Les Sénégalais sont toujours dans l’expectative. Cela fait dix jours que les locaux du groupe de presse Wal Fadjri ont été mis à sac par des individus identifiés comme faisant partie des talibés du marabout Serigne Modou Kara Mbacké. Le demi-frère de ce dernier, Mame Thierno Birahim Mbacké a été désigné comme étant le principal commanditaire de l’acte commis contre Wal Fadjri.
L’opinion a unanimement condamné l’acte et demandé que justice soit faite. Des assurances allant dans ce sens avaient été données par les autorités. Les populations avaient même poussé un ouf de soulagement, lorsque la Dic avait été saisie par un soit-transmis du procureur de la République, pour se charger de l’enquête. Tour à tour, des responsables et des employés de Wal Fadjri ont été entendus, avant que Mame Thierno Birahim Mbacké ne réponde à une première convocation à la Dic, le lundi 28 septembre dernier.
Depuis, on note un coup de frein dans l’enquête. Aucune arrestation n’a été encore opérée. Ce qui est inhabituel dans des affaires de ce genre qui relèvent du flagrant délit. Les auteurs de l’acte perpétré contre Wal Fadjri se sont comme évaporés dans la nature.
Celui qui est présenté comme étant leur principal commanditaire, Mame Thierno Birahim Mbacké est toujours à son domicile. Contrairement aux informations qui ont été répandues çà et là, faisant croire qu’il s’était enfui, il était resté chez lui, lorsqu’il n’avait daigné répondre à la seconde convocation de la Dic. Cette dernière n’attend que des instructions de la hiérarchie qui visiblement traîne les pieds, pour poursuivre l’enquête et mettre à la disposition de la justice toutes les personnes impliquées dans cette affaire.
Aujourd’hui, tout le monde est à l’écoute du parquet pour faire avancer l’enquête qui avait été déclenchée. Madické Niang qui avait en charge le ministère de la Justice au moment de l’agression perpétrée contre Wal Fadjri quitte certes ce département pour le ministère des Affaires étrangères, mais ceci ne doit constituer un blocage pour faire avancer l’enquête. Car, même si Madické Niang est parti, il n’en demeure pas moins que le parquet a son fonctionnement qui permet à la justice de poursuivre son travail.
L’opinion a unanimement condamné l’acte et demandé que justice soit faite. Des assurances allant dans ce sens avaient été données par les autorités. Les populations avaient même poussé un ouf de soulagement, lorsque la Dic avait été saisie par un soit-transmis du procureur de la République, pour se charger de l’enquête. Tour à tour, des responsables et des employés de Wal Fadjri ont été entendus, avant que Mame Thierno Birahim Mbacké ne réponde à une première convocation à la Dic, le lundi 28 septembre dernier.
Depuis, on note un coup de frein dans l’enquête. Aucune arrestation n’a été encore opérée. Ce qui est inhabituel dans des affaires de ce genre qui relèvent du flagrant délit. Les auteurs de l’acte perpétré contre Wal Fadjri se sont comme évaporés dans la nature.
Celui qui est présenté comme étant leur principal commanditaire, Mame Thierno Birahim Mbacké est toujours à son domicile. Contrairement aux informations qui ont été répandues çà et là, faisant croire qu’il s’était enfui, il était resté chez lui, lorsqu’il n’avait daigné répondre à la seconde convocation de la Dic. Cette dernière n’attend que des instructions de la hiérarchie qui visiblement traîne les pieds, pour poursuivre l’enquête et mettre à la disposition de la justice toutes les personnes impliquées dans cette affaire.
Aujourd’hui, tout le monde est à l’écoute du parquet pour faire avancer l’enquête qui avait été déclenchée. Madické Niang qui avait en charge le ministère de la Justice au moment de l’agression perpétrée contre Wal Fadjri quitte certes ce département pour le ministère des Affaires étrangères, mais ceci ne doit constituer un blocage pour faire avancer l’enquête. Car, même si Madické Niang est parti, il n’en demeure pas moins que le parquet a son fonctionnement qui permet à la justice de poursuivre son travail.