Les recettes sont arrêtées à la somme de 1 210 milliards dans la Loi des finances rectificative n°2 contre 1 226,3 milliards pour la première. D’après le journal, cette situation s’explique, d’une part, par « la baisse de 7,5 milliards de francs Cfa sur les impôts directs ». Laquelle baisse, révèle le document, est « due aux contreperformances enregistrées au niveau de l’impôt sur les sociétés et l’impôt sur le revenu ».
De même, les impôts sur les salaires versés et autres rémunérations, ainsi que la Contribution globale unique (Cgu) ont aussi suivi cette tendance baissière, car les prévisions passent respectivement de 189 milliards à 185 milliards et 337 milliards à 330 milliards de francs Cfa.
Par ailleurs, les services des Finances ont procédé à un réaménagement en amputant les budgets des ministères comme les Forces armées, les Affaires étrangères respectivement de 2,3 et 2,01 milliards de francs Cfa.
Par contre, le ministère des Infrastructures, dirigé par Karim Wade, est renforcé de cette seconde Lfr avec une réévaluation des crédits votés de l’ordre de 183,4 milliards contre 142,4 milliards dans la Loi des finances rectificative précédente.
www.sen24heures.com
De même, les impôts sur les salaires versés et autres rémunérations, ainsi que la Contribution globale unique (Cgu) ont aussi suivi cette tendance baissière, car les prévisions passent respectivement de 189 milliards à 185 milliards et 337 milliards à 330 milliards de francs Cfa.
Par ailleurs, les services des Finances ont procédé à un réaménagement en amputant les budgets des ministères comme les Forces armées, les Affaires étrangères respectivement de 2,3 et 2,01 milliards de francs Cfa.
Par contre, le ministère des Infrastructures, dirigé par Karim Wade, est renforcé de cette seconde Lfr avec une réévaluation des crédits votés de l’ordre de 183,4 milliards contre 142,4 milliards dans la Loi des finances rectificative précédente.
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