Signant au nom du bureau France de SOS Casamance, Amadou Sylla, a fait remarquer que «depuis quelques semaines nous assistons à une recrudescence de la violence en Casamance».
Devant cette situation qu’il a qualifiée d’«inadmissible, de préoccupante et d’inquiétante», le dirigeant de cette association basée en France et qui défend entre autre la paix en Casamance, estime que ce ne sont «essentiellement que les populations civiles, exaspérées, qui paient le prix fort de cette insécurité grandissante».
Selon lui, «SOS Casamance condamne l'usage de la violence comme moyen d'expression d'une opinion quelle qu’elle soit
Amadou Sylla d’inviter «l'Etat du Sénégal de prendre immédiatement toutes les mesures idoines pour relancer le processus des négociations avec le MFDC en y associant toutes les organisations de la société civile œuvrant pour la Paix en Casamance».
Pour ces Sénégalais originaires du sud du pays, et établis en France, «nous sommes convaincus que cette situation de violence constatée depuis quelques jours n'est rien d'autre qu’une conséquence directe de l'absence de dialogue et de perspective en direction de la paix».
Ils insisteront en ces termes dans leur communiqué datée de la nuit de dimanche à lundi, «nous invitons l'Etat du Sénégal à prendre langue le plus rapidement possible avec ceux qui incarnent la Casamance en guerre ; la Paix en Casamance doit être une préoccupation constante pour l’Etat Sénégalais».
Pour Amadou Sylla et les siens, le conflit sociale en Casamance, qui a éclaté en décembre 1982, «n’a que trop duré et la nation sénégalaise a consenti beaucoup de sacrifice humain, matériel et financier ; il est temps que nous arrivions enfin à la solution définitive de ce conflit, dans l'intérêt supérieur de la nation toute entière».
Et de conclure en appelant «toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais à œuvrer sans cesse pour une paix sociale juste et rapide en Casamance…»
Boubacar Diassy / lesenegalais.net
Devant cette situation qu’il a qualifiée d’«inadmissible, de préoccupante et d’inquiétante», le dirigeant de cette association basée en France et qui défend entre autre la paix en Casamance, estime que ce ne sont «essentiellement que les populations civiles, exaspérées, qui paient le prix fort de cette insécurité grandissante».
Selon lui, «SOS Casamance condamne l'usage de la violence comme moyen d'expression d'une opinion quelle qu’elle soit
Amadou Sylla d’inviter «l'Etat du Sénégal de prendre immédiatement toutes les mesures idoines pour relancer le processus des négociations avec le MFDC en y associant toutes les organisations de la société civile œuvrant pour la Paix en Casamance».
Pour ces Sénégalais originaires du sud du pays, et établis en France, «nous sommes convaincus que cette situation de violence constatée depuis quelques jours n'est rien d'autre qu’une conséquence directe de l'absence de dialogue et de perspective en direction de la paix».
Ils insisteront en ces termes dans leur communiqué datée de la nuit de dimanche à lundi, «nous invitons l'Etat du Sénégal à prendre langue le plus rapidement possible avec ceux qui incarnent la Casamance en guerre ; la Paix en Casamance doit être une préoccupation constante pour l’Etat Sénégalais».
Pour Amadou Sylla et les siens, le conflit sociale en Casamance, qui a éclaté en décembre 1982, «n’a que trop duré et la nation sénégalaise a consenti beaucoup de sacrifice humain, matériel et financier ; il est temps que nous arrivions enfin à la solution définitive de ce conflit, dans l'intérêt supérieur de la nation toute entière».
Et de conclure en appelant «toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais à œuvrer sans cesse pour une paix sociale juste et rapide en Casamance…»
Boubacar Diassy / lesenegalais.net