
D'ailleurs, informent nos confrères, l’ancien ministre de l’Energie a estimé que, durant ce face-à-face, pour avoir fait gagner en 2007 cinq (5) milliards à la Société Africaine de raffinage (Sar) qui avait n’avait pas bénéficié de 1976 à 2006, on devait au contraire le décorer au lieu de lui chercher des poux dans la tête. Mieux, l’ancien conseiller financier de l’ancien Président Abdoulaye Wade dit avoir permis à la boite d’obtenir un financement pour combler son déficit de 89 milliards enregistré entre 2000 et 2006. Sans compter un autre financement de 250 millions d’euros, soit 160 milliards de francs Cfa. Samuel Sarr promet de revenir sur tout cela au cours d'une conférence de presse.