Décidément, un chat noir rôde au sein de l’écurie Fass. A la veille de l’ouverture de la saison 2008-2009, l’atmosphère est plus que pesante. Les conflits et autres divergences rythment le quotidien de l’une des plus anciennes écuries du «Sénégal de la lutte».
Pas un jour ne passe sans que l’écurie Fass ne fasse parler d’elle.
Après la plainte adressée au «Tigre» Moustapha Guèye, traîné devant les tribunaux et condamné à trois mois avec sursis, suite à une altercation avec un policier, c’est au tour de l’arrière-cour d’occuper le devant de l’actualité. Et des dernières nouvelles venant de l’écurie du président Momar Ndiaye, une lourde sanction plane sur les têtes de Tapha Guèye N° 2, Ouza Sow et Boy Nar. Ces jeunes espoirs auraient transgressé le code de conduite de l’écurie, en s’engageant pour un combat de lutte. Et ce, sans l’aval, ni l’implication des membres de l’écurie.
«Avant de prendre un combat, il y a des préalables. Les entraînements n’ont pas repris et eux, ils ont déjà pris des combats. En procédant de la sorte, ils n’ont pas respecté la discipline du groupe et sont donc passibles de sanctions, allant jusqu’à l’exclusion», confie le Secrétaire général de l’écurie Fass, Malick Guèye.
Toutefois, même si la décision n’est pas encore officielle, en attendant que le Bureau statue sur cette affaire, l’avenir des deux premiers nommés, Ouza Sow et Tapha Guèye 2, au sein de l’écurie est compté. Selon le dirigeant Fassois, «ils ont fauté. Et dès lors qu’ils ont signé le combat sans notre aval, s’ils ne reviennent pas sur leur décision, ils seront exclus», tranche-t-il net. Mais Malick Guèye s’empresse de préciser que «rien n’est encore officiel concernant les sanctions. C’est au Bureau de décider lors de sa prochaine réunion».
Pourtant, reconnaît le secrétaire général, les deux jeunes lutteurs, Ouza et Tapha Guèye 2, avaient été avertis par la Commission de discipline afin de ne pas s’engager dans cette voie. Ce qu’ils n’ont, apparemment, pas respecté. D’ailleurs, renseigne notre interlocuteur, Tapha Guèye N° 2, qui s’est permis de contracter un combat, n’a toujours pas repris les entraînements, depuis son retour d’Espagne.
Pour le cas de Boy Nar, il lui est souvent reproché, par le bureau, ses nombreuses déclarations dans la presse quant à une non-prise en charge. «Il passe tout son temps à dire qu’il n’est pas pris en charge. C’est manqué de respect à la structure qu’il appartient. Quand on a des problèmes au niveau d’une structure, il faut les poser dans la structure même», soutient M. Guèye.
En tout cas, ces affaires tombent au mauvais moment pour l’écurie Fass, minée par des contre-performances et qui, depuis la défaite, la saison dernière, de Gris Bordeaux devant Baboye, est secouée de toutes parts. Confirmant ainsi le malaise qui sévit dans l’écurie du président Momar Ndiaye.
source le quotidien
Pas un jour ne passe sans que l’écurie Fass ne fasse parler d’elle.
Après la plainte adressée au «Tigre» Moustapha Guèye, traîné devant les tribunaux et condamné à trois mois avec sursis, suite à une altercation avec un policier, c’est au tour de l’arrière-cour d’occuper le devant de l’actualité. Et des dernières nouvelles venant de l’écurie du président Momar Ndiaye, une lourde sanction plane sur les têtes de Tapha Guèye N° 2, Ouza Sow et Boy Nar. Ces jeunes espoirs auraient transgressé le code de conduite de l’écurie, en s’engageant pour un combat de lutte. Et ce, sans l’aval, ni l’implication des membres de l’écurie.
«Avant de prendre un combat, il y a des préalables. Les entraînements n’ont pas repris et eux, ils ont déjà pris des combats. En procédant de la sorte, ils n’ont pas respecté la discipline du groupe et sont donc passibles de sanctions, allant jusqu’à l’exclusion», confie le Secrétaire général de l’écurie Fass, Malick Guèye.
Toutefois, même si la décision n’est pas encore officielle, en attendant que le Bureau statue sur cette affaire, l’avenir des deux premiers nommés, Ouza Sow et Tapha Guèye 2, au sein de l’écurie est compté. Selon le dirigeant Fassois, «ils ont fauté. Et dès lors qu’ils ont signé le combat sans notre aval, s’ils ne reviennent pas sur leur décision, ils seront exclus», tranche-t-il net. Mais Malick Guèye s’empresse de préciser que «rien n’est encore officiel concernant les sanctions. C’est au Bureau de décider lors de sa prochaine réunion».
Pourtant, reconnaît le secrétaire général, les deux jeunes lutteurs, Ouza et Tapha Guèye 2, avaient été avertis par la Commission de discipline afin de ne pas s’engager dans cette voie. Ce qu’ils n’ont, apparemment, pas respecté. D’ailleurs, renseigne notre interlocuteur, Tapha Guèye N° 2, qui s’est permis de contracter un combat, n’a toujours pas repris les entraînements, depuis son retour d’Espagne.
Pour le cas de Boy Nar, il lui est souvent reproché, par le bureau, ses nombreuses déclarations dans la presse quant à une non-prise en charge. «Il passe tout son temps à dire qu’il n’est pas pris en charge. C’est manqué de respect à la structure qu’il appartient. Quand on a des problèmes au niveau d’une structure, il faut les poser dans la structure même», soutient M. Guèye.
En tout cas, ces affaires tombent au mauvais moment pour l’écurie Fass, minée par des contre-performances et qui, depuis la défaite, la saison dernière, de Gris Bordeaux devant Baboye, est secouée de toutes parts. Confirmant ainsi le malaise qui sévit dans l’écurie du président Momar Ndiaye.
source le quotidien
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
