Pour Alioune Tine, ’’plus qu’une médiation, la Guinée a besoin d’être reprise en main par le Conseil de sécurité des Nations Unies pour éviter le clash général dans ce pays et la généralisation de la violence, le chaos et l’instabilité dans toute zone ouest africaine, rudement éprouvée par la situation en Guinée-Bissau, au Niger, en Cote d’Ivoire et en Gambie’’.
Pour la Raddho, la Guinée se trouve dans un processus de ’’somalisation’’ avancée. Alioune Tine et ses camarades martèlent : ’’ faut-il attendre un effondrement total de l’État, une généralisation totale de la violence et l’installation de l’insécurité et de l’instabilité en Afrique de l’Ouest pour intervenir ! Non !’’.
La Raddho approuve la déclaration de Bernard Kouchner, ministre français des Affaires étrangères qui dans une déclaration récente a estimé exprime ’’nécessaire une intervention internationale en Guinée à la suite de la répression sanglante, des atrocités et des horreurs commises le 28 septembre.’’.
Alioune Tine et ses camarades appellent la France à saisir le Conseil de Sécurité des Nations Unies pour une intervention d’urgence en Guinée Conakry et une saisine de la Cpi. Ils demandent ’’à l’Union Africaine et à la Cedeao de soutenir cette initiative’’ et invitent ’’le président Blaise Compaoré à s’inscrire dans cette dynamique.’’.
Pour la Raddho, la Guinée se trouve dans un processus de ’’somalisation’’ avancée. Alioune Tine et ses camarades martèlent : ’’ faut-il attendre un effondrement total de l’État, une généralisation totale de la violence et l’installation de l’insécurité et de l’instabilité en Afrique de l’Ouest pour intervenir ! Non !’’.
La Raddho approuve la déclaration de Bernard Kouchner, ministre français des Affaires étrangères qui dans une déclaration récente a estimé exprime ’’nécessaire une intervention internationale en Guinée à la suite de la répression sanglante, des atrocités et des horreurs commises le 28 septembre.’’.
Alioune Tine et ses camarades appellent la France à saisir le Conseil de Sécurité des Nations Unies pour une intervention d’urgence en Guinée Conakry et une saisine de la Cpi. Ils demandent ’’à l’Union Africaine et à la Cedeao de soutenir cette initiative’’ et invitent ’’le président Blaise Compaoré à s’inscrire dans cette dynamique.’’.