur n'aurait enflammer que du sable déjà chaud ,à brûler ses mains de mégalomane. Ce midi, il est au sud pour embrasser "paternellement" un fou que tout le monde évite, à qui il tend les bras pour encourager ses fantasmes et ses crimes planifiés. Ce soir, il viendra sans doute éteindre un autre drôle d'incendie, pour la première fois dans son propre pays, mais au juste, c'est pour orchestrer quelque chose de plus que louche, qui pourrait avoir de liens avec les sales draps dans lesquels son fils chéri se serait empêtré, avec les affaires de détournements des déniers publics relatifs à l'Anoci... Autant on ne l'a vu se précipiter ainsi dans son propre pays pour éteindre aucun des feux comme celui plus que catastrohique des innondations, autant son hardiesse pour éteindre celui-là sucite des soupçons parfois fondés....Et dire qu'il avait promis de règler le conflit casamançais en 100 jours et que, pas plus tard qu'avant hier, 6 de nos braves soldats sont encore tombés au champ d'honneur !

On passerait volontiers des jours et des jours, des semaines voire des années, rien qu'à dire que personne ne versera une seule petite larme, le jour où l'histoire et le temps l'emporteront comme ils ont emmporté plus d'un terrible avant lui.

Personne, peut-être même son propre fils chéri, tellement il l'aura préparé à lui succéder, que la longivité légendaire du père finira par poser d'énormes problèmes au fils, si tout fils de son père qu'il est, il n'avait point de limite à ses ambitions ni de bornes morales à construire pour encadrer le possible en ce qui les concerne, lui ,sa mère, son père et sa soeur, qui règnent en maîtres sur le pays de la téranga en ce moment précis de son histoire.

Wassalam


8.Posté par kanar le 06/10/2009 21:58 | Alerter
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La paix disait feu Houfet, n'est pas un vain mot: c'est un comportement.Les autorités sènègalaises prèdiquent la paix, mais ne sont pas coerants avec ce proverbe.

9.Posté par pape le 06/10/2009 22:31 | Alerter
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LE SEULE RèSPONSABLE C'èST ABDOULAYE WADE

10.Posté par gal rewmi le 07/10/2009 07:17 | Alerter
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Comme il l'a dis IBA, l y a connivence et complicité entre pouvoir et marabouts.
Chaque camp tire profit du silence coupable de l'autre. Je lui onne parfaitement raison parce que cela justifie la nommination de Moustapha Sourang etant membre de cette famille afin qu'il puisse dissiminer mettre a l'eau cette affaire. Pour rien au monde Moustapha Sourang petit fils de cette famille va mettre en prison les commanditaitaires de cette affaire.

Donc les senegalais c'est fini pour vous, avoir une justice c'est balayer Abdoulaye et son regime.

11.Posté par Mansour Diop le 07/10/2009 08:51 | Alerter
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Un article très sévère d'un journaliste français contre
Wade

Sénégal: un régime qui prend l'eau : Wade pense à se
représenter en 2012, éventuellement face à son fils
Jusqu'où ira le Président sénégalais ? Abdoulaye Wade
n'en finit plus d'étonner ses compatriotes.

12.Posté par beugue senegal le 07/10/2009 12:44 | Alerter
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je voulais dire a galay je prefere la justice k la paix parsk la justice est le socle d'une paix durable . avec la justice toutes personnes sont egales et point de frustations et la guerre des confreries risque d'arriver si chacun se fasse sa propre justice alors l'etat devrait le garantir bonjour la choas

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