En effet, des millions de nos compatriotes, particulièrement les jeunes, se ruent quotidiennement dans les kiosques du Parifoot installés un peu partout à travers la capitale et aussi dans les régions de l’intérieur. Des kiosques installés surtout aux abords des marchés et, hélas, même à côté des écoles. Face au chômage endémique des jeunes, et au marasme économique ambiant, « Parifoot » reste et demeure en effet le seul espoir de dizaines de milliers de desperados dans ce pays.
Plus de 122 milliards F CFA de chiffre d'affaires
Au Sénégal, « Le Témoin » quotidien vous révèle que « Parifoot » occupe une importante part de marché dans le portefeuille de la Lonase, avec plus de 57 % du chiffre d’affaires de la société publique, soit 68 milliards cfa. D’ailleurs, « Parifoot » a réussi à détrôner le produit phare de la maison depuis des décennies à savoir le Pmu (Pari mutuel urbain). Grâce d’ailleurs au succès de « Parifoot », la Lonase a atteint, malgré la pandémie du coronavirus, d’excellentes performances financières.
Ainsi, pour l’année 2020, la Lonase est à plus de 122 milliards cfa de chiffre d’affaires soit une évolution de près de 250 % entre 2015 et 2020. Performances financières accrues grâce aux petits larcins de jeunes parieurs et autres épargnes de « goorgorlous » salariés ou non salariés, chômeurs ou non chômeurs, qui jouent le plus souvent petit pour espérer gagner gros. A ce rythme, ce n’est pas de « Parifoot » qu’il faudrait parler mais, plutôt, de « Paris fous »
Plus de 122 milliards F CFA de chiffre d'affaires
Au Sénégal, « Le Témoin » quotidien vous révèle que « Parifoot » occupe une importante part de marché dans le portefeuille de la Lonase, avec plus de 57 % du chiffre d’affaires de la société publique, soit 68 milliards cfa. D’ailleurs, « Parifoot » a réussi à détrôner le produit phare de la maison depuis des décennies à savoir le Pmu (Pari mutuel urbain). Grâce d’ailleurs au succès de « Parifoot », la Lonase a atteint, malgré la pandémie du coronavirus, d’excellentes performances financières.
Ainsi, pour l’année 2020, la Lonase est à plus de 122 milliards cfa de chiffre d’affaires soit une évolution de près de 250 % entre 2015 et 2020. Performances financières accrues grâce aux petits larcins de jeunes parieurs et autres épargnes de « goorgorlous » salariés ou non salariés, chômeurs ou non chômeurs, qui jouent le plus souvent petit pour espérer gagner gros. A ce rythme, ce n’est pas de « Parifoot » qu’il faudrait parler mais, plutôt, de « Paris fous »