Le jeune Djiby Djigo est une véritable terreur pour sa famille et ses voisins. Quand il est ivre, il devient très violent et incontrôlable. Dominé par l'alcool, D. Djigo débarque chez lui et passe à son jeu favori, perturber la tranquillité de sa famille. Seulement, cette fois-ci, il a poussé le bouchon trop loin, en menaçant de tuer sa maman avec un coupe-coupe.
Exaspéré par le comportement belliqueux de son fils ivrogne, le vieux Amadou Djigo décide finalement de porter plainte contre lui à la gendarmerie de Podor, avant que l'affaire n'atterrisse au tribunal régional de Saint-Louis.
Devant la cour, le chef de famille a présenté son fils comme un réel danger à isoler rapidement pour la sécurité de ses parents et des voisins. Revenant sur le film du dernier “défoulement” de son fils avant son arrestation, Amadou Djigo déclare que Djiby est rentré ce soir-là, très tard, ivre mort comme un Polonais.
Comme à son habitude, il a commencé à semer le désordre, à perturber la quiétude de la famille, avant de s'attaquer avec une arme blanche à sa mère. Malgré les interventions pour le retenir, D. Djigo poursuit sa génitrice pour tenter de la tuer. Il lui a lancé un violent coup qui, heureusement, a raté sa cible.
D'ailleurs, il a poursuivi A. Djigo et le pire n'a été évité de justesse qu'avec l'aide de Dieu et de la forte détermination des intervenants. Maîtrisée par la foule, la terreur de la famille Djigo est conduite à la brigade de gendarmerie de Podor, où l'attendait déjà une plainte de son père.
Appelé à la barre pour s'expliquer sur les graves faits qui lui sont reprochés, D. Djigo sert au tribunal de légers arguments pour se justifier. Avant de reconnaître que sous l'emprise de l'alcool, il lui arrive parfois de “déconner” un peu. Mais jure qu'il n'avait nullement l'intention de faire du mal à sa mère, avant de regretter son acte et de demander pardon à sa famille et à ses parents.
Une demande de pardon que son père a aussitôt rejetée, soutenant que si D. Djigo n'est pas mis hors d'état de nuire, il va tuer sa mère. Chaque fois qu'il est ivre, a-t-il narré devant la barre, il revient à la maison pour nous menacer. D'ailleurs, sa mère est traumatisée par son fils indigne, a ajouté le père Djigo.
Malgré les excuses et les regrets formulés par le jeune ivrogne, D. Djigo, la cour a suivi le réquisitoire du procureur, qui a demandé une application de la loi. Ainsi, après délibéré, il a été condamné à six mois de prison ferme et à payer une amende de 100 000 FCfa. Une peine qui, peut-être, lui permettra de mieux méditer sur son sort et de comprendre que les parents sont à chérir et non à être menacés.
EnQuête
Exaspéré par le comportement belliqueux de son fils ivrogne, le vieux Amadou Djigo décide finalement de porter plainte contre lui à la gendarmerie de Podor, avant que l'affaire n'atterrisse au tribunal régional de Saint-Louis.
Devant la cour, le chef de famille a présenté son fils comme un réel danger à isoler rapidement pour la sécurité de ses parents et des voisins. Revenant sur le film du dernier “défoulement” de son fils avant son arrestation, Amadou Djigo déclare que Djiby est rentré ce soir-là, très tard, ivre mort comme un Polonais.
Comme à son habitude, il a commencé à semer le désordre, à perturber la quiétude de la famille, avant de s'attaquer avec une arme blanche à sa mère. Malgré les interventions pour le retenir, D. Djigo poursuit sa génitrice pour tenter de la tuer. Il lui a lancé un violent coup qui, heureusement, a raté sa cible.
D'ailleurs, il a poursuivi A. Djigo et le pire n'a été évité de justesse qu'avec l'aide de Dieu et de la forte détermination des intervenants. Maîtrisée par la foule, la terreur de la famille Djigo est conduite à la brigade de gendarmerie de Podor, où l'attendait déjà une plainte de son père.
Appelé à la barre pour s'expliquer sur les graves faits qui lui sont reprochés, D. Djigo sert au tribunal de légers arguments pour se justifier. Avant de reconnaître que sous l'emprise de l'alcool, il lui arrive parfois de “déconner” un peu. Mais jure qu'il n'avait nullement l'intention de faire du mal à sa mère, avant de regretter son acte et de demander pardon à sa famille et à ses parents.
Une demande de pardon que son père a aussitôt rejetée, soutenant que si D. Djigo n'est pas mis hors d'état de nuire, il va tuer sa mère. Chaque fois qu'il est ivre, a-t-il narré devant la barre, il revient à la maison pour nous menacer. D'ailleurs, sa mère est traumatisée par son fils indigne, a ajouté le père Djigo.
Malgré les excuses et les regrets formulés par le jeune ivrogne, D. Djigo, la cour a suivi le réquisitoire du procureur, qui a demandé une application de la loi. Ainsi, après délibéré, il a été condamné à six mois de prison ferme et à payer une amende de 100 000 FCfa. Une peine qui, peut-être, lui permettra de mieux méditer sur son sort et de comprendre que les parents sont à chérir et non à être menacés.
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