La clôture de la campagne électorale est marquée, hier, par des affrontements entre les partisans des Coalitions Benno Siggil Senegaal et Sopi 2009 à la commune d’arrondissement de Mermoz-Sacré Cœur, précisément à la Sicap Baobab. C’est tard dans la soirée d’hier que des coups de feu et des cris ont alerté le quartier. Sur les lieux, il a été constaté des dégâts matériels appartenant au camp de Siggil Senegaal : les vitres d’un véhicule 4X4 cassés et des pneus troués. Selon les informations recueillies sur place, c’est au retour d’une marche organisée par les fidèles de Barthélémy Dias, que ces jeunes auraient subi des attaques des éléments de la Coalition Sopi 2009. Ces derniers auraient lancé des pierres, créant la panique dans les rangs de Bennoo Siggil Senegaal. Pis, ils auraient même entrepris de déchirer les affiches à l’effigie de Barthélémy Dias.
Mis au parfum, le responsable des jeunes socialistes aurait débarqué sur les lieux avec la ferme intention de faire la fête à ces «jeunes du Pds». S’en suivirent une course poursuite et des jets de pierres entre les deux camps, mais aucun blessé n’a été enregistré. Seulement, des témoins font état de plusieurs coups de feu tirés par Barthélémy Dias en direction des jeunes libéraux, plongeant le quartier dans une confusion générale. Il a fallu l’intervention des policiers pour «lui demander de vider les lieux» avant que les choses ne dégénèrent. Il va finalement obtempérer, non sans promettre de «régler ses comptes avec Abou Sané».
Ce dernier qui est le président des jeunes libéraux dans la commune d’arrondissement de Mermoz-Sacré Cœur serait l’instigateur, selon les accusations des partisans de Dias, des casses et autres actes de vandalisme commis sur les affiches des candidats de la mairie investis par la Coalition Benno Siggil Senegaal. A notre arrivée sur les lieux, le sieur Sané s’était, d’ailleurs, rendu au poste de Police de la zone pour déposer une plainte contre Barthélémy Dias pour «tentative de meurtre» contre sa personne. Selon toujours des témoignages, des jeunes libéraux de la commune sont dans la ligne de mire du leader des jeunes socialistes «qui a un vieux contentieux à régler avec eux». Ce qui n’augure rien de bon à la veille du scrutin pour les élections locales. Certains de nos interlocuteurs redoutent, en effet, le pire si l’une ou l’autre coalition tentait de saper le déroulement du vote dans la localité.
Jusqu’à 23 heures, les deux camps étaient encore massés devant leurs quartiers généraux qui sont distants d’à peine 200 mètres. La Police continuait de faire le tour de la commune pour veiller au grain et appeler les uns et les autres à faire preuve de responsabilité.
Mis au parfum, le responsable des jeunes socialistes aurait débarqué sur les lieux avec la ferme intention de faire la fête à ces «jeunes du Pds». S’en suivirent une course poursuite et des jets de pierres entre les deux camps, mais aucun blessé n’a été enregistré. Seulement, des témoins font état de plusieurs coups de feu tirés par Barthélémy Dias en direction des jeunes libéraux, plongeant le quartier dans une confusion générale. Il a fallu l’intervention des policiers pour «lui demander de vider les lieux» avant que les choses ne dégénèrent. Il va finalement obtempérer, non sans promettre de «régler ses comptes avec Abou Sané».
Ce dernier qui est le président des jeunes libéraux dans la commune d’arrondissement de Mermoz-Sacré Cœur serait l’instigateur, selon les accusations des partisans de Dias, des casses et autres actes de vandalisme commis sur les affiches des candidats de la mairie investis par la Coalition Benno Siggil Senegaal. A notre arrivée sur les lieux, le sieur Sané s’était, d’ailleurs, rendu au poste de Police de la zone pour déposer une plainte contre Barthélémy Dias pour «tentative de meurtre» contre sa personne. Selon toujours des témoignages, des jeunes libéraux de la commune sont dans la ligne de mire du leader des jeunes socialistes «qui a un vieux contentieux à régler avec eux». Ce qui n’augure rien de bon à la veille du scrutin pour les élections locales. Certains de nos interlocuteurs redoutent, en effet, le pire si l’une ou l’autre coalition tentait de saper le déroulement du vote dans la localité.
Jusqu’à 23 heures, les deux camps étaient encore massés devant leurs quartiers généraux qui sont distants d’à peine 200 mètres. La Police continuait de faire le tour de la commune pour veiller au grain et appeler les uns et les autres à faire preuve de responsabilité.