Gora Dieng, un charretier s’est expliqué en ces termes : « Cette mise en garde ressemble à de la provocation. Non seulement, tous les charretiers exploitants du transport sont de Touba. Mais bien avant le Magal, c’est bien les charretiers qui assurent le transport. C’est trop mal prendre les charretiers au sérieux que de vouloir leur interdire la circulation cela ne s’explique vraiment pas. »
Il faut dire que le transport par quelque moyen qu’il soit est l’un des « business » qui marchent le plus. Des charretiers qui disposent de permis de conduire en lieu et place de la licence exigée pour la circonstance ont pour le moment parlé d’une même et seule voix : ne pas céder face à ce qu’ils qualifient de provocation. Affaire à suivre.
Envoyé spécial à Touba : Bakary NDIAYE
Il faut dire que le transport par quelque moyen qu’il soit est l’un des « business » qui marchent le plus. Des charretiers qui disposent de permis de conduire en lieu et place de la licence exigée pour la circonstance ont pour le moment parlé d’une même et seule voix : ne pas céder face à ce qu’ils qualifient de provocation. Affaire à suivre.
Envoyé spécial à Touba : Bakary NDIAYE