Nous y sommes allés hier aux environs de 12h pour en savoir davantage sur cette nouvelle affaire qui défraie la chronique locale. Il est midi passé, à notre arrivée dans la localité. Avant d’entreprendre nos investigations, on s’assure d’abord auprès des voisins du poste de police du quartier de la véracité de l’information qui circule. Après cette étape, nous nous sommes rendus à l’agence de dépannage de la Senelec séparée par un mur de la maison, théâtre des faits. Là-bas, ce sont des agents de la société d’électricité, attendant l’arrivée de leur chef d’équipe, qui nous accueillent à bras ouverts. L’un d’eux accepte de nous raconter les péripéties de l’affaire. « C’est dans la nuit du dimanche dernier à 21h précises que les faits ont eu lieu dans cette maison voisine à notre agence », déclare l’agent qui nous montre du doigt ladite maison située juste derrière leur local. Rapportant les propos du vigile qui a appréhendé Y.Mb., l’un des mis en cause, notre source explique que le veilleur a été surpris de voir les ardoises du toit de son poste de garde s’écrouler sous le poids d’un jeune homme sorti d’on ne sait où. Pris de panique, et tenant encore son pantalon tombant, Y. l’intrus, en sous-vêtement seulement, se rue sur le vigile, tente de le neutraliser pour sauver sa peau, mais en vain.
Abondant dans le même sens, un autre employé de la Senelec indique que « tout est parti de N.S., celui qui se dit copine de l’autre homosexuel, Y. Mb. Car, cette nuit-là N.S. avait demandé à son ami L. de lui prêter la clé de sa chambre, prétextant que sa petite amie devait lui rendre visite. Sans le moindre soupçon, le jeune garçon accepte, mais lui demande de remettre la clé à un endroit convenu, après avoir fini. ». De retour, nous confie notre interlocuteur qui semble connaître les ficelles de l’affaire, « voyant que son ami N.S. n’a pas encore remis la clé à leur domicile familial, car L, le propriétaire de la chambre, vit seul dans une autre maison, ce dernier s’y est rendu pour avoir. Ainsi, il tape au portail. Moment choisi par l’un des homosexuels, Y Mb. pour ouvrir précipitamment la porte de la chambre. Ainsi, il fait le mur de la maison séparant notre agence de dépannage. Et c’est en se précipitant sur la toiture de l’agence pour s’échapper, que le toit a cédé sous son poids. Il est tombé dans une pièce où un des vigiles se trouvait en train de faire du thé, qui l’a aussitôt appréhendé avant d’alerter la police ».
Quid de la réaction du nommé N S, qui s’était fait prêter la chambre, prétextant de la visite de sa copine ? Notre interlocuteur répond qu’il a pris la fuite, à la vue de son ami, L. propriétaire de la chambre. Toutefois, il faut préciser que L. à en croire voisins immédiats, n’avait jamais su que son pote d’homosexuel utilisait sa clé de chambre pour des pratiques contre-nature.
Cependant, d’autres habitants nous renseignent que les mis en cause ne sont point des « goordjiguenes », car, selon eux, c’est par souci d’être confondu avec un voleur et lynché par les vigiles, que Y.Mb, l’un des protagonistes a avoué son homosexualité.
Y. Mb fut un membre d’une dahira tidiane dans la cité, avant d’en être exclu lors de son anniversaire auquel, nous informe-t-on, il aurait invité des homosexuels de renom. Il sera réintégré au Dahira après avoir présenté des excuses aux responsables du mouvement religieux.
Vieux Père Ndiaye
Source: Walf Gran Place
Abondant dans le même sens, un autre employé de la Senelec indique que « tout est parti de N.S., celui qui se dit copine de l’autre homosexuel, Y. Mb. Car, cette nuit-là N.S. avait demandé à son ami L. de lui prêter la clé de sa chambre, prétextant que sa petite amie devait lui rendre visite. Sans le moindre soupçon, le jeune garçon accepte, mais lui demande de remettre la clé à un endroit convenu, après avoir fini. ». De retour, nous confie notre interlocuteur qui semble connaître les ficelles de l’affaire, « voyant que son ami N.S. n’a pas encore remis la clé à leur domicile familial, car L, le propriétaire de la chambre, vit seul dans une autre maison, ce dernier s’y est rendu pour avoir. Ainsi, il tape au portail. Moment choisi par l’un des homosexuels, Y Mb. pour ouvrir précipitamment la porte de la chambre. Ainsi, il fait le mur de la maison séparant notre agence de dépannage. Et c’est en se précipitant sur la toiture de l’agence pour s’échapper, que le toit a cédé sous son poids. Il est tombé dans une pièce où un des vigiles se trouvait en train de faire du thé, qui l’a aussitôt appréhendé avant d’alerter la police ».
Quid de la réaction du nommé N S, qui s’était fait prêter la chambre, prétextant de la visite de sa copine ? Notre interlocuteur répond qu’il a pris la fuite, à la vue de son ami, L. propriétaire de la chambre. Toutefois, il faut préciser que L. à en croire voisins immédiats, n’avait jamais su que son pote d’homosexuel utilisait sa clé de chambre pour des pratiques contre-nature.
Cependant, d’autres habitants nous renseignent que les mis en cause ne sont point des « goordjiguenes », car, selon eux, c’est par souci d’être confondu avec un voleur et lynché par les vigiles, que Y.Mb, l’un des protagonistes a avoué son homosexualité.
Y. Mb fut un membre d’une dahira tidiane dans la cité, avant d’en être exclu lors de son anniversaire auquel, nous informe-t-on, il aurait invité des homosexuels de renom. Il sera réintégré au Dahira après avoir présenté des excuses aux responsables du mouvement religieux.
Vieux Père Ndiaye
Source: Walf Gran Place