La pénurie d’eau est devenue un moyen de se faire de l’argent pour des jeunes qui habitent Grand-Médine et environs. Au moment où les robinets sont à secs un groupe de jeunes a troué un des tuyaux de la SDE qui se situe dans le parking du stade Léopold Sédar Senghor. Si l’objectif de cet acte était au départ d’étancher la soif des populations, ces jeunes n’ont pas longtemps résistés à l’appel de l’argent facile. Ils vendent au plus offrant.
Parking du stade LSS, hommes et femmes, bidons de 20 ou de 10 litres, sceaux et bassines vident entre les mains, se bousculent pour entrer dans le poste de la SDE ou l’eau coule a flot en cette période de pénurie. Un groupe de jeunes a troué le tuyau pour vendre l’eau.
Très bien organisés ces jeunes vendent l’eau en fonction du récipient de l’acheteur. Le bidon de 20 litres est rempli moyennant 200 francs, une bassine remplie vaut 100 francs. Ceci est le prix normal pour les personnes qui ont le temps pour faire la queue.
Le système est sophistiqué. Il existe un prix VIP réservé a ceux qui ne peuvent pas faire la queue et qui sont prêts á payé 500 francs pour un bidon de 20 litres. L’endroit est bien gardé par des gaillards qui veillent à ce que les clients respectent la loi du plus offrant. Gare a celui qui tente de semer la trouble.
Ces jeunes, déterminés a remplir les poches, n’hésitent pas á brandir des coupe-coupes et des couteaux pour intimider les perturbateurs. Leur ordre règne aux alentours.
Parking du stade LSS, hommes et femmes, bidons de 20 ou de 10 litres, sceaux et bassines vident entre les mains, se bousculent pour entrer dans le poste de la SDE ou l’eau coule a flot en cette période de pénurie. Un groupe de jeunes a troué le tuyau pour vendre l’eau.
Très bien organisés ces jeunes vendent l’eau en fonction du récipient de l’acheteur. Le bidon de 20 litres est rempli moyennant 200 francs, une bassine remplie vaut 100 francs. Ceci est le prix normal pour les personnes qui ont le temps pour faire la queue.
Le système est sophistiqué. Il existe un prix VIP réservé a ceux qui ne peuvent pas faire la queue et qui sont prêts á payé 500 francs pour un bidon de 20 litres. L’endroit est bien gardé par des gaillards qui veillent à ce que les clients respectent la loi du plus offrant. Gare a celui qui tente de semer la trouble.
Ces jeunes, déterminés a remplir les poches, n’hésitent pas á brandir des coupe-coupes et des couteaux pour intimider les perturbateurs. Leur ordre règne aux alentours.
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