Outre de s’opposer de façon capricieuse au désenclavement de la région sud du Sénégal en facilitant la construction du pont sur le Fleuve Gambie, le régime du fantasque et autoritaire président Yahya Jammeh offre le gîte de repli aux rebelles et bandits du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc) dont il facilite même l’armement.
*Mais le régime du président Abdoulaye Wade n’est pas non plus exempt de lâcheté en adoptant une politique de l’autruche face à son homologue gambien. Alors qu’il est établi, sur la base d’un rapport de l’armée sénégalaise démontrant la sophistication de la puissance de feu des rebelles, que c’est l’Iran qui fournit des cargaisons d’armes lourdes à la Gambie selon les aveux du ministre des affaires étrangères du pays des mollahs chiites. Des lance-roquettes, obus et autres grenades dont la destination finale est le maquis au Sénégal comme l’a constaté le rapport de l’armée sénégalaise qui a perdu en deux mois près d’une quinzaine de soldats du fait d’attaques attribuées à des rebelles et autres bandits qui trouvent après refuge auprès de Jammeh.
Et plutôt que de dire son fait aux deux pays complices de l’engrenage en Casamance, Wade préfère faire diversion et jeter un œil noir du côté de Téhéran avec lequel Dakar a rompu ce mardi les relations diplomatiques après moult tergiversations mues par une boulimie financière du régime wadien.
Ce faisant, le Sénégal ménage la chèvre Gambie et sanctionne le chou Iran naguère adoubé comme « pays ami ». D’où l’ire de nombreux Sénégalais qui appellent à un durcissement de l’attitude du Sénégal envers la Gambie, afin que la gangrène gambienne ne se transformes en cancer métastatique fatal.
sen24heures.com
*Mais le régime du président Abdoulaye Wade n’est pas non plus exempt de lâcheté en adoptant une politique de l’autruche face à son homologue gambien. Alors qu’il est établi, sur la base d’un rapport de l’armée sénégalaise démontrant la sophistication de la puissance de feu des rebelles, que c’est l’Iran qui fournit des cargaisons d’armes lourdes à la Gambie selon les aveux du ministre des affaires étrangères du pays des mollahs chiites. Des lance-roquettes, obus et autres grenades dont la destination finale est le maquis au Sénégal comme l’a constaté le rapport de l’armée sénégalaise qui a perdu en deux mois près d’une quinzaine de soldats du fait d’attaques attribuées à des rebelles et autres bandits qui trouvent après refuge auprès de Jammeh.
Et plutôt que de dire son fait aux deux pays complices de l’engrenage en Casamance, Wade préfère faire diversion et jeter un œil noir du côté de Téhéran avec lequel Dakar a rompu ce mardi les relations diplomatiques après moult tergiversations mues par une boulimie financière du régime wadien.
Ce faisant, le Sénégal ménage la chèvre Gambie et sanctionne le chou Iran naguère adoubé comme « pays ami ». D’où l’ire de nombreux Sénégalais qui appellent à un durcissement de l’attitude du Sénégal envers la Gambie, afin que la gangrène gambienne ne se transformes en cancer métastatique fatal.
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