La mort de Seydou suscite ainsi beaucoup de bruits .c’est ainsi que la communauté sénégalaise et d’autres associations ont exigè une autopsie qui revela une mort causèe par une crise d’asthme et reconforte ainsi les souteneurs du défunt dans leur position.alors ils portèrent plainte contre la police pour negligeance et non assistance à une personne en danger.à la surprise generale ,le procureur classe un dossier aussi sérieux sans suite.
De toute façon la cas Seydou ,outre le fait d’avoir fait couler beaucoup d’encre et de salive peut egalement susciter bien d’interrogations.l’on est tentè de se demander si dans une telle situation faire porter toute la responsabilitè à la police italienne n’est pas etudier ou aborder le problème à moitiè et de manière subjective. En effet le défunt était membre d’une communauté il a été interpelè à la gare de Brescia où il avait elu domicile .et l’on pourrait se demander où étaient les membres de la communauté au moment où lui était un sans abris.pourquoi nous sénégalais de l’extérieur n’avions pas eu le reflexe le lui offrir l’hospitalitè ?pourquoi les associations de ressortissants n’aident elles pas des gens comme Elhadji ? n’est-il pas plus opportun d’aider un compatriote même si par ailleurs on sait qu’il n’est pas dans la voie indiquèe,que d’amasser de l’argent et le tesauriser ? l’objectif d’une association en notre sens est de promouvoir le social,le soutien doit prevaloir sur tout le reste. Le soutien même moral pourrait lui être d’un grand apport .aulieu de le regarder avec dédain ou de le critiquer de manière acerbe si seulement on essayait de se mettre à sa place.car la critique disait l’autre est « aisèe mais l’art est difficile ».beaucoup de gens ,garçons ou filles se sont retrouvès aujourd’hui dans une situation de non retour faute d’une société mechante et egoiste.pourquoi la mort de Seydou a declenchè une sorte de solidaritè spontannèe ?pourquoi cette solidaritè en aval ne s’est pas manifestèe en amont aussi. ce qui pourrait nous eviter cette situation .pourquoi nous ne nous interessons pas à l’autre au moment où il avait besoin même du moindre sourire ?
Quel doit être le rôle des associations ? les associations ont-elles la vocation d’amasser de l’argent et de l’epargner ? ou doivent elles favoriser l’integration et developper une intense politique sociale ?
En tout cas la mort de Seydou et les conditions dans lesquelles cela s’est deroulè doivent constituer le point de depart d’une reflexion sur les conditions d’existence de nous sénégalais ,sur nos rapports etc.. car en mon sens jusqu’ici dans le milieu sénégalais ,l’individu a toujours primè sur la collectivitè ,l’egoisme l’a toujours emportè sur altruisme . et une telle attitude va créer à coup sur d’autres cas Seydou Gadiaga et la communauté viendra pleurer au chevet du défunt ,cette solidaritè spontanèe ,cette compassion pour la victime ressemblera plutôt à de l’hypocrisie .
Il est grand temps que nous sénégalais fassions comme toute communauté qui se respecte c’est- à dire faire abstraction à nos differences ,nos croyances pour l’interet commun. Dans la mesure 0ù aucune communauté ne peut pretendre aller de l’avant sans au prealable jeter les bases d’une union.
Tant que nous restons allergiques aux idèes d’unitè ,privilegiant des querelles de bas etages ,nous serons toujours vulnerables et attaquables à tout bout de champs.
L’objet de mon propos n’est point de faire un procès d’intention encore moins de disculper la police italienne au contraire mais il me semble plus juste de determiner notre de reponsabilitè dans l’affaire Seydou Gadiaga et dans d’autres affaire ayant trait aux conditions d’existence des sénégalais de l’extérieur.
MALICK SAKHO
De toute façon la cas Seydou ,outre le fait d’avoir fait couler beaucoup d’encre et de salive peut egalement susciter bien d’interrogations.l’on est tentè de se demander si dans une telle situation faire porter toute la responsabilitè à la police italienne n’est pas etudier ou aborder le problème à moitiè et de manière subjective. En effet le défunt était membre d’une communauté il a été interpelè à la gare de Brescia où il avait elu domicile .et l’on pourrait se demander où étaient les membres de la communauté au moment où lui était un sans abris.pourquoi nous sénégalais de l’extérieur n’avions pas eu le reflexe le lui offrir l’hospitalitè ?pourquoi les associations de ressortissants n’aident elles pas des gens comme Elhadji ? n’est-il pas plus opportun d’aider un compatriote même si par ailleurs on sait qu’il n’est pas dans la voie indiquèe,que d’amasser de l’argent et le tesauriser ? l’objectif d’une association en notre sens est de promouvoir le social,le soutien doit prevaloir sur tout le reste. Le soutien même moral pourrait lui être d’un grand apport .aulieu de le regarder avec dédain ou de le critiquer de manière acerbe si seulement on essayait de se mettre à sa place.car la critique disait l’autre est « aisèe mais l’art est difficile ».beaucoup de gens ,garçons ou filles se sont retrouvès aujourd’hui dans une situation de non retour faute d’une société mechante et egoiste.pourquoi la mort de Seydou a declenchè une sorte de solidaritè spontannèe ?pourquoi cette solidaritè en aval ne s’est pas manifestèe en amont aussi. ce qui pourrait nous eviter cette situation .pourquoi nous ne nous interessons pas à l’autre au moment où il avait besoin même du moindre sourire ?
Quel doit être le rôle des associations ? les associations ont-elles la vocation d’amasser de l’argent et de l’epargner ? ou doivent elles favoriser l’integration et developper une intense politique sociale ?
En tout cas la mort de Seydou et les conditions dans lesquelles cela s’est deroulè doivent constituer le point de depart d’une reflexion sur les conditions d’existence de nous sénégalais ,sur nos rapports etc.. car en mon sens jusqu’ici dans le milieu sénégalais ,l’individu a toujours primè sur la collectivitè ,l’egoisme l’a toujours emportè sur altruisme . et une telle attitude va créer à coup sur d’autres cas Seydou Gadiaga et la communauté viendra pleurer au chevet du défunt ,cette solidaritè spontanèe ,cette compassion pour la victime ressemblera plutôt à de l’hypocrisie .
Il est grand temps que nous sénégalais fassions comme toute communauté qui se respecte c’est- à dire faire abstraction à nos differences ,nos croyances pour l’interet commun. Dans la mesure 0ù aucune communauté ne peut pretendre aller de l’avant sans au prealable jeter les bases d’une union.
Tant que nous restons allergiques aux idèes d’unitè ,privilegiant des querelles de bas etages ,nous serons toujours vulnerables et attaquables à tout bout de champs.
L’objet de mon propos n’est point de faire un procès d’intention encore moins de disculper la police italienne au contraire mais il me semble plus juste de determiner notre de reponsabilitè dans l’affaire Seydou Gadiaga et dans d’autres affaire ayant trait aux conditions d’existence des sénégalais de l’extérieur.
MALICK SAKHO