O.Nd., charpentier, a été alpagué puis déféré au parquet pour viol sur une femme mariée qui n'est personne d'autre que l'épouse de son propre frère. Cependant, le mis en cause -avant sa conduite au parquet par les limiers du commissariat de Guédiawaye- a nié les faits et déclare avoir noué des relations amoureuses avec sa belle-sœur. «Je reconnais les faits, mais je ne l'ai pas forcée à coucher avec moi. Ma belle-sœur avait un penchant amoureux pour moi. Je ne l'ai pas obligée à coucher avec moi, car elle pouvait crier», a soutenu O. Nd.
Cependant, ces propos sont battus en brèche par son grand frère et son épouse violée qui vont accabler le présumé violeur.
Selon D. B., la victime, racontant son outrage aux limiers dans sa plainte : «O.Nd. est le jeune frère de mon mari. Depuis le mois de mars dernier, il ne cessait de me harceler sexuellement. J'ai toujours refusé ses avances quotidiennes tout en prenant le soin d'avertir mon mari. Même après avoir déménagé du domicile familial avec mon mari pour chercher une autre chambre en location, O. Nd. a continué à me poursuivre. Agacée par son comportement, j'ai encore rendu compte à mon mari. Ce dernier l'a appelé et sermonné et lui a intimé l'ordre de cesser ses agissements. Mais rien n'y fit.»
A. Nd., le frère de O. Nd., a dénoncé le comportement maniaque de son cadet. «Quand ma femme me parlait des agissements de mon jeune frère, je n'y croyais pas. Mais quand je l'ai surpris lors d'une de ses tentatives, j'ai eu à l'amener à la plage pour lui tenir un langage de vérité. Ce jour-là, il a reconnu ses erreurs puis m'a présenté ses excuses avant de me promettre qu'il laissera tranquille ma femme. Mais rien du tout».
Par la suite, des éléments de la brigade de recherches de la police de Guédiawaye sont partis cueillir O. Nd. qui sera placé en garde à vue.
Par la suite, une confrontation entre O. Nd. et sa belle-sœur a été faite. Et au cours de l'audition, D. B. la victime a maintenu sa version, à savoir le viol contre elle.
Finalement, au terme de sa garde à vue, O. Nd. a été déféré au parquet pour le viol d’une femme mariée.
Théodore SEMEDO walfadjri
Cependant, ces propos sont battus en brèche par son grand frère et son épouse violée qui vont accabler le présumé violeur.
Selon D. B., la victime, racontant son outrage aux limiers dans sa plainte : «O.Nd. est le jeune frère de mon mari. Depuis le mois de mars dernier, il ne cessait de me harceler sexuellement. J'ai toujours refusé ses avances quotidiennes tout en prenant le soin d'avertir mon mari. Même après avoir déménagé du domicile familial avec mon mari pour chercher une autre chambre en location, O. Nd. a continué à me poursuivre. Agacée par son comportement, j'ai encore rendu compte à mon mari. Ce dernier l'a appelé et sermonné et lui a intimé l'ordre de cesser ses agissements. Mais rien n'y fit.»
A. Nd., le frère de O. Nd., a dénoncé le comportement maniaque de son cadet. «Quand ma femme me parlait des agissements de mon jeune frère, je n'y croyais pas. Mais quand je l'ai surpris lors d'une de ses tentatives, j'ai eu à l'amener à la plage pour lui tenir un langage de vérité. Ce jour-là, il a reconnu ses erreurs puis m'a présenté ses excuses avant de me promettre qu'il laissera tranquille ma femme. Mais rien du tout».
Par la suite, des éléments de la brigade de recherches de la police de Guédiawaye sont partis cueillir O. Nd. qui sera placé en garde à vue.
Par la suite, une confrontation entre O. Nd. et sa belle-sœur a été faite. Et au cours de l'audition, D. B. la victime a maintenu sa version, à savoir le viol contre elle.
Finalement, au terme de sa garde à vue, O. Nd. a été déféré au parquet pour le viol d’une femme mariée.
Théodore SEMEDO walfadjri